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De l’espérance trahie, au désespoir mortel

dimanche 15 janvier 2017, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 15 janvier 2017).

A quelques jours de l’investiture du 45 ème président des États-Unis d’Amérique, Donald Trump le fantasque, que d’aucun n’aurait même pas parié sur son choix à représenter ne serait-ce que son propre parti, le parti républicain, battu d’avance par beaucoup d’électeurs de tout bords, alors que beaucoup voyaient l’arrivée de l’égérie du parti démocrate, celle qui avait le soutien du système en place, et surtout du fort puissant lobby juif, représenté par l’AIPAC. Au final, il n’y avait que lui et un groupe restreint de sympathisants pour croire en son étoile et sa réussite pour voler le sacre ultime.

L’on se rappelle que tous les espoirs étaient portés sur la personne de Barack Hussein Obama, successeur du plus détestable président que l’Amérique ait jamais connue. Celui dont l’histoire gardera de lui l’arrogance et le cynisme évangélique d’un va-t’en- guerre, à la clairvoyance et intelligence limitées, un illuminé, qu’une clique de loups aux dents longues, le groupe des néo conservateurs, constitué majoritairement de juifs sionistes, a bien voulu exploité et manipulé afin de vouloir déclencher une guerre de religion, sous une appellation douteuse de lutte contre le ‘’Terrorisme" (terme qui reste à définir).

Il est évident que ce groupe appartient à une mouvance radicale, ou le déterminisme d’une race prétendument supérieure à toutes les autres, voulait en découdre une fois pour toute avec une religion, l’islam, qu’on a voulu confondre avec l’islamisme, car se sentant en capacité de le faire, vu la suprématie affichée de la puissance militaire d’une Amérique en pole position de superpuissance. Toujours est-il que ces stratèges, de mauvais augures, n’ont jamais pris en compte le degré de résistance et la ténacité pugnace des résistants (des patriotes, il n’y a pas qu’en Amérique) à tenir tête à l’envahisseur oppresseur, et ce que veut dire mourir pour la liberté, et ce, malgré les leçons d’un passé encore récent, l’Amérique reste encore un mauvais élève (dixit le général vietnamien Giap).

L’Amérique ne pouvait avoir raison d’un peuple vietnamien héroïque, même s’il y avait un déséquilibre des forces, il est encore vrai, aujourd’hui, qu’elle ne le pourra pas en terre d’islam. Le peuple farouche d’Afghanistan en est l’exemple, pour témoigner des multiples guerres subi, sans être vaincu. Dire que sur le plan de la géostratégie pure, les données ont bien changé depuis, tout en défaveur de l’occident et son fer de lance l’Amérique ; Avec des puissances telles que la Russie, la Chine, l’Inde ou le Pakistan auxquelles on adjoindra l’Iran, avec laquelle il faudra bien compter, autant dire que l’Amérique et son organisation atlantiste foncent droit au mur.

Barack Hussein Obama, le président sur qui tous les espoirs étaient permis. Alors qu’il profitait d’un capital sympathie immense à travers le monde, ou tous les peuples de la planète voyaient en lui le sauveur de cette Amérique arrogante et belliqueuse, cela était d’autant plus vrai qu’il devait impérativement axer sa politique en investissant le champ d’un ordre politico économique mondial juste, et ne pas tomber dans les travers que son prédécesseur avait lui-même crée, en s’acoquinant avec certains lobbies cupides et opportunistes. Plus encore, il devait s’engager dans le règlement de la question palestinienne, même si cela n’était pas la priorité des problèmes des américains, d’autant plus que le droit légitime des palestiniens à fonder un état viable reste, encore aujourd’hui, la pierre angulaire d’un règlement des différends occidentalo-arabes, le discours du Caire en a donné, en tous cas, l’espoir, en vain.

Pour notre futur président des états unis d’Amérique, celui-ci annonce déjà la couleur de sa politique, les américains d’abord, la Chine en point de mire, la Russie comme interlocuteur possible, le soutien indéfectible à Israël, une haine de tout ce qui est hispanique, noir et surtout musulman. Cela fait tout un mélange de genre et un cordeau bien détonant, car les prémices d’une Amérique toujours arrogante sont là, rien ne change en perspective, si ce n’est que cela nous éloigne d’une 3e guerre mondiale, bien probable, si Hillary Clinton avait gagné les élections.

Mais comment ne pas se mêler les pinceaux, quand on veut nous faire croire que c’est la Russie de Poutine qui a été derrière l’élection de Trump, suite à des cyberattaques informatiques menés par des hackers russes à l’avantage de ce dernier, alors qu’Hillary Clinton avait tous les sondages pour elle. Plus encore, elle avait le soutien du système en place, de l’AIPAC, de la mafia Khazariane et ses puissants représentants, les familles Rockefeller, Bush, sans oublier George Soros (Aux États-Unis, l’arrestation de plus de 15 000 gangsters Khazarians par le FBI, a déjà commencé en date du 1er janvier, selon des sources du Pentagone), et des establishments Chinois et Japonais (qui sont ébranlés par le choc de cette perte). Aux dernières nouvelles, Trump s’avère être une carte maîtresse aux mains des réels décideurs aux states, parmi eux de fervents démocrates.

Trump, n’est-il pas ce lapin sortie du chapeau de l’oncle Sam ? Un tour d’illusionniste pour impressionner la galerie afin de détourner les regards sur les réels manœuvres dont l’Amérique garde les secrets, se concentrer sur un spot illusoire et ne rien entrevoir de se cache l’obscurité, alors que des vrombissements de chars se font entendre.

Notre futur président ne risque t-il pas d’être assassiné avant son investiture ? Pour avoir faussé les plans de ceux qui avaient investis Hillary, ou ferait-il les frais de certains lobbys (banquiers et militaires) ? Si leurs exigences ne sont pas exhaussées, ce qui fera de lui une simple marionnette entre leurs mains.

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