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Loi Travail - 26 mai 2016 - Grève votée dans les 19 centrales nucléaires, dit la CGT

jeudi 26 mai 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 26 mai 2016).

Grève votée dans les 19 centrales nucléaires, dit la CGT

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKCN0YG2KC

Mercredi 25 mai 2016 19h39

Centrale nucléaire de Cattenom, en Moselle. ,Les personnels des 19 centrales nucléaires françaises ont voté la grève pour jeudi, journée nationale d"action contre la loi Travail, a déclaré Marie-Claire Cailletaud, porte-parole de la fédération de l"énergie et des mines de la CGT. /Photo prise le 27 janvier 2016/ REUTERS/Wolfgang Rattay

PARIS (Reuters) - Les personnels des 19 centrales nucléaires françaises ont voté la grève pour jeudi, journée nationale d’action contre la loi Travail, a déclaré Marie-Claire Cailletaud, porte-parole de la fédération de l’énergie et des mines de la CGT.

Le mouvement, qui devait débuter mercredi à partir de 20h00, devrait entraîner des baisses de charge, mais non l’arrêt des centrales, a-t-elle précisé. "On n’arrête pas une centrale nucléaire comme ça, ce n’est pas comme une centrale thermique ou un barrage hydraulique".

Outre le mouvement dans les centrales nucléaires, les personnels d’au moins quatre centrales thermiques classiques ont également décidé de cesser le travail et il y aura le blocage d’une unité de stockage de gaz dans le sud de la France.

(Gérard Bon, avec Emmanuel Jarry)


Article Reuters au même lien mais modifié par Reuters le mercredi 25 mai 2016 20h06

PARIS (Reuters) - Les personnels des 19 centrales nucléaires françaises ont voté la grève pour jeudi, journée nationale d’action contre la loi Travail, a déclaré la porte-parole de la fédération de l’énergie et des mines de la CGT.

Le mouvement, qui devait débuter mercredi à partir de 20h00, devrait entraîner des baisses de charge, mais non l’arrêt des centrales, a précisé Marie-Claire Cailletaud à Reuters. "On n’arrête pas une centrale nucléaire comme ça, ce n’est pas comme une centrale thermique ou un barrage hydraulique".

Outre le mouvement dans les centrales nucléaires, les personnels d’au moins quatre centrales thermiques classiques ont également décidé de cesser le travail et il y aura le blocage d’une unité de stockage de gaz dans le sud de la France.

Alors que les huit raffineries françaises étaient mercredi à l’arrêt ou tournaient au ralenti selon la CGT, la branche énergie avait appelé les salariés du secteur à amplifier la mobilisation.

Selon EDF, le pic du mouvement avait été atteint jusqu’à présent le 31 mars dernier avec 17% de grévistes.

Priée de dire si la grève pourrait se poursuivre au-delà de jeudi dans l’énergie, Marie-Claire Cailletaud a répondu : "Oui, si le Premier ministre ne retire pas le projet de loi Travail".

"On appelle à ce que le mouvement soit fort et qu’il monte en puissance parce qu’on sent bien qu’il faut que les salariés pèsent de tout leur poids pour que le gouvernement les entende enfin", a-t-elle dit.

Le mouvement dans l’énergie porte également sur des revendications propres au secteur, notamment l’emploi.

(Gérard Bon, avec Emmanuel Jarry, édité par Simon Carraud)

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