Côte d’Ivoire - 3 avril 2011 - 800 personnes sauvagement exterminées par Ouattara au service de la France !

Commentaire de CESAR paragraphé par do

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Il faut dire les choses telles qu’elles sont sans passer par quatre chemins ou des phrases kilométriques. D’après le HCR, plus de 800 femmes, enfants et hommes de tous âges et conditions de Douékoué ont été sauvagement exterminés par les seigneurs de la guerre de Ouattara dont celui-ci est commandant en chef.

Ils ont également massacré des fidèles et leur pasteur dans une église. Les victimes sont majoritairement d’ethnie Guélé, proches des Bétés dont le président légitime de la RCI est issu. Ils ont donc été massacrés pour ce qu’ils sont.

Monsieur Ouattara a reconnu ses forfaits mais il a prétendu que les victimes étaient des milices pro-Gbagbo. C’est-à-dire que pour lui, des bébés, femmes et vieillards étaient des miliciens. Le cynisme est une notion inconnu chez Ouattara.

Les bouchers de ces pauvres innocents ont été armés et entraînés par la France. Les militaires français et ceux de l’ONUCI ont participé à ces massacres car ils étaient dans les véhicules de l’ONUCI et les armes utilisées sont françaises.

Ces crimes constituent juridiquement un génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité.

Au vu de tous ces faits, Monsieur Ouattara s’est rendu coupable de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Il devra répondre de ses actes devant la CPI. Les témoignages des rescapés sont accablants contre Ouattara.

Les militaires français et ceux de l’ONUCI sous l’autorité de Monsieur Choi se sont rendus coupables de génocide, crimes de guerre et crimes contre l’humanité contre les civils ivoiriens. Les faits ne sont pas à démontrer. Il faut que la vérité éclate et que les clowns dits présidents africains se regardent dans la glace s’ils ont le sens d’humanité bien entendu.

Ou est Jean Ping ? Où sont les prédicateurs des droits de l’homme qui, hier, pourfendaient le président Gbagbo ?

Les escadrons de la mort de Ouattara utilisent la population d’Abobo comme boucliers humains.

Lors de la fameuse manifestation des femmes organisées par ces escadrons de la mort, sept femmes ont été tuées suite aux répliques de l’armée ivoirienne aux tirs de ces tueurs d’ADO. Certains prédicateurs des droits de l’homme africains ont soutenu être indignés par ces crimes qu’ils ont qualifié de crimes contre l’humanité.

Monsieur Ouattara a saisi la CPI et son sponsor la France a saisi le Conseil de sécurité pour que celui-ci condamne le président Gbagbo pour la mort de 7 femmes pro-ADO. Les médias français en ont fait une large publicité et tous ceux qui regardent les télévisions françaises ont vu des soit-disant experts en tous genre dans les affaires ivoiriennes et tous anti-Gbagbo.

Or, face à plus de 1000 femmes, enfants, vieillards et hommes de toutes conditions exterminés par les escadrons de la mort de Ouattara, ces gens observent le silence de tombeau. Les journalistes de télé et de RFI, un des porte-parole de Ouattara en France, tentent cyniquement de minimiser cette extermination des paysans ivoiriens par Ouattra.

Le comble pour ces gens est que Ouattara a reconnu ses forfaits. Monsieur Ouattara marche dans le sang des Ivoiriens vers le palais présidentiel. Il n’y arrivera pas. Il était dans une coquille avec l’appui de la France qui faisait sa publicité. Il vient d’en sortir. Le monde entier connaît ce qu’il est exactement. Un exterminateur des femmes, enfants et hommes de tous âges de Douékoué. Il est donc un criminel notoire et doit être traîté comme tel. Ceux qui le soutienent doivent savoir que ces crimes ne resteront pas impunis.

Ce qui est édifiant, Juppé est informé depuis mardi 29 mars 2011 de l’implication des militaires français dans ces crimes. Il a ergoté aujourd’hui sur le président Gbagbo. Force est de constater qu’il n’a dit aucun mot sur ces crimes horribles.