À BAS LA LIGUE CONTRE LA VIOLENCE ROUTIÈRE !
28 mai 2011
Bonjour à toutes et à tous,
Les ligues de vertu viennent du monde protestant anglo-saxon, monde adoré par notre sarkonazi chéri, et sont là pour nous interdire tous les plaisirs sous divers prétextes, dont il importe peu qu’ils aient ou non un fond ou un arrière-fond de vérité. Il s’agit d’interdire le plaisir.
Relisez Lucky Luke, et regardez-les toutes ces mégères qui veulent interdire les saloons et les strip-tease ! Et regardez la tête de la dame patronnesse de la Ligue contre la violence routière !
La Ligue contre la violence routière fait partie de ce petit monde puritain.
Elle fait partie de ces associations soit-disant indépendantes, mais en réalité financées par des personnes réelles ou morales (Et dans ce cas, il faudrait même dire "moralistes" !) très puissantes, par exemple par l’État. Et n’ont pour but que la propagande, comme expliqué dans cet indispensable article intitulé « Petit traité de propagande : perroquets, associations "indépendantes" et sondo-mensonges » dont voici le lien :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1306
« Ligue contre la violence routière »
Analysons brièvement ce nom, "Ligue contre la violence routière" :
Ça commence par "Ligue", comme dans "Ligue de vertu". C’est un lapsus révélateur, c’est de l’auto-dénonciation.
Et ça finit par "Violence routière". Ce qui veut dire que maintenant, quand il y a un accident de la route, il y a un coupable très méchant qui doit être sévèrement puni. Désolé, madame la puritaine, mais un accident, c’est justement quand il n’y a pas de coupable. C’est pourquoi je m’oppose formellement au remplacement de l’expression "accident de la route" par l’expression "violence routière" ; conformément à ma théorie du concept :
http://mai68.org/spip/spip.php?article1701
De la violence routière, ce serait par exemple quand on fait exprès, avec sa voiture, de tamponner une autre voiture, ou bien une personne, ou un autre véhicule, ou autre chose. Sinon, il ne s’agit nullement de "violence routière", mais d’un accident, c’est-à-dire sans coupable, et donc sans punition.
Voici un bel exemple de violence routière bien réelle qui s’est passée à Villiers-le-Bel :
QUI NOUS PROTÈGERA DE LA POLICE ?
Pour lire l’article correspondant à cette image, cliquer sur le lien ci-dessous :
Là où l’on voit bien le caractère fallacieux de l’expression "violence routière", c’est dans la propagande que fait cette ligue de vertu en faveur des radars automatiques et contre les avertisseurs de radars. En quoi y aurait-il violence à dépasser la vitesse légale de quelques km/h ? C’est ridicule ! De tels propos sont bien dignes de la propagande d’une ligue de vertu.
À BAS TOUTES LES LIGUES DE VERTU !
Le radar automatique, symbole du sarkonazisme (vidéo 1’49)
http://mai68.org/spip/spip.php?article2797
La ligue contre la violence routière veut interdire le plaisir de conduire
Mais, s’il n’y a plus aucun plaisir à conduire, comme la voiture sert uniquement à aller au travail, et bien, c’est au patron à payer la voiture, et l’essence, et les réparations. Et aussi : le temps de déplacement pour aller au travail et pour en revenir doit être payé en heures supplémentaires.
Bien à vous,
do
28 mai 2011
http://mai68.org
Post-scriptum :
1°) Mieux vaut vivre moins longtemps, mais en liberté ; plutôt que vivre longtemps en prison !
Quand vous avez un chat à la maison, préférez-vous le laisser vivre sa vie en liberté, au risque qu’il se fasse écraser par une voiture ? ou préférez-vous l’enfermer en prison dans votre maison sans qu’il ait jamais le droit d’en sortir ?
Les êtres humains, c’est pareil : ils préfèrent courir le risque de mourir un peu plus jeune, mais libres ; plutôt que vivre plus longtemps mais en prison.
2°) Comment se fait-il que les personnalités dites "de gauche" n’ont pas défendu le plaisir et la liberté contre le puritanisme des Ligues de vertu ? les personnalités dites "de gauche" sont-elles vraiment de gauche ?
3°) j’avais prévu dès avant l’élection de Sarkozy que s’il était élu, les ligues de vertu auraient un brillant avenir, c’est dans la « NOTE (**) » de cet article :