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Europe et démocratie - Le Brexit pourrait bien ne jamais avoir lieu

vendredi 1er juillet 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 1er juillet 2016).

Le Brexit pourrait bien ne jamais avoir lieu

1. Londres pourrait ne « jamais » déclencher sa sortie de l’UE

“Tout le monde veut la peau du Brexit, l’OTAN, les Etats-Unis, et même le mafieux psychopathe Peter Sutherland, ancien Commissaire européen à la concurrence, ancien directeur général de l’OMC, actuel président de l’European Policy Center et actuel président de Goldman Sachs International, qui a déclaré qu’il va falloir annuler le Brexit « d’une façon ou d’une autre ». C’est censé être normal…

Mais pour l’instant, si le référendum a eu lieu, il n’est pas garanti encore que le Royaume-Uni quitte réellement l’UE, ni que la demande soit déposée dans ce sens. »

http://lesmoutonsenrages.fr/2016/06…

2. Le président de Goldman Sachs International annonce qu’il va falloir annuler le Brexit « d’une façon ou d’une autre » !!!

https://civilwarineurope.com/2016/0…

3. La Maison-Blanche et l’Otan prépare(raie)nt le sabotage du Brexit

“Un conseil européen a été convoqué par le président de l’Union, Donald Tusk, le 29 juin, en présence du secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg.”

http://www.voltairenet.org/article192517.html

Ont-ils laissé “jouer” avec le référendum “pour voir” ?


Le président de Goldman Sachs annonce qu’il va falloir annuler le Brexit « d’une façon ou d’une autre »

https://www.upr.fr/actualite/europe…

Publié le 26 juin 2016

L’ancien Commissaire européen à la concurrence, ancien directeur général de l’OMC, actuel président de l’European Policy Center et actuel président de Goldman Sachs International a diffusé le tweet suivant suite à la victoire du Brexit au référendum britannique :

https://twitter.com/PDSutherlandUN/status/746687362902728704

« La jeune génération au Royaume-Uni a été sacrifiée, tout ça à cause d’une déformation des faits et des conséquences. D’une façon ou d’une autre, ce résultat doit être annulé. »

RAPPELS SUR PETER SUTHERLAND

Extrait de la notice Wikipedia de Peter Sutherland :

Peter Sutherland, né le 25 avril 1946 à Foxrock dans le comté de Dun Laoghaire-Rathdown, est une personnalité des affaires et un homme politique irlandais.

Il est président de l’European Policy Centre, de Goldman Sachs International (depuis 1995), de BP (British Petroleum) (1997-2009), et aussi de la section Europe de la Commission Trilatérale (2001-2010). Il est aussi directeur non exécutif de la Royal Bank of Scotland.

De 1985 à 1989, il a été en poste à Bruxelles en tant que commissaire responsable de la politique de concurrence. Entre 1989 et 1993, Peter Sutherland a été président de Allied Irish Banks. Il fut directeur général du GATT et de l’OMC de 1993 à 1995.

Peter Sutherland est aussi le représentant honoraire pour l’Union européenne du Transatlantic Policy Network.

Dans sa fonction comme envoyé spécial des Nations Unies Peter Sutherland a proposé aux États de l’Union européenne de « miner » ou « affaiblir leur homogénéité nationale ».

Source : http://www.bbc.com/news/uk-politics…

Il a été membre du comité directeur du groupe Bilderberg :

http://www.bilderbergmeetings.org/f…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_Sutherland


Londres pourrait ne "jamais" déclencher sa sortie de l’UE

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Mon…

Par la rédaction de 7sur7.be le 27/06/16 - 06h33

Le Royaume-Uni doit notifier au Conseil européen son intention de quitter l’Union et négocier ensuite, pendant deux ans maximum, un "accord de retrait". / AFP

Le Royaume-Uni pourrait ne "jamais" déclencher sa sortie de l’Union européenne malgré la victoire du Brexit au référendum de jeudi, a estimé dimanche un diplomate européen.

"Mon sentiment personnel, c’est qu’ils ne notifieront jamais" à l’UE leur intention de quitter l’Union, a déclaré ce diplomate sous le couvert de l’anonymat.

Selon l’article 50 du traité de Lisbonne signé en 2007, qui n’a jamais été utilisé jusqu’ici, pour engager son retrait, le Royaume-Uni doit notifier au Conseil européen, composé des chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres, son intention de quitter l’Union et négocier ensuite, pendant deux ans maximum, un "accord de retrait".

"Nous voulons que Londres déclenche l’article 50 maintenant, pour qu’il y ait de la clarté. Comme nous ne pouvons pas les y forcer, je m’attends à ce qu’ils prennent leur temps", a déclaré le diplomate.

"Et je n’exclurais pas, c’est mon sentiment personnel, qu’ils puissent ne jamais le faire", a-t-il ajouté.

Malgré la pression croissante des responsables européens, le Premier ministre conservateur David Cameron, pro-UE, ne devrait pas entamer la procédure de sortie de l’UE dès mardi à Bruxelles, où débute un sommet européen de deux jours, selon un responsable européen.

En annonçant vendredi sa démission après la victoire du Brexit, M. Cameron a précisé qu’il ne quitterait ses fonctions qu’en octobre et qu’il incomberait à son successeur de déclencher le processus de retrait et de négocier avec Bruxelles.

Selon les partenaires européens, la procédure devrait être lancée d’ici Noël au plus tard.

Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a exprimé l’impatience de Bruxelles. "Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement britannique a besoin d’attendre jusqu’au mois d’octobre pour décider si oui ou non il envoie la lettre de divorce à Bruxelles. J’aimerais l’avoir immédiatement", a-t-il dit.


"Le Royaume-Uni activera l’article 50 lorsqu’il sera prêt"

http://www.7sur7.be/7s7/fr/37462/Br…

Par la rédaction de 7sur7.be le 27/06/16 - 09h01 Source : Belga

Le ministre britannique des Finances, George Osborne, a prévenu lundi que le Royaume-Uni ne devait activer l’article 50 pour quitter l’UE qu’au moment opportun, assurant que l’économie britannique était prête à affronter les turbulences provoquées par la décision de quitter l’Union.

"Le Royaume-Uni seul peut activer l’article 50. De mon point de vue, nous ne devrions le faire que lorsque nous aurons une vision claire des nouveaux arrangements recherchés avec nos voisins européens", a expliqué M. Osborne lors d’un court discours au Trésor, sa première intervention télévisée depuis la décision des Britanniques de quitter l’UE lors du référendum du 23 juin.

Partisan virulent du maintien dans l’UE, M. Osborne avait fait campagne auprès de son Premier ministre, le conservateur David Cameron, pour maintenir l’attachement du pays à l’Union.

La défaite de son camp actée, il a souligné que le Premier ministre avait donné "du temps" au pays "pour décider quelle nouvelle relation établir en repoussant l’activation de l’article 50 jusqu’à ce qu’il y ait un nouveau Premier ministre cet automne".

Il a ajouté que l’économie britannique était "prête à affronter ce que l’avenir nous réserve", au moment où les marchés financiers s’inquiétaient des conséquences du Brexit.

"Prête à affronter l’avenir"

Après six ans de politique conservatrice, M. Osborne a jugé que l’économie était en bien meilleure situation, avec une croissance robuste, des banques bien capitalisées et un déficit budgétaire réduit.

"Résultat, notre économie est plus robuste pour affronter les défis auxquels notre pays fait face", a-t-il souligné.

Il a aussi insisté sur la "coordination" constante entre son gouvernement, la banque centrale britannique et les autorités des autres pays du club des pays riches du G7, de façon à limiter la volatilité sur les marchés.

La livre et les marchés boursiers continuaient de baisser lundi après avoir lourdement chuté vendredi, réagissant au choc du résultat de la victoire des partisans du Brexit au référendum. Les financiers s’attendaient à de nouveaux mouvements brutaux lundi.

L’article 50 du Traité de Lisbonne est une clause qui prévoit la mise en oeuvre, encore inédite, du retrait d’un des pays membres de l’Union européenne.


George Soros : après le Brexit, la désintégration de l’UE est « pratiquement irréversible »

https://francais.rt.com/economie/22…

26 juin 2016, 07:21

Le célèbre financier américain George Soros appelle à une reconstruction complète de l’Union européenne, afin de la sauver car d’après lui, la décision des Britanniques d’en sortir pourrait mener à sa désintégration « irréversible ».

Le 25 juin, George Soros a écrit sur le site internet Project Syndicate que le Brexit aggraverait non seulement la situation économique en Europe mais aussi au Royaume-Uni car les conséquences pour l’économie réelle seraient comparables à la crise financière de 2007-2008.

« Désormais, le scénario catastrophe que beaucoup redoutaient s’est concrétisé, rendant la désintégration de l’UE pratiquement irréversible. Les marchés financiers du monde entier vont sans doute rester dans la zone de remous le temps que se négocie le long et complexe processus de divorce politique et économique d’avec l’UE », a-t-il précisé en ajoutant que l’UE était en panne et ne répondait plus aux besoins ni aux aspirations de ses habitants.

Néanmoins, le financier américain a appelé à la reconstruire complètement.

« Après le Brexit, nous tous qui croyons aux valeurs et aux principes que l’UE est censée porter devons nous unir pour la sauver, en la reconstruisant complètement », a-t-il écrit.

De plus, il a déclaré être sûr que les Européens soutiendraient son idée de reconstruction car « les conséquences du Brexit se manifesteront dans les semaines et les mois à venir ».

« En quittant l’UE, la Grande-Bretagne se retrouvera peut-être au bout du compte, sans que cela soit sûr, plutôt dans une meilleure situation que d’autres pays ; mais son économie et ses habitants vont beaucoup souffrir, à court et moyen terme », a-t-il conclu.

Le 23 juin, 17 410 742 des Britanniques ont voté pour la sortie de l’Union européenne, 16 141 241 contre. Selon les chiffres officiels, le taux de participation s’est élevé à 72,2% de la population britannique. Pourtant, nombreux sont ceux, dont la plupart sont de jeunes Britanniques, qui ne sont pas d’accord avec la décision de quitter l’UE. Des centaines d’entre eux descendent dans les rues pour exprimer leur mécontentement. Vu que tout au long de la journée du vote et jusqu’à la dernière minute, le « Remain » ou le « Leave » sont restés plus ou moins à égalité dans les sondages, certains réclament un nouveau référendum. La pétition de William Oliver Healey a même recueilli plus de 2,7 millions de signatures en seulement 48 heures.


La Maison-Blanche et l’Otan préparent le sabotage du Brexit

http://www.voltairenet.org/article1…

Réseau Voltaire | 25 juin 2016

En sortant de l’Union européenne, le Royaume-Uni met fin à sa « relation spéciale » avec les États-Unis. Or Londres est également membre de l’accord des « Cinq yeux » issu de la Charte de l’Atlantique et co-fondateur de l’Otan (les Britanniques partagent toutes les informations du réseau Stay behind). Laisser partir le Royaume-Uni signifie donc assister à l’écroulement de l’ensemble du système de domination anglo-saxonne sur le monde.

Le Conseil de sécurité nationale des États-Unis a mis au point un plan visant à arrimer le Royaume-Uni aux structures atlantiques. Il a été décidé de tout faire pour empêcher la nomination du leader conservateur du Brexit, Boris Johnson, à Downing Street et de favoriser une personnalité de « consensus » apte à « réconcilier » les Britanniques. Cette personnalité négocierait les modalités de la sortie de l’Union européenne. De son côté, l’Union proposerait de substituer aux accords actuels des dispositions presque identiques. À l’issue de ce processus, le Royaume-Uni aurait perdu son siège au Conseil européen, mais resterait de facto dans le Marché commun.

Le président Obama a désigné la chancelière allemande Angela Merkel pour mener les opérations au sein de l’UE et George Osborne, actuel numéro 2 du gouvernement, pour organiser le « consensus » au Royaume-Uni. D’ores et déjà, le Premier ministre David Cameron a refusé de démissionner avant l’élection présidentielle états-unienne, tandis que le gouvernement régional écossais et la presse européenne mettent en avant le risque de sécession pour justifier l’appel à une « personnalité de consensus ».

Un conseil européen a été convoqué par le président de l’Union, Donald Tusk, le 29 juin, en présence du secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg.

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