Algérie 54 donne une version du coup d’Etat en Guinée-Conakry du 5 septembre 2021 qui ne correspond pas à la version officielle propagée par les médias français en citant notamment la visite le 6 août 2021 de Nicolas Sarkozy, l’ami et l’homme de confiance de Benny Steinmetz, auprès du président qui allait être renversé…
Le fait que le média algérien révèle la présence d’agents du Mossad dans l’opération ne doit pas faire oublier que c’est un soldat français formé par la Légion, le colonel Mamadi Doumbouya, tout juste sorti de l’Ecole de guerre en 2018 pour devenir le chef des forces spéciales (GFS) du président Alpha Condé qui exécuta le putsch.
Une opération militaire sanglante où toute la garde prétorienne du président Alpha Condé a été massacré…
Une information relative à la vie privée du colonel Doumbouya, son épouse, la maréchal des logis-chef, Lauriane Darboux, qui était encore il y a trois ans officier de police judiciaire, affectée au groupe d’enquête et de lutte anti-cambriolage (Gelac) de Valence souligne la complicité au plus haut niveau de la France.
Car madame Darboux-Doumbouya appartient toujours à la réserve opérationnelle de la gendarmerie nationale…
Le journal "Le Dauphiné libéré" du 30 octobre 2021 s’en fait fièrement l’écho ; l’article est intitulé sous une curieuse rubrique "Politique" "Une gendarme drômoise Première dame de la Guinée"
Le journaliste Thomas Zimmermann y dénonce les méchants trolls venus de Russie qui saliraient sur les réseaux sociaux le destin hors du commun de la gendarmette Darboux et de son géant de mari, l’ex-caporal-chef Doumbouya du 2e Régiment étranger d’infanterie de Nîmes.
Un glorieux régiment de Légion que celui-ci mis en vedette récemment dans une affaire de proxénétisme et de traite d’être humains.
Avant que vous n’allez chercher sur Google ce fait divers, particulièrement salé, je vous invite à lire l’analyse très intéressante du coup d’état en Guinée d’Algérie 54.
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