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VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MINISTÈRE ÉCOLOGIQUE !

mardi 7 février 2017, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 20 juillet 2011).

À la caisse d’un super marché une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui a alors reproché de ne pas se mettre à « l’écologie » et lui dit :

« Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! »

La vieille femme s’est excusée auprès de la caissière et a expliqué : « Je suis désolée, nous n’avions pas de mouvement écologique dans mon temps. »

Alors qu’elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta :

« Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps ! »

La vieille dame admît qu’à l’époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de Coke et de bière au magasin. Le magasin les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises. À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.

De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu’à l’épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues. Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

À l’époque, on lavait les couches de bébé ; on ne connaissait pas les couches jetables. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge ; pas dans un machine avalant 3000 watts à l’heure. On utilisait l’énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.

À l’époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d’un frère ou d’une soeur à l’autre. C’est vrai ! On ne connaissait pas le mouvement écologique.

À l’époque, on n’avait qu’une TV ou une radio dans la maison ; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d’une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l’État du Texas.

Dans la cuisine, on s’activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.

Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servies, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

À l’époque, on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon ; on n’avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées.

À l’époque, on travaillait physiquement ; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité. Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.

À l’époque, on buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif ; on n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu’on voulait prendre de l’eau.

On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo ; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage. Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

À l’époque, les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l’école au lieu d’utiliser la voiture familiale (souvent tout-terrain !) et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.

À l’époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée. Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.

ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MINISTÈRE ÉCOLOGIQUE !

10 Messages de forum

  • Alors, là, bravo pour le rappel des économies de "l’époque" :D Je suis scandalisée qu’une caissière puisse se permettre d’être aussi irrespectueuse avec une personne plus âgée . Un jour, son tour arrivera, avec -peut-être- ses propres enfants qui lui reprocheront d’avoir écologiquement gaspillé les mêmes ressources de la Terre, d’avoir laissé faire les divers gouvernants et oligarchies à museler la liberté -dont celui d’utiliser un sac plastique-, le droit à la parole, d’avoir laissé les industries gérer notre alimentation (pesticides, colorants, additifs) et notre santé (épandages divers, médicaments dangereux, vaccinations mortelles) et de se retrouver peut-être "grâce" à l’écologie régressive prônée par certains grands mouvements en vogue, à un âge "de pierre"…. Quelle sera à ce moment-là sa réponse ?

  • merci à vous, de nous rappeler le bon vieux temps des bouteilles consignées…
    et qu’il n’y avait pas besoin d’un bruyant moteur à essence développant 9000 Watts pour tondre un carré de pelouse.

    mais les Verdâtres n’en sont plus à une ânerie près…

    respectueuses salutations.

    omdeboi

  • en parlant d’âneries
    chez moi c’est justement mon âne mes moutons mes chèvres qui tonde ma "pelouse" et et je les bouffe l’automne venu.
    je fait mes conserves dans des bocaux qui appartenais a ma maman peut être a ma grand mère, pour accompagner le gibier que je braconne.
    je fais du feu devant ma maison en buvant un pastis avec l’eau de ma source…ect

    et j’emmerde les verdâtre.

  • VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MINISTÈRE ÉCOLOGIQUE ! 29 août 2011 10:37, par Valérie de haute Savoie

    Oh là ! Ce n’est pas parce qu’une caissière se permet de culpabiliser une cliente que tous les verts sont comme ça voyons. Je suis de l’âge où les bouteilles étaient encore consignées, où nous lavions la vaisselle à la main, où l’on allait à l’école à pied et pourtant je suis verte :o)

  • La réaction de cette caissière est, s’il ne s’agit pas d’une fable, d’une naïve bêtise. Maintenant j’aurais tendance à souligner plus le mot "génération" que "écologie" dans cet échange. Car cette histoire de sacs plastiques est plus que dérisoire au regard de la problématique éconologique (économique-écologique) que l’on va affronter et dont ne se doute absolument pas cette jeune femme. A ce titre, une caissière de supermarché qui parle d’écologie, c’est aussi comique qu’un buraliste expliquant les dangers du cancer du poumon. 99.9% des produits vendus en grande surface étant 1/ sur-emballés 2/ sur-transportés 3/ sur-transformés 4/ gavés de produits toxiques en tout genre 5/ sur-consommés. A ce stade, ils pourraient tout aussi bien proposer de mettre les courses dans des caisses en plastique jetable que cela ne changerais pas grand chose à l’équation. C’est un peu comme mettre des éoliennes en Europe, tout en ignorant que la chine et l’inde (et les BRIC en général) s’en balance grave…

    Mais comme je le disais, si cette anecdote est réelle, elle me semble plus sociologique qu’écologique. Elle symboliserait de ce fait assez bien un clash générationnel qui, avec 20% de chômage des jeunes, ne va aller qu’en s’aggravant.

    En sommes, cette jeune caissière pourrait répondre à cet article :
    « Oh mais si, Madame, on va te faire chier avec l’écologie, et pas seulement avec l’écologie. On va aussi faire rembourser ta génération ! On va lui faire payer l’ardoise qu’elle nous laisse, cette dette énorme que VOUS avez contractée pour maintenir VOTRE niveau de vie. On va aussi casser un à un l’ensemble des outils financier que VOUS avez fabriqué pour cracher plus de cash et qui aujourd’hui NOUS pète à la gueule, induisant une dette encore plus énorme que NOUS allons devoir payer à grand coup de plan d’austérité votés par TA génération. Pour cela ON va commencer par arrêter de te payer VOS retraites qui ne sont pas un droit. Puis poursuivre en reprenant le patrimoine que tu t’es mis de côté en monnaie, comme en pierre. Car nous, non seulement nos emplois, quant on arrive à en avoir un, ne NOUS permettent plus de vivre, mais en plus, ON ne sait plus où loger nos famille… »

    Et de conclure…
    « Car tu oublies un peu facilement, Madame, que les si belles choses de TON époque dont tu me rabats les oreilles aujourd’hui, t’ont été léguées par TES parents. Ces parent que tu as (quelle ironie n’est-ce pas ?) accusé de tous les maux en leur crachant à la gueule. Ce n’est en aucun cas ce que VOUS les avez construites. Vous ce que vous avez construit, c’est la dette, l’agriculture de guerre, la société de sur-consommation, la déstructuration sociale, la consommation des ressources, et la préservation à grands frais de vos privilèges. Tout ce qui forme MON quotidien que TU as aujourd’hui en plus le toupet de ME reprocher. »

    Alors je ne fais ici que poursuivre la peinture sociale de cet article avec ce que je pense ne pas être bien éloignée de l’état d’esprit de la génération "jeune" actuelle. Ce qui se passe en Espagne ou en Angleterre semble en tout cas le confirmer. Alors c’est sans aucun doute une vision extrême et biaisée de la réalité, mais c’est aussi un état d’esprit bien réel dont il faut sérieusement se préoccuper avant que sa concrétisation ne nous dépasse bien plus rapidement que cette histoire d’écologie. En somme, répondre à un clash générationnel (le début de l’article) par un déni de réalité sous la forme d’un "va chier", ne me semble, et de loin, pas l’attitude la plus conseillée en la situation.

    • Ce que tu suggères que la caissière pourrait répondre à la vieille dame est très précisément ce que la propagande du pouvoir souhaite qu’elle réponde.

      Diviser pour mieux régner. Diviser, entre autre, entre les générations. Telle est la politique du pouvoir.

      Le pouvoir n’a de cesse de tenter de faire croire aux "jeunes" que les "vieux" leur ont tout pris. Ce qui est évidemment faux.

      La dette n’est pas due aux avantages acquis par les vieux grâce à leur pratique conséquente de la lutte de classe, mais à la loi Rothschild.

      Cette loi votée en 1973 interdit à l’État français de fabriquer lui-même l’argent dont il a besoin. Il doit depuis cette loi l’emprunter avec un taux d’intérêt non-négligeable aux banques privées. Alors qu’avant cette loi, il l’empruntait à taux zéro à la banque de France ; c’est-à-dire qu’il avait auparavant le droit de battre monnaie. Droit qu’il a perdu à cause de cette loi. Clique le lien juste ci-dessous pour bien comprendre tout ce que cela signifie :

      http://mai68.org/spip/spip.php?article1245

      Par conséquent, si ce que répond la vieille dame à la jeune caissière est parfaitement vrai, ce que tu fais répondre par la jeune caissière complètement écervelée n’est qu’une vulgaire répétition de la propagande mensongère du pouvoir.

      Quant aux indignés, ils veulent tout comme moi annuler cette dette indigne. Ils l’ont assez dit en Grèce par exemple. Et si ce sont surtout les jeunes qui campent sur les grandes places des grandes villes, c’est parce que c’est un truc de jeunes. Mais ils ont évidemment le soutien des vieux et ceux-ci sont toujours bien accueillis par eux dans le mouvement.

      Le mouvement des indignés est évidemment intergénérationnel. Faut-il te rappeler l’âge de celui qui a écrit le livre « Indignez-vous ! » ?!

      • Me permettrais-je de te rappeler qu’en 73, cette loi, c’est justement cette génération de "vieux" qui l’a votée ? Donc désolé si, je persiste, cette caissière aurait parfaitement raison de reprocher l’ardoise laissée. Car cette loi idiote (merci pour le lien au passage, je vais faire passer cela avec ceux qui bosse sur les banksters de mon côté je suis plus nucléocratie ;-) n’est en aucun cas le produit de SA génération, mais bien de cette qui la précède.

        La seule chose que je voulais dire par cette petite fiction certes caricaturale (mais c’est dans le ton avec "va chier avec ton ministère de l’écologie", non ? ;-), c’est qu’il peu devenir fatiguant pour une génération de se faire reprocher un mode de vie qui a été dés-facto conçu par la génération qui la précède. Un phénomène encore aggravé par le fait que la dite génération s’accroche aujourd’hui à ce pouvoir en prétendant que 50 balais c’est "jeune", et qui bloque du coup la monté des jeunes dans les partis (je n’ai que l’exemple du PS, mais je me doute que c’est ainsi partout).

        Alors ceci étant dit, j’ai sans aucun doute une énorme dent, peut-être excessive, contre ma génération n-1, je ne le conteste pas :)

        En tout cas merci d’avoir répondu. Je vais aller lire ton article sur le PS au pays de la nucléocratie…

        • Salut,

          Tu dis : « Me permettrais-je de te rappeler qu’en 73, cette loi, c’est justement cette génération de "vieux" qui l’a votée ? »

          Et bien c’est faux, ce n’est pas toute cette génération très contestataire qui a décidé de cette loi très réactionnaire, mais essentiellement un seul homme : Rothschild !

          Et il a été aidé pour que cette décision soit prise par l’État français par des hommes à sa solde, des dirigeants qui ont voulu qu’à la génération contestataire de 1968 et des années 70 succède une génération ou plusieurs générations de moutons. Opération relativement bien réussi grâce à :

          1°) La télévision : les génération récentes ont été éduquées par la télé contrairement aux générations d’avant

          2°) À l’esclavage par la dette : comment veux-tu qu’un salarié qui doit payer 600 Euros de dette par mois à sa banque puisse faire une vraie grève bien dure ?

          3°) Et au valium : au moins la moitié de la population française est abrutie par le valium (ou ses équivalents) que l’on donne d’ailleurs même aux enfants du plus jeune âge, afin qu’ils en deviennent accroc.

          Le mode de vie d’aujourd’hui n’a pas été conçu par la génération qui a précédé, mais par ses dirigeants, ce qui n’est pas du tout pareil !

          Il manque à tes analyses une chose essentielle sans laquelle tu te tromperas toujours beaucoup : l’analyse selon la lutte des classes :

          Une classe d’exploiteurs et une classe d’exploités.

          Il n’est pas question de reprocher aux exploités des décisions prises par leurs propres exploiteurs contre lesquels il n’ont eu de cesse de lutter, notamment en mai 68 !

          Bien à toi,
          do
          http://mai68.org

  • Toutes ces histoires d’écologie sont pour le business, pas pour la sauvegarde de la planète. La caissière est formatée aux attentes des grands groupes industriels et sera une brave consommatrice qui rentre bien dans le moule.
    La vieille dame a du recul, du vécu et les pieds sur Terre. Les écologistes tels qu’on veut nous les faire voir, sont une bande de farfelus avides de pouvoir et d’argent. Les vrais, eux, n’ont pas besoin de se vanter à longueur de journal télévisé ou autres. La seule fois où ils sont vraiment verts, c’est quand ils se font battre aux élections !

  • Comme le dit do, la réponse de la caissière est exactement ce que veut entendre le pouvoir. Aujourd’hui, nous pouvons écouter ou lire n’importe quel média mainstream et nous retrouvons toujours les mêmes mythes.

    Mythe 1 : depuis la chute du mur et le cri de victoire des capitalistes symbolisé par la thèse de Fukuyama, il n’y a plus d’idéologie, et comme il n’y a plus d’idéologie cela signifie que nous sommes autorisé à critiquer tout ce que nous voulons tant que nous ne critiquons pas le capitalisme.

    Mythe 2 : avec la révolution industrielle, non seulement le capitalisme s’est développé de manière exponentielle mais aussi ses ravages. L’essor technologique a permis le développement du capitalisme dans tous les aspects de notre vie et ceci dans tous les recoins de la planète. Le scientisme, une véritable religion qui n’osera jamais dire son nom, a toujours servi aux élites pour justifier les pires excès de la technique. "On arrête pas le progrès !" ne suffit plus aujourd’hui pour faire vendre alors on nous fait croire que les nouvelles technologies résoudront les problèmes causés par les anciennes.

    Quand j’étais gamin, j’allais à pied à la laiterie du quartier avec mon bidon à lait pour le faire remplir, et le lait que la laitière mettait dedans était du vrai lait cru comme celui sort du pis d’une vache. Aujourd’hui, les briques en cartons contribuent à alimenter la montagne de nos déchets, le lait est un produit chimique comme les autres et même à la ferme il est devenu difficile de trouver du lait cru, il y a longtemps que la laitière comme la laiterie ont disparu pour être remplacées par des industries dont on ne connaît souvent que le nom et le logo, et cette industrie a des caissières qui insultent parfois leurs clients. Jamais la laitière de mon quartier ne se serait permise d’insulter un de ses clients même si celui-ci le méritait.

    Une des marottes des caissières, je suis souvent avec un sac à dos, est de me demander de l’ouvrir pour inspecter le contenu. Elles se prennent pour des douaniers, avec la différence que les douaniers eux ont la loi de leur coté. Une bonne parade dans les deux cas est de faire la grève du zèle. Tu ouvres une poche du sac, ou le coffre de la voiture, et tu sors un objet. 1 pas 2. Tu le lui montres bien et tu le poses dans un endroit sur (par exemple à l’intérieur du poste de douane, ça fait bien traîner les choses et ça leur fout le bordel). Ensuite tu sors le deuxième objet que tu lui fais bien voir sous toutes les coutures. Si c’est objet contient d’autres objets, tu t’en donnes à coeur joie. Un porte-monnaie. J’adore les portes-monnaies, ils ont plein de poches. Les sacs à main c’est bien aussi. Et tu continues à tout sortir 1 par 1. Et à tout ranger 1 à 1 aussi. Et si elle te demande d’accélérer, tu lui réponds que c’est elle qui a voulu voir le contenu, que tu ne fais que t’exécuter avec la meilleure des bonnes volontés, et que tu veux être sur de ne rien oublier. Tu peux en profiter pour lui rappeler que d’après les statistiques des magasins, les premiers voleurs sont leurs propres employés. Le plus drôle est quand d’autres clients perdent leurs nerfs, cela donne une bonne occasion pour stopper le déballage-remballage et discuter avec eux, ce qui fait encore plus traîner les choses.

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