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Terrorisme à Berlin - 23 décembre 2016 - Ils ont exécuté Anis Amri

vendredi 23 décembre 2016, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 23 décembre 2016).

Comme prévu ils ont assassiné le prétendu "terroriste" de Berlin, Anis Amri. Comme ça, ça lui évitera de trop parler.

J’ai bien dit « prétendu "terroriste" », et pas « présumé terroriste », parce que tant qu’une personne n’a pas été jugée, elle est présumée innocente, et pas présumée coupable, ni présumée terroriste !

Anis Amri mort, son procès n’aura pas lieu. Ainsi, il ne pourra faire aucune révélation gênante.

Le simple fait que les journalistes aient signalé qu’il est incompréhensible qu’il ait pu ainsi arriver aussi facilement en Italie malgré l’état d’urgence prouve qu’eux-mêmes pensent qu’il y a du louche. Et si, tout simplement Anis Amri n’avait même pas été en Allemagne lors de l’attentat de Berlin ?

Il faut remarquer aussi que les membres de l’État Islamique font des attentats-suicides. Là ce n’est pas le cas. C’est étonnant, n’est-ce pas ?


Le suspect de l’attentat de Berlin abattu près de Milan

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN14C0Z3?sp=true

Vendredi 23 décembre 2016 18h30

Le ministre italien de l’Intérieur, Marco Minniti, a annoncé vendredi que l’homme abattu par la police dans la nuit à Milan était "sans aucun doute" le principal suspect de l’attentat au camion-bélier de Berlin, le Tunisien Anis Amri. /Photo prise le 23 décembre 2016/ REUTERS/Alessandro Bianchi

Par Emilio Parodi et Antonella Cinelli

MILAN (Reuters) - Anis Amri, le Tunisien de 24 ans recherché pour l’attentat au camion-bélier sur un marché de Noël à Berlin, a été abattu vendredi par la police italienne lors d’un contrôle d’identité près de Milan.

L’auteur présumé de l’attentat revendiqué par le groupe Etat islamique était arrivé en Italie d’Allemagne via la France, profitant de l’espace Schengen de libre circulation pour passer d’un pays à l’autre sans être repéré.

Etant apparu qu’il avait pu éviter l’expulsion par deux fois en 18 mois grâce à un certain nombre de vides juridiques, plusieurs dirigeants politiques eurosceptiques ont appelé au rétablissement des contrôles aux frontières terrestres. L’Allemagne, elle, a dit sa volonté d’accélérer les expulsions.

Anis Amri, qui a tué 12 personnes lundi soir en lançant un camion sur la foule, avait fait allégeance à l’Etat islamique, selon une vidéo diffusée après sa mort.

"J’invite mes frères musulmans partout dans le monde (…), ceux en Europe, à tuer les cochons de croisés, chacun en fonction de ses moyens", dit-il dans la vidéo diffusée vendredi par l’agence d’information de l’EI, Amak.

L’organisation djihadiste a reconnu la mort de son sympathisant tunisien. "L’exécutant de l’attentat de Berlin mène une autre attaque contre la police italienne à Milan et est tué lors d’un échange de tirs", dit le groupe via l’agence Amak.

QUELQUES CENTAINES D’EUROS

Selon le récit du chef de la police de Milan, Antonio de Iesu, Anis Amri est arrivé de France à la gare centrale de Milan vers 01h00 du matin (0h00 GMT). Il a ensuite poursuivi vers Sesto San Giovanni où deux jeunes policiers se sont approchés de lui parce qu’il leur semblait suspect à errer dans la rue.

Ses hommes, a précisé le chef de la police de Milan, ignoraient absolument qu’ils étaient face à Amri quand ils l’ont vu vers 03h00 du matin (02h00 GMT) devant la gare de Sesto San Giovanni, une banlieue ouvrière de Milan.

"Ils n’avaient pas idée que ça puisse être lui ; sinon, ils auraient été bien plus prudents", a-t-il déclaré. "Nous n’avions aucune information attestant qu’il aurait pu être à Milan."

Celui qui devait se révéler être Anis Amri ne s’est pas identifié à la demande des policiers, qui lui ont alors demandé de vider ses poches et son petit sac-à-dos. Il en a sorti une arme et tiré, blessant légèrement un des deux hommes à l’épaule.

Anis Amri s’est ensuite réfugié derrière une voiture, mais l’autre policier a réussi à tirer sur lui une ou deux fois. Il est mort sur le coup. Le Tunisien a été identifié grâce à ses empreintes digitales.

Toujours selon le chef de la police milanaise, Anis Amri était aussi armé d’un petit couteau de poche. Il avait sur lui quelques centaines d’euros, mais pas de téléphone portable et très peu d’effets personnels.

Ayant à un moment passé quatre années en prison en Italie, la police essaie d’établir s’il connaissait quelqu’un à Ssesto, qui abrite une communauté musulmane relativement importante.

"Il aurait pu perpétrer d’autres attentats. C’était un électron libre et un fugitif très dangereux", a estimé Antonio de Iesu.

LES EUROSCEPTIQUES CRITIQUENT

Les eurosceptiques, comme en France Marine Le Pen, ou le Britannique Nigel Farage, ont à la faveur de ces événements critiqué la gestion de l’espace Schengen.

"Cette escapade dans deux ou trois pays a minima est symptomatique de la catastrophe sécuritaire totale que représente l’espace Schengen", a déclaré la présidente du Front national dans un communiqué.

"Le mythe de la libre circulation totale en Europe, auquel s’accrochent encore mes adversaires dans cette élection présidentielle, doit être définitivement enterré. Il en va de notre sécurité", ajoute-t-elle.

L’opposition en France a appelé le gouvernement à s’expliquer.

L’Italien Beppe Grillo, fondateur du Mouvement Cinq étoiles (M5S), a demandé une réflexion sur l’espace Schengen ainsi que l’expulsion des migrants en situation irrégulière.

La chancelière allemande, Angela Merkel, pressée d’adopter une ligne plus dure en matière d’immigration après l’accueil d’un million de réfugiés en 2015, a estimé que l’attentat de Berlin soulevait de nombreuses questions et a promis de prendre des mesures pour renforcer la sécurité.

Anis Amri était arrivé en Europe en février 2011, en compagnie d’autres migrants débarqués en Italie dans l’île de Lampedusa. Il avait dit être mineur. Les documents actuels indiquent qu’il ne l’était pas. Envoyé à l’école à Catane en Sicile, il avait tenté de mettre le feu à l’établissement.

Condamné par la suite pour vandalisme, menaces et vol, il a passé près de quatre ans en prison en Italie, avant de faire l’objet d’une mesure d’expulsion vers son pays d’origine. Mais la Tunisie avait refusé de l’accepter parce qu’il n’avait pas de papiers prouvant sa nationalité.

Il s’était alors rendu en Allemagne et y avait demandé l’asile, une demande rejetée, les services de sécurité allemands l’ayant identifié comme une menace potentielle. Une fois encore, il n’avait pu être expulsé vers la Tunisie, faute de documents.

Angela Merkel a annoncé vendredi avoir dit au président tunisien, Béji Caïd Essebsi, que son gouvernement voulait accélérer l’expulsion des réfugiés n’ayant pas obtenu le droit d’asile et augmenter globalement le nombre d’expulsés.

(Avec Michel Nienaber, Victoria Bryan et Joseph Nasr à Berlin, Anneli Palmen à Düsseldorf, Tangi Salaün et Danielle Rouquié pour le service français, édité par Gilles Trequesser)

Terrorisme à Berlin - 20 décembre 2016 - Le miracle des papiers d’identités

http://mai68.org/spip/spip.php?article11766

Reuters : La police allemande est à la recherche d’un Tunisien après la découverte d’une pièce d’identité sous le siège du chauffeur du camion qui a foncé dans la foule le soir du lundi 19 décembre 2016 sur un marché de Noël à Berlin, faisant douze morts et des dizaines de blessés.

Note de do : Et hop ! le miracle des papiers d’identités se reproduit une fois de plus ! C’est tellement systématique que cela cesse d’être un miracle pour devenir une signature, celle du pouvoir qui manipule le terrorisme !

J’en viens carrément à me demander si ce n’est pas la police elle-même qui a placé cette pièce d’identité d’Anis Amri dans le camion ! il lui suffit en fait de dire l’avoir trouvée là. Comme ça, ça permet de lancer une chasse aux sorcières et d’affoler tout le monde. Et de justifier plein de saloperies, etc. Comme d’habitude, quoi.

Si tel est le cas, ce n’est peut-être pas Anis Amri qui conduisait le camion-fou de Berlin, mais il servira pourtant de coupable. Et, vu la façon dont est rédigé l’avis de recherche, il a vraiment fort peu de chance de s’en sortir vivant pour dire si oui ou non il conduisait ce camion ! Et si oui, par qui il était manipulé comme une marionnette.

En fait, le pouvoir s’est déjà fait coincer de nombreuses fois à désigner des coupables du terrorisme avant-même d’avoir commencé une quelconque enquête. C’est pourquoi il a inventé le coup des pièces d’identités systématiquement "oubliées" par les terroristes s’enfuyant de leurs véhicules.

Cela rappelle fortement le passeport d’un terroriste retrouvé intact le 11 septembre 2001 au milieux des décombres du World Trade Center, décombres toutes réduites en poudre, sauf justement ledit passeport. C’était le premier miracle du genre.

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Toulouse - 23 mars 2012 - Ils ont fait taire Mohamed Merah ! (vidéo 10’19)

http://mai68.org/spip/spip.php?article3972

Le meurtre de Mohamed Merah à Toulouse

expliqué par Vernochet le 22 mars 2012

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo

La Chine a dénoncé une manipulation.

Cliquer ici pour l’article et les commentaires.

9 janvier 2015

Ils ont fait taire Khaled Kelkal, ils ont fait taire Mohammed Merah, ils feront taire les frères Kouachi !

http://mai68.org/spip/spip.php?article8357

PAS DEUX SANS QUATRE !

"Ils" avaient tiré 11 balles sur Khaled Kelkal ! Danielle Mitterrand s’était indignée ! On se demandait qu’est-ce qu’"on" avait peur que Kelkal raconte !

Chiche laissez en vie les frères Kouachi
Afin de pouvoir les interroger !

(Par une police indépendante des services secrets)

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