VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > "5e vague" : Toubiana (IRSAN) censuré sur Médiapart !

"5e vague" : Toubiana (IRSAN) censuré sur Médiapart !

dimanche 28 novembre 2021, par Luniterre

2 Messages de forum

  • "5e vague" : Toubiana (IRSAN) censuré sur Médiapart ! 29 novembre 2021 02:05, par a_suivre

    Comme l’explique parfaitement cette Camarade dans cette courte vidéo :

    « nous sommes arrivés à un stade de viol sanitaire ».
    https://www.facebook.com/teamcolere…

    Médiapart malgré ses belles idées humanistes est donc favorable au viol, au terrorisme sanitaire, à la privation de liberté et ne respecte même pas sa "charte".


    Charte déontologique de Mediapart

    Mediapart est une entreprise de presse indépendante fondée par des journalistes et dont la ou le directeur·ice est un·e journaliste. Depuis 2019, son capital est totalement contrôlé par le Fonds pour une presse libre (FPL) via la Société pour la protection de l’indépendance de Mediapart (SPIM). Ce contrôle par un fonds de dotation dévoué à une mission d’intérêt général garantit sa totale indépendance économique, son capital étant à l’abri de tout intérêt privé ou particulier (lire ici et là).

    La mission de Mediapart est d’être au service du droit de savoir et de la liberté de dire, dans le souci de la vérité des faits et du pluralisme des opinions. L’information étant son cœur de métier, les valeurs qui inspirent cette Charte de déontologie destinée aux journalistes engagent toutes celles et tous ceux qui sont partie prenante à son activité, ses salariés, ses dirigeants, ses actionnaires. Il en va de même des trois textes de référence qu’elle revendique et inclut, reproduits en annexe (Charte des devoirs professionnels, 1918 ; Charte de Munich, 1971 ; Appel de la Colline, 2008 ; Charte mondiale d’éthique des journalistes, 2019).

    Mediapart entend également promouvoir un journalisme d’intérêt public, portant des valeurs humanistes, démocratiques et sociales, au service du bien commun, de l’égalité des droits, du rejet des discriminations et du refus des injustices.

    Journal économiquement indépendant, Mediapart a pour seule ressource l’abonnement de ses lecteurs. Il n’accepte aucune recette publicitaire, ne touche aucune subvention publique et ne dépend d’aucun mécène privé. Ses actionnaires non journalistes (membres de sa Société des amis ou investisseurs individuels) s’engagent à garantir la totale indépendance de sa rédaction. Ils s’interdisent d’intervenir dans les choix éditoriaux ou le traitement de l’information. La direction de Mediapart s’engage à préserver les journalistes de toute pression émanant de partenaires économiques, de pouvoirs publics, d’organisations politiques, syndicales ou religieuses.

    Complémentaire de la Charte de participation à Mediapart, qui énonce les règles de contribution participative de ses lecteurs, cette Charte de déontologie fixe les bonnes pratiques de ses journalistes.
    Déclarations d’intérêts

    Les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique une déclaration d’intérêts présentant : leurs activités professionnelles précédentes ; leur participation aux instances dirigeantes d’organismes publics, privés et de sociétés ; leur participation financière dans le capital d’une société, la détention d’actions ou d’un portefeuille d’actions ; leur adhésion à un syndicat et/ou une association dont l’objet porte sur la rubrique du ou de la journaliste ; l’activité professionnelle de leur conjoint·e ou partenaire.

    Cette déclaration d’intérêts est remise à jour à chaque changement de situation.

    Dans le cas où les relations privées des journalistes de Mediapart pourraient interférer avec l’indépendance de leur jugement professionnel, la direction éditoriale du journal peut être sollicitée pour décider de les déporter d’un sujet, temporairement ou à plus long terme.

    La grille des salaires des journalistes de Mediapart est rendue publique.
    Contenus éditoriaux de Mediapart

    Mediapart est un média indépendant et dépourvu de publicité.

    Mediapart ne publie dans son journal que des informations d’intérêt général, systématiquement vérifiées auprès de plusieurs sources, indépendamment des pressions exercées à l’égard de sa rédaction. Les intérêts particuliers et les agendas personnels de celles et ceux qui informent Mediapart doivent être compris par ses journalistes afin de ne pas tomber dans le piège d’éventuelles manipulations. Mais les intentions de ces sources ne doivent pas empêcher la publication des informations qu’elles apportent, si la rédaction estime qu’elles permettent d’améliorer l’information du public et d’éclairer le jugement des citoyen·ne·s.

    Les journalistes de Mediapart protègent leurs sources et s’interdisent catégoriquement de les révéler à quiconque, y compris les autorités judiciaires, lorsque des informations leur ont été transmises sous couvert de la confidentialité.

    Une fois un article publié sur le site, toute correction ou modification significative doit être signalée en Boîte noire. Tout article de Mediapart peut faire l’objet d’un droit de réponse, à publier dans les trois jours suivant son envoi, signalé dans l’article concerné et repris sous l’onglet Prolonger.

    Mediapart est aussi un club participatif. Toute opinion peut s’y exprimer, y compris en désaccord avec la ligne éditoriale du journal, dans le respect des principes de la liberté d’expression, tels qu’établis dans la charte de participation.

    Dans les fils de commentaires des articles du journal, la vigilance de l’équipe à l’encontre des propos racistes, antisémites, sexistes, homophobes, validistes et témoignant d’autres formes de haines sociales, doit être particulièrement soutenue.
    Relecture des entretiens et des citations “on”

    Les entretiens et citations “on” des personnes interrogées peuvent être relus et amendés par ces dernières lorsque cela se justifie au yeux de l’auteur·e de l’article : informations techniques, formulations particulièrement sensibles, modalité discutée avec l’intéressé·e en amont de l’entretien. Mediapart n’accepte ce principe qu’à la stricte condition qu’il n’entraîne pas un changement profond de sens. Lorsqu’un entretien a été relu et/ou amendé, la ou le journaliste doit le préciser en Boîte noire. Dans tous les cas de figure, la rédaction se réserve le droit de ne pas publier un entretien ou une citation.
    Cadeaux, voyages de presse et frais de bouche

    Les journalistes de Mediapart n’acceptent aucun cadeau ou avantage, direct ou indirect, afin d’éviter toute interférence dans leur travail éditorial. Les cadeaux d’une valeur modique reçus à la rédaction sont partagés avec toute l’équipe ; tous les autres sont systématiquement renvoyés à leur expéditeur.

    Les journalistes de Mediapart ne participent pas à des voyages payés par des entreprises privées ou publiques. Certains voyages de presse, en particulier ceux organisés à destination de la presse pour suivre des déplacements officiels, peuvent faire l’objet d’une dérogation accordée par la direction éditoriale. Mediapart accepte que ses journalistes empruntent les bus mis à disposition de la presse pour faciliter leurs déplacements dans le cadre de voyages officiels. Tous les autres frais de transport (train, avion…) et d’hébergement sont à la charge de la rédaction. La rédaction se réserve le droit de ne pas publier un article à la suite d’un déplacement ou d’un voyage de presse, où l’un·e de ses journalistes aurait été invité·e.
    Respect de la parité et de la diversité dans les contenus éditoriaux

    Mediapart s’engage à respecter au maximum la parité et la diversité dans le cadre de l’organisation des lives, mais aussi dans le choix des personnes interrogées pour la rédaction d’articles. Ce respect des diversités doit également demeurer la règle commune au sein de l’équipe pour faciliter les échanges et le libre arbitre de chacun·e dans un esprit de bienveillance. La composition de l’équipe doit refléter les diversités de la société française autant que possible.
    Intervention des journalistes dans l’espace public

    La liberté d’opinion des journalistes de Mediapart est totale. L’expression publique de cette opinion ne doit pas porter atteinte aux intérêts de l’entreprise, conformément à la convention collective des journalistes.

    Les journalistes de la rédaction de Mediapart peuvent être sollicité·e·s pour intervenir lors des réunions publiques organisées par des associations, des collectifs et des institutions, à l’occasion de rassemblements et de manifestations. Chaque journaliste est libre de participer à des événements de cette nature et de signer des pétitions, à condition que ce soit en son nom propre et non pas en sa qualité de journaliste à Mediapart.

    Chaque proposition de participation à un événement de cette nature doit être soumise au préalable à l’appréciation de la SDJ de Mediapart.

    Toute participation à des meetings politiques avec un·e candidat·e dans le cadre de sa campagne électorale est proscrite, y compris si elle est faite en son nom propre. Aucun·e journaliste de Mediapart ne doit se retrouver en situation d’être lié·e d’une manière ou d’une autre à la carrière politique d’une personnalité ou à son élection.
    Ménages et autres activités parallèles

    Les journalistes de Mediapart ne peuvent pas accepter pour la rédaction de leurs articles d’autres salaires ou avantages que ceux que leur assure l’entreprise, conformément à la convention collective des journalistes. En aucun cas, ils ne doivent présenter sous la forme rédactionnelle l’éloge d’un produit, d’une entreprise, à la vente ou à la réussite desquels il est matériellement intéressé.

    À l’exception des activités de formation dans les écoles, les journalistes de Mediapart ne doivent pas intervenir auprès d’un service public, d’une entreprise privée ou d’une association dans le seul but d’être rémunéré. Les conférences et séminaires d’entreprise sont proscrits. Les conférences publiques, à l’invitation d’une institution publique ou d’une association, doivent être validées par la SDJ et ne peuvent pas faire l’objet d’une rémunération. Les frais de transport éventuels peuvent être défrayés, à l’exception des déplacements liés à l’activité d’un parti politique, qui doivent être pris en charge par le journal.
    Piges

    Les journalistes de Mediapart doivent demander au directeur éditorial l’autorisation de réaliser des piges à l’extérieur. Toute activité régulière, qu’elle soit rémunérée ou non, doit faire l’objet d’un accord préalable de la direction du journal.
    Contributions extérieures

    Les journalistes et collaborateur·ice·s de Mediapart sont libres d’écrire des livres, de participer à la réalisation de films, etc. Ces productions ne pourront pas être réalisées sur le temps de travail. Les journalistes informent la direction éditoriale de la signature du contrat d’auteur·e et/ou de réalisateur·ice, et de la date de sortie prévue. Si ces productions comprennent une information exclusive – ce que les journalistes ne savent pas nécessairement au moment de la signature de leur contrat –, ils doivent en avertir la direction éditoriale, et proposer l’utilisation exclusive des extraits du livre susceptibles d’intéresser Mediapart. Ces contributions peuvent être rémunérées.

    Les collaborations extérieures des journalistes de Mediapart employé·e·s régulièrement à temps plein ou à temps partiel doivent au préalable être déclarées par écrit à la direction éditoriale élargie, selon les conditions définies par l’article 7 de la convention nationale des journalistes. Celle-ci les autorisera par écrit en précisant, s’il y a lieu, les conditions, notamment celle d’être informé de leur cessation. Faute de réponse dans un délai de 10 jours, cet accord sera considéré comme acquis. Si l’entreprise estime qu’une ou plusieurs collaborations extérieures est ou sont de nature à lui porter un préjudice professionnel ou moral, sa direction peut refuser de donner son accord en motivant sa décision. L’accord ou le refus peuvent être remis en question si les conditions qui les ont déterminées viennent à être modifiées.

    En cas de collaboration à caractère fortuit, la ou le journaliste peut exceptionnellement être dispensé·e de l’autorisation dès lors que cette collaboration ne porte aucun préjudice à l’entreprise.

    Les œuvres des collaborateur·ice·s de Mediapart peuvent être traitées dans le journal sous une forme informative comprenant la mention de l’appartenance de l’auteur·e à la rédaction. Chacun·e doit faire preuve de vigilance sur ce sujet, y compris pour les productions signées par des personnes extérieures à la rédaction, afin de ne pas tomber dans le copinage.
    Expression sur les réseaux sociaux

    Les collaborateur·ice·s de Mediapart sont libres de s’exprimer comme ils l’entendent sur les réseaux sociaux, dans le respect de la liberté d’expression (article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, et loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), et en s’interdisant d’une part la diffamation et l’injure ; d’autre part les propos appelant à la haine (apologie de crimes contre l’humanité, propos racistes, antisémites, sexistes, homophobes, validistes et témoignant d’autres formes de haines sociales).

    Les collaborateur·ice·s doivent cependant s’exprimer en gardant à l’esprit qu’elles et ils travaillent au sein d’un collectif et que partager publiquement une opinion personnelle peut avoir des conséquences sur l’image du journal.

    En cas de non-respect de la charte des journalistes, les problèmes déontologiques en découlant seront examinés en commun par une structure ad hoc, comprenant la direction éditoriale et la SDJ de Mediapart.
    [Annexes]

    La charte des devoirs professionnels des journalistes français

    Un journaliste, digne de ce nom,

    - prend la responsabilité de tous ses écrits, même anonymes ;
    - tient la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge pour les plus graves fautes professionnelles ;
    - ne reconnaît que la juridiction de ses pairs, souveraine en matière d’honneur professionnel ;
    - n’accepte que des missions compatibles avec la dignité professionnelle ;
    s’interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaires, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque ;
    - ne touche pas d’argent dans un service public ou une entreprise privée où sa qualité de journaliste, ses influences, ses relations seraient susceptibles d’être exploitées ;
    - ne signe pas de son nom des articles de réclame commerciale ou financière ;
    - ne commet aucun plagiat, cite les confrères dont il reproduit un texte quelconque ;
    - ne sollicite pas la place d’un confrère, ni ne provoque son renvoi en offrant de travailler à des conditions inférieures ;
    garde le secret professionnel ;
    - n’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
    revendique la liberté de publier honnêtement ses informations ;
    tient le scrupule et le souci de la justice pour des règles premières ;
    - ne confond pas son rôle avec celui du policier.

    etc…

    Source : https://www.mediapart.fr/charte-de-…

    Répondre à ce message

  • Les deux vidéos proposées par Luniterre sont sauvegardées ici

    FranceSoir : http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

    Sud Radio : http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

    Répondre à ce message

Répondre à cet article

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0