En réponse à :
1er septembre 2011, par anonyme
Parce que l’histoire de comment un agent d’al-Qaïda a pu se retrouver haut-commandant militaire à Tripoli va – une fois de plus – briser l’immense champ de miroirs qu’est « la guerre contre le terrorisme » et compromettre sérieusement la propagande patiemment concoctée par l’OTAN sur son « intervention humanitaire » en Libye.