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Omicron : le variant zéro mort ???

samedi 4 décembre 2021, par Luniterre

Selon l’OMS elle-même, le variant Omicron n’a encore tué personne, bien qu’il soit déjà le variant dominant en Afrique du Sud et qu’il se soit répandu dans 38 pays !

Bien entendu, il n’y a pas forcément de conclusions hâtives à en tirer, mais la logique darwinienne de sélection des espèces indique qu’Omicron est déjà bien parti, au moins en Afrique du Sud, pour éliminer le variant Delta, tout comme celui-ci a déjà éliminé ses prédécesseurs…

Delta a éliminé ses « concurrents » parce qu’il était à la fois plus contagieux et moins létal qu’eux.

S’il se confirme qu’Omicron représente un pas de plus dans cette évolution du virus, il y a donc d’autant plus lieu de réévaluer la pertinence des restrictions et contraintes « sanitaires », dont l’obligation vaccinale, qu’elle soit ou non déguisée par un « passe sanitaire ».

Que les effets secondaires, parfois mortels, du « vaccin » soient sous-évaluées par les uns ou surévaluées par les autres, ils n’en sont pas moins une réalité. Avec Omicron, le rapport « bénéfice/risque », déjà plombé par l’efficacité plus que limitée des ces produits, devient de plus en plus problématique, voire carrément ubuesque.

Vouloir à tout prix ralentir la propagation de cette nouvelle forme du virus, c’est vouloir freiner son évolution naturelle, et, de fait, contribuer à la survie du variant Delta, forme à priori largement plus létale… Où est l’intérêt de cette stratégie, sinon pour continuer à justifier l’imposition d’une « vaccination » et tenter de nous refourguer de nouvelles « doses » supplémentaires, bricolées à la hâte par ces prétendus « sauveurs de l’humanité » ???

La logique naturelle semble vouloir qu’Omicron élimine Delta, et avec lui, le dernier prétexte à l’instauration de la dictature pseudo-« sanitaire ». Dans ces conditions, on comprend que les potentats banco-centralistes qui gouvernent réellement le monde tentent d’imposer de nouvelles mesures pour ralentir la progression géographique d’Omicron !!!

Les mesures de ségrégation « aérienne » et autres prises contre l’Afrique du Sud s’apparentent donc à un nouvel apartheid mondial cautionné par la prétendue « communauté internationale ».

En fonction des données actuelles dans l’info, même très officielle, disponibles, et jusqu’à plus ample informé, il y a donc lieu d’exprimer notre solidarité avec ce pays :

Liberté pour l’Afrique du Sud !

Stop ségrégation !

#Je suis Omicron !

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Covid : le variant Omicron signalé dans 38 pays mais aucun décès pour l’heure, selon l’OMS

Omicron a été identifié dans 38 pays mais pour l’heure, aucun décès n’a été signalé de personne contaminée par ce nouveau variant du virus du Covid-19, a annoncé vendredi l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

"Je n’ai vu aucune information rapportant des décès liés à Omicron", a déclaré Christian Lindmeier, un porte-parole de l’organisation basée à Genève, lors d’un point de presse.

Maria Van Kerkhove, la responsable technique de l’OMS pour le Covid-19, a de son côté indiqué qu’Omicron avait été détecté dans 38 pays et que le variant était désormais répandu dans les six régions de l’OMS.

L’Organisation estime qu’il faudra plusieurs semaines pour avoir une image beaucoup plus précise de l’impact potentiel d’Omicron, déterminer le degré d’infectiosité et la résistance des vaccins, des tests et des traitements. "Les données préliminaires semblent faire état d’une plus grande contagiosité, mais en gros c’est tout ce qu’on sait pour le moment", a expliqué M. Lindmeier.

Mais "nous allons obtenir les réponses dont tout le monde a besoin", a affirmé Michael Ryan, le directeur des urgences de l’OMS. "Nous devons faire confiance à la science maintenant, être patients et ne pas avoir peur". Et "pour l’instant, il n’est pas nécessaire de changer les vaccins que nous utilisons", a-t-il ajouté, en plaidant pour la vaccination. Toutefois, "il y a beaucoup de travail en cours pour examiner comment nous pourrions changer ces vaccins, si nous devions en changer", a-t-il aussi dit. Le nouveau variant, classé inquiétant par l’OMS, a été détecté d’abord en Afrique australe. Les autorités sanitaires sud-africaines ont alerté l’OMS le 24 novembre.

Si en dehors de l’Afrique australe, les premières infections ont pu être rattachées en général à des personnes ayant voyagé dans la région, les premiers cas de transmission locale apparaissent désormais, aux États-Unis ou en Australie par exemple.

L’OMS juge "élevée" la "probabilité qu’Omicron se répande au niveau mondial", même si de nombreuses inconnues demeurent.

Le porte-parole de l’organisation onusienne a tenu à rappeler que l’essentiel des cas de Covid-19 sont aujourd’hui provoqués par le variant Delta. "Les restrictions mises en place dans de nombreux pays, il y a tout juste deux semaines", l’étaient à cause "d’une hausse du nombre de cas liés à Delta. Il ne faut pas l’oublier", a-t-il insisté. Les cas explosent notamment en Europe, où l’Allemagne, après l’Autriche, envisage de rendre la vaccination obligatoire.

Covid : le variant Omicron signalé dans 38 pays mais aucun décès pour l’heure, selon l’OMS (lavenir.net)

https://www.lavenir.net/cnt/dmf2021…

Covid-19 : le variant Omicron prédominant en Afrique du Sud, selon l’OMS

Lors d’une conférence de presse, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a donné davantage d’informations sur le nouveau variant Omicron qui inquiète l’ensemble de la planète.

Mercredi 1er décembre, les scientifiques de l’OMS Afrique ont donné des détails au cours d’une conférence en ligne et ils ont confirmé que le variant Omicron prenait le pas sur les autres variants du Covid-19, en particulier en Afrique du Sud.

Le variant Omicron est aujourd’hui prédominant en Afrique du Sud, a confirmé la microbiologiste Anne Von Gottberg. Il était présent dans 75% des séquençages d’échantillons en novembre et est en train de créer une quatrième vague de Covid-19 dans ce pays, avec 8 000 nouveaux cas mardi et probablement 10 000 ce mercredi, prédit la scientifique.

Ce qui est préoccupant, d’après elle, c’est que le variant Omicron a une plus grande faculté de réinfecter les personnes qui ont déjà eu le Covid-19.

L’espoir, toutefois, repose sur le fait qu’il provoquerait des formes moins graves, estime les scientifiques, notant qu’il n’y a pas de hausse majeure des hospitalisations.

Les fermetures de frontières, une décision « injuste »

La vaccination est toujours encouragée pour protéger les personnes, en particulier les personnes immunodéprimées, mais aussi pour ralentir la circulation du virus qui provoque toutes ces mutations. Ces mutations du Covid-19 pourraient être accélérées, selon une hypothèse, parmi les populations immunodéprimées, notamment celles touchées par le sida. Lors de cette conférence, l’OMS a également de nouveau dénoncé les interdictions de voyager prononcées par certains pays occidentaux. Tous les intervenants estiment que ces mesures n’ont aucun fondement scientifique et en dénoncent « l’injustice ».

L’Afrique du Sud et le Botswana paient un prix fort pour leurs efforts et leur efficacité à détecter le nouveau variant Omicron. Les scientifiques de l’OMS jugent donc que ces interdictions de voyager sont contre-productives, car elles risquent de dissuader les pays touchés de déclarer, à l’avenir, les nouveaux variants.

Covid-19 : le variant Omicron prédominant en Afrique du Sud, selon l’OMS (rfi.fr)

https://www.rfi.fr/fr/afrique/20211…

Covid : l’Afrique du Sud s’estime « punie » pour avoir joué la transparence

Des chercheurs sud-africains ont alerté le monde dès jeudi sur la découverte du variant Omicron. La communauté internationale a réagi en interrompant ses liaisons aériennes avec les pays de l’Afrique australe.

Par Claire Bargelès

Publié le 28 nov. 2021 à 13:50Mis à jour le 28 nov. 2021 à 15:47

L’Afrique du Sud s’estime « punie » alors qu’elle a joué le jeu de la transparence. A peine le virologue Tulio de Oliveira, de l’Université Kwazulu-Natal, avait-il annoncé jeudi la découverte par son équipe d’un nouveau variant du Covid - baptisé « Omicron » par l’OMS - que le pays s’est vu isolé par le reste du monde.

Le Royaume-Uni a ouvert le bal en suspendant les vols en provenance d’Afrique du Sud et de six autres pays. Les Etats-Unis, le Canada, la Russie, le Brésil et l’Union européenne ont emboîté le pas.

L’OMS a jugé ces réactions précipitées, estimant qu’« à ce stade, la mise en oeuvre de mesures de restrictions aux voyages est déconseillée. » Mais rien n’y a fait.

« Excellence scientifique »

L’interruption des liaisons aériennes amène « à punir l’Afrique du Sud pour son séquençage génomique avancé et sa capacité à détecter plus rapidement de nouveaux variants », a dénoncé ce samedi un communiqué du ministère des Affaires étrangères sud-africain, qui ajoute : « L’excellence scientifique doit être applaudie et non punie. » « On est parfois puni pour avoir été transparent et fait les choses rapidement, » a aussi regretté Tulio de Oliveira.

Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, s’est fendu d’un appel téléphonique à son homologue sud-africain Naledi Pandor. Il a aussi salué « le gouvernement sud-africain pour sa transparence dans le partage de ces informations, qui devraient servir de modèle pour le monde ». Mais il n’est pas revenu sur la fermeture des frontières américaines aux ressortissants des pays de l’Afrique australe.

L’Afrique du Sud, qui compte plus de 34 % de chômeurs, peut s’inquiéter des conséquences de son isolement sur son économie. L’industrie du tourisme va s’en ressentir à l’approche de l’été austral. Dès vendredi, les bourses asiatiques se sont affolées et une fois encore le rand a perdu un peu plus de sa valeur face au dollar.

25 % de vaccinés

Ces réactions contribuent à « rejeter la faute sur les autres plutôt que de travailler ensemble », a regretté le ministre de la Santé, Joe Phaahla. Du point de vue sanitaire, les hôpitaux ne sont pas encore débordés, mais la situation est inquiétante. Il y a une forte progression du nombre de cas positifs ces derniers jours et les nouveaux patients sont jeunes, de 20 à 30 ans, selon le Baragwanath Hospital. 65 % des malades hospitalisés ne sont pas vaccinés. Il y a de quoi frémir car seulement 25 % de la population sud-africaine est vaccinée. Ce n’est plus vraiment un problème de manque de doses, mais d’hésitation des citoyens à franchir le pas.

Une réunion entre le président, Cyril Ramaphosa, et le comité de surveillance de la pandémie a eu lieu ce dimanche. Des mesures restrictives pourraient être annoncées, afin de faire face à la progression du variant Omicron sur le territoire.

Covid : l’Afrique du Sud s’estime « punie » pour avoir joué la transparence

https://www.lesechos.fr/monde/afriq…

Variant Omicron : l’Afrique du Sud s’estime « injustement discriminée »

Les autorités dénoncent le non-respect des engagements du G20, qui s’était promis de stimuler les déplacements internationaux.

Par Mathilde Boussion (Johannesburg, correspondance)

Publié le 29 novembre 2021 à 10h02 - Mis à jour le 29 novembre 2021 à 10h05

Les autorités sud-africaines sont amères. L’annonce de la découverte dans leur pays d’un nouveau variant du SARS-CoV-2, baptisé Omicron, a provoqué en vingt-quatre heures une onde de choc mondiale, condamnant pour une durée indéterminée l’Afrique du Sud à l’isolement. Dans un discours à la nation, dimanche 28 novembre, le président, Cyril Ramaphosa, s’est dit « profondément déçu » de la décision de plus d’une quinzaine d’Etats de suspendre les vols en provenance de la région ou d’interdire l’entrée de leur territoire aux voyageurs qui en viendraient.

« Ces restrictions sont injustifiées et discriminent injustement notre pays ainsi que nos nations sœurs en Afrique australe. L’interdiction de voyager n’est pas fondée scientifiquement et ne permettra pas d’éviter la propagation de ce variant. La seule conséquence est d’abîmer plus encore l’économie des pays affectés et de miner leur capacité à faire face à la pandémie », a déclaré le chef de l’Etat sud-africain en appelant à la levée des restrictions, contraires aux recommandations de l’OMS.

Cyril Ramaphosa a également dénoncé « une entorse claire » aux engagements du G20, qui s’était promis, fin octobre, de stimuler la reprise des déplacements internationaux et de soutenir le secteur touristique, « en particulier dans les pays en développement ». A l’inverse, l’annonce des restrictions a provoqué des annulations de réservations en cascade alors que le tourisme sud-africain attendait Noël, pic traditionnel de la saison estivale en Afrique australe, pour rebondir enfin après des mois à l’isolement, en raison de la découverte du variant Beta.

La décision est d’autant plus mal vécue qu’elle vient sanctionner, estiment les autorités, l’efficacité et la transparence des chercheurs sud-africains. « Cette dernière série d’interdictions de voyager revient à punir l’Afrique du Sud pour son séquençage génomique avancé et sa capacité à détecter les nouveaux variants plus rapidement. L’excellence scientifique devrait être applaudie, et non punie », a estimé le département des relations internationales dans un communiqué, le 27 novembre.

Vitesse inédite

Les Sud-Africains ont été les premiers à signaler d’inquiétantes mutations du virus à l’OMS, dès le 4 décembre 2020, contribuant ainsi à l’identification du variant Alpha au Royaume-Uni. Depuis le début de la pandémie de Covid-19, leurs travaux sont régulièrement cités dans de prestigieuses revues scientifiques. Le directeur général du ministère de la santé sud-africain, Nicholas Crisp, craint désormais que les sanctions « rendent les pays où il existe des capacités scientifiques moins enclins à communiquer leurs découvertes ».

Variant Omicron : l’Afrique du Sud s’estime « injustement discriminée » (lemonde.fr)

https://www.lemonde.fr/afrique/arti…

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