VIVE L’AMOUR LIBRE !
Le refoulement sexuel est une bombe à retardement
Extrait de "Peur sur la ville" d’Henri Verneuil (1975)
Enregistré sur Arte le 2 juillet 2012 à 20h50
Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.
Bien sûr, c’est en 1975, c’est-à-dire quelques années avant le SIDA que, dans la vidéo, l’on nous explique que les barrières sexuelles sont allègrement franchies par les adultes à cette époque ; les interdits ne s’appliquant alors que chez les enfants et les adolescents.
Depuis, le SIDA est apparu et a remoralisé les moeurs, même chez les adultes.
La vidéo dénonce que c’est volontairement que la société, c’est-à-dire le pouvoir, installe le refoulement sexuel dès le plus jeune âge en chaque individu ; mais elle oublie d’expliquer pourquoi.
C’est tout simple, il faut bien castrer les taureaux pour en faire des boeufs et les béliers pour en faire des moutons. Le pouvoir veut que le travailleur soit fort comme un boeuf et non pas dangereux comme un taureau. Il veut aussi que nous soyons obéissants comme des moutons plutôt qu’aussi rebelles que des béliers.
Sans frustration sexuelle, impossible d’accepter l’exploitation de l’homme par l’homme, et impossible de s’insérer dans une hiérarchie. Car l’on ne veut alors ni dieu ni maître !
Le refoulement sexuel est une castration invisible qui a l’avantage de permettre la reproduction des esclaves dont les maîtres ont tant besoin : « Croissez et multipliez ! » recommande la bible et la propagande télévisée (mais, uniquement dans les conditions de la morale autorisée ; et, si possible, évitez de baiser pour le seul plaisir, d’ailleurs, le plaisir est-il moral ? « Le travail oui ! le plaisir non ! », n’a de cesse de nous seriner la télévision).
Pour plus d’explications, cliquer ci-dessous :
http://mai68.org/textes/sida/Index.htm
(En prime, vous aurez la preuve scientifique que le SIDA a été volontairement créé par le pouvoir et volontairement inoculé à l’homme pour contrer, justement, la révolution sexuelle hippie et yippie qui se faisait jour à Woodstock en 1969, et qui menaçait de détruire toute hiérarchie et toute forme d’exploitation de l’homme par l’homme.)
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