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L’Europe autorise l’armement des prétendus ’rebelles’ soit-disant "syriens"

mardi 28 mai 2013, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 28 mai 2013).

Donc la France va armer al-Qaïda, et les divers mercenaires de l’impérialisme américano-sioniste et autres arracheurs de coeurs et cannibales.

Preuve que les opposants à Bachar el-Assad mangent de la chair humaine ! (vidéo 33’’) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article5165

Aucune différence fondamentale entre ASL et al-Nosra (al-Qaïda en Syrie) :

Aujourd’hui, afin de justifier l’intervention américano-sioniste en Syrie, la propagande occidentale essaie de nous faire croire à une profonde différence entre d’une part l’ASL (Armée "Syrienne" "Libre"), et d’autre part le Front al-Nosra lié à al-Qaïda ; mais, cette différence — à supposer qu’elle ait réellement existé, ce dont je doute puisque les deux étaient financés, armés et entraînés par l’impérialisme occidental — s’ammenuise de plus en plus ; en effet, les mercenaires de l’ASL rejoignent massivement le Front al-Nosra. Article complet au lien ci-dessous :

http://mai68.org/spip/spip.php?article5177

L’UE autorise par défaut l’armement des rebelles syriens

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRPAE94R00220130528?sp=true

mardi 28 mai 2013 07h19

Membres de l"Armée libre syrienne à Alep. L’Union européenne va autoriser de fait ses États membres à livrer des armes aux rebelles syriens en l’absence d’accord lundi entre les Vingt-Sept sur une prolongation de l’embargo. /Photo prise le 17 mai 2013/

par Justyna Pawlak et Adrian Croft

BRUXELLES (Reuters) - L’Union européenne va autoriser de fait ses Etats membres à livrer des armes aux rebelles syriens en l’absence d’accord lundi entre les Vingt-Sept sur une prolongation de l’embargo.

La France et la Grande-Bretagne, qui militent depuis des mois en faveur d’une aide militaire aux rebelles cherchant à renverser Bachar al Assad, se sont toutefois engagées à ne pas fournir d’armes aux insurgés "pour l’instant", peut-on lire dans une déclaration publiée à l’issue d’une réunion des ministres des Affaires étrangères à Bruxelles. Cet engagement expire le 1er août, ont précisé des responsables européens.

Paris et Londres sont donc parvenues à leur fin mais aux dépens de l’unité européenne.

Plusieurs pays, au premier rang desquels l’Autriche et la Suède, jugent qu’un afflux d’armes en Syrie va aggraver les violences dans ce pays et contribuer davantage à la déstabilisation de la région.

Pour éviter que le refus franco-britannique de toute prolongation de l’embargo sur les armes n’entraîne une levée de l’intégralité des sanctions européennes à leur expiration samedi, les 27 ministres des Affaires étrangères sont tout de même parvenus à s’entendre sur le renouvellement de toutes ces sanctions, à l’exception de celles portant sur les armes.

Les sanctions renouvelées portent notamment sur un gel des avoirs et sur des interdictions de visas à l’encontre de Bachar al Assad et de plusieurs proches du président syrien. Elles concernent aussi les relations commerciales, des projets d’infrastructure et le secteur des transports.

RENFORCER L’OPPOSITION AVANT LA CONFÉRENCE

Le secrétaire britannique au Foreign Office a déclaré que le Conseil européen des ministres des Affaires étrangères avait ainsi de fait levé l’embargo sur les armes.

"Même si nous n’avons pas dans l’immédiat de projet de livraison d’armes en Syrie, cela nous fournit la souplesse nécessaire pour réagir à l’avenir si la situation continue de se détériorer", a dit William Hague à la presse.

Le conflit en Syrie a fait plus de 80.000 morts, selon l’Onu. Il a débuté en mars 2011 par des manifestations contre le régime de Bachar al Assad, dont la famille est au pouvoir depuis 1970, avant de dégénérer en conflit armé.

La France juge que le soutien militaire fourni par la Russie et par l’Iran aux forces syriennes justifie des livraisons d’armes aux insurgés afin de contraindre le régime à négocier.

Les Etats-Unis et la Russie ont lancé une initiative conjointe pour tenter d’organiser en juin une nouvelle conférence réunissant les différentes parties dans le but de parvenir à une solution négociée au conflit.

Paris et Londres pensent que la perspective de livraisons d’armes aux insurgés permettra de renforcer l’opposition syrienne lors de ces pourparlers, même si cette dernière, divisée, n’a toujours pas décidé de participer ou non à une telle conférence.

Au sein de l’UE, certains pays hostiles à de telles livraisons d’armes s’étaient dits prêts à accepter un assouplissement de l’embargo mais pas sa levée pure et simple. La Grande-Bretagne a toutefois refusé tout compromis, a-t-on appris de sources diplomatiques.

"Les Britanniques n’ont pas cédé un pouce", a déclaré un diplomate.

Le ministre autrichien des Affaires étrangères, Michael Spindelegger, a regretté qu’il n’ait pas été possible de trouver un terrain d’entente avec Paris et Londres.

Il a ajouté que l’Autriche allait désormais réfléchir au sort de ses 380 militaires patrouillant au sein de la force de l’Onu sur le plateau du Golan, entre Israël et la Syrie.

Catherine Ashton, Haute Représentante de l’UE pour les Affaires étrangères, s’est efforcée de donner le change en assurant que l’Union européenne n’avait pas perdu sa capacité à "avoir une politique commune".

"Ce que cela signifie, c’est qu’il y a une reconnaissance du fait qu’en tentant de déterminer la meilleure manière de soutenir le peuple syrien, les pays voudront prendre des décisions (par eux-mêmes)", a-t-elle dit à la presse.

Même si la France et la Grande-Bretagne décident de fournir des armes aux rebelles, elles devront autoriser ces livraisons au cas par cas et vérifier qu’elles ne finissent pas entre de mauvaises mains.

Avec Ilona Wissenbach, Claire Davenport, Rex Merrifield à Bruxelles, Yesim Dikmen à Istanbul, Bertrand Boucey pour le service français

Syrie et gaz sarin, Le Monde appartient-il aux services secrets français ?

Doit-on croire ce que prétend Le Monde au sujet du gaz sarin, soit-disant utilisé par Bachar el-Assad contre les mercenaires de l’impérialisme americano-sioniste, quand on se souvient des mensonges que ce journal a fait circuler en 1994 pendant le génocide du Rwanda commis par la France ?

L’agent israélien Botul-BHL est « membre du conseil de surveillance du "Monde" ». Gageons qu’ainsi, après avoir été dirigé par Colombani, l’honnorable correspondant à la DGSE (service secret français), Le Monde est bien surveillé !

Mais, selon Carla del Ponte, l’ancienne procureur à la Cour pénale internationale et membre de la Commission d’enquête de l’ONU sur les violations des droits de l’homme en Syrie, ce sont les "rebelles" qui utilisent du gaz sarin.

Car, bien sûr, Damas, loin de refuser l’enquête de l’ONU, était dès le début prêt a l’accueillir.

Gageons que les pseudo-témoignages des prétendus "journalistes" du monde auront servi à empêcher la prolongation de l’embargo sur les livraisons d’armes en syrie.

Article complet : http://mai68.org/spip/spip.php?article5249

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