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L’Elite veut une nouvelle taxe pour financer ses camps de concentration 2017

jeudi 30 juin 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 30 juin 2016).

Le gouvernement veut de l’argent, toujours plus, le TTIP/TAFTA/TISA pour l’OTAN, de nouvelles taxes et en a encore votée une pour 2017 (pendant que tout le monde attendait frénétiquement les résultats du Brexit et regardaient ailleurs) pour aider les régions à installer les camps de concentration qui coûteront plus de 40 millions d’euros par an.

Ces camps de « rééducation » ou de « réinsertion » ou de « concentration » ou de « FEMA », de toute façon, personne pourra voir ce qui se passe vraiment à l’intérieur, aucune aide judiciaire pour ceux emprisonnés. Serviront-ils surtout pour les manifestants contre la loi travail ?

« Radicalisation : création "dans chaque région" d’ici fin 2017 d’un centre de réinsertion

Manuel Valls a annoncé lundi matin un plan national de lutte contre le terrorisme. Parmi les mesures, figure la création d’ici la fin de l’année 2017 d’un centre de réinsertion dans chaque région.

40 millions d’euros en plus. Ce plan, qui est doté d’une enveloppe de 40 millions d’euros supplémentaires d’ici 2018, vise à doubler en deux ans les capacités de prise en charge des jeunes actifs dans les réseaux djihadistes ou susceptibles de rejoindre leurs rangs. »

http://www.europe1.fr/societe/radic…

« L’annonce de la taxe est passée plutôt inaperçue entre les suites du référendum britannique et la tenue ce mardi d’une énième manifestation contre la loi travail.

À l’issue d’une réunion avec l’Association des régions de France (ARF), le premier ministre a entériné la création d’une nouvelle taxe, baptisée Taxe spéciale d’équipement régionale (TSER), annonce l’ARF dans un communiqué.

Ce nouveau prélèvement sera inclus dans le projet de loi de Finances pour 2017 et pourrait venir s’ajouter à l’actuelle cotisation financière des entreprises à la taxe sur le foncier bâti que paient déjà les sociétés.

« Cette nouvelle taxe sera a priori assise sur les mêmes bases que la taxe foncière. Les propriétaires peuvent s’attendre à voir apparaître sur leur feuille d’imposition une nouvelle ligne, explique au Figaro Frédéric Douet, professeur de droit fiscal à l’université de Rouen. La question est de savoir si on peut déduire de l’assiette des revenus

« Cette fuite en avant est très préoccupante. L’urgence reste de baisser la fiscalité sur les entreprises » Geoffroy Roux de Bézieux, vice-président délégué du Medef en charge de la fiscalité fonciers le montant de cette nouvelle taxe ». Cet énième impôt inquiète le Medef qui appelle le couple exécutif à « respecter leurs engagements de cesser d’augmenter la fiscalité ». « Il serait temps d’être cohérent. Alors que l’impérieuse nécessité de redresser la compétitivité de nos entreprises est enfin reconnue par tous et que la situation économique reste difficile, voilà que fleurissent ici et là de nouvelles taxes. Cette fuite en avant est très préoccupante. L’urgence reste de baisser la fiscalité sur les entreprises », dénonce Geoffroy Roux de Bézieux, vice-président délégué du Medef en charge de la fiscalité.

La taxe sera collectée par l’État auprès des ménages et des entreprises pour être reversée aux régions selon des modalités qui n’ont pas encore été arrêtées.

Le montant des recettes attendues est quant à lui fixé à 600 millions d’euros dès 2017.

« Le gouvernement voudra sans doute faire passer cette nouvelle taxe pour une hausse de la taxe foncière, poursuit Frédéric Douet. Mais qu’il s’agisse de l’un ou de l’autre, la pression fiscale va encore augmenter, dans des proportions encore inconnues.

Chaque nouvelle question se traduit par un nouvel impôt plutôt que par de vraies réformes, notamment fiscales. La folle fabrique des impôts semble avoir encore de beaux jours devant elle ».

« On sent bien que le gouvernement a l’intention de travailler avec les régions, la question se pose de savoir comment tout cela peut se boucler financièrement » Philippe Richert (Les Républicains), le président de l’Association des régions de France

Matignon a donc accédé à une demande des régions d’obtenir une recette dont les assiettes foncières progressent. « Nous tablons sur une croissance annuelle de 2% à 2,5% de cette taxe », explique l’association d’élus, citée par Les Échos.

Les régions réclamaient plus de moyens pour financer le soutien aux TPE-PME et l’accompagnement économique qui était auparavant assumé par les départements et qui est passé dans le champ de compétence des régions depuis la loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République). En application de la réforme territoriale, ce sont donc désormais les régions qui sont en charge de cette mission. « Le gouvernement a entendu la demande des régions de disposer de nouvelles ressources pour le développement économique et l’emploi », répond Matignon. L’entourage de Manuel Valls précise que « toutes les régions, sauf une, se sont engagées pour la mise en œuvre du plan “500.000 formations pour les chômeurs” présenté le 18 janvier par le Président François Hollande ».

Par ailleurs, huit régions, sur les 13 que compte la métropole, « auront signé des conventions de partenariat renouvelées avec Pôle emploi d’ici l’automne ». « On sent bien que le gouvernement a l’intention de travailler avec les régions, la question se pose de savoir comment tout cela peut se boucler financièrement », estime Philippe Richert (Les Républicains), le président de l’Association des régions de France.

Le 30 mars, Manuel Valls avait signé avec les présidents de région, désormais majoritairement de la droite et du centre, un accord pour mieux coordonner les actions de l’État et des conseils régionaux en matière d’emploi et de formation. Un accord qui vise notamment à mieux adapter les formations et les parcours des demandeurs d’emplois aux besoins locaux. » http://www.lefigaro.fr/impots/2016/…

pétition sur http://www.mesopinions.com/petition… citation de la pétition : « À l’attention : du Président de la République - M. François Hollande Ce matin, j’ai entendu sur Europe 1 que les régions souhaitaient mettre en place une taxe sur les propriétaires.

Il ne faut pas que l’État oublie que pendant 25 ans, nous nous sommes saignés pour payer notre maison et que maintenant, à la retraite, les revenus ne sont pas les mêmes d’autant plus que les retraites ne sont pas augmentées.

Nos retraites ne sont pas celles des parlementaires.

Donc tous les propriétaires sont appelés à signer cette pétition pour la non-application de cette taxe. »

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