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Injection COVID = Nanoréseau intégré au corps humain

dimanche 19 décembre 2021, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 19 décembre 2021).

Le IoNT est l’Internet des Nano objets. Les nanoparticules dont on vous bombarde finissent par parler pour vous. Dans cette illustration, un scientifique de très haut niveau a rédigé un document très professionnel et très détaillé qui positionne l’humain injecté dans le circuit des IoNT. Si cette planche est définitivement validée, nous pouvons conclure qu’un certain nombre d’injectés (pas forcément tous) sont en cours de mutation pour devenir des transhumains. On peut supposer que pour atteindre l’étape finale du modèle, il faut plusieurs doses.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/…

https://lilianeheldkhawam.com/2021/…

https://lilianeheldkhawam.com/2021/…

Note de do : Je n’y crois pas :

Les nanoparticules des vaccins ARN sont des nanoparticules lipidiques (du gras) destinées à entourer l’ARN pour qu’il soit caché à l’organisme humain afin que le système immunitaire ne le détruise pas dès son arrivée dans le corps :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article9546

(Coronavirus - Pfizer, c’est l’exact contraire d’un vaccin)

4 Messages de forum

  • Injection COVID = Nanoréseau intégré au corps humain 19 décembre 2021 16:38, par Edouard

    Oui le Do n’y "croit" pas , mais il ne croyait pas auparavant au "pass" ,ni aux camp de concentration pour non injectés ni au génocide mondial avant qu’ils ne deviennent une réalité …
    mais pour qui roule t’il ?

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    • Je parle de science !

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    • Injection COVID = Nanoréseau intégré au corps humain 21 décembre 2021 02:56, par Dominique

      Perso, je n’y crois pas à ce truc d’internet car pour faire fonctionner internet, il faut être capable de gèrer au moins un protocole de transmission, ce qui nous amène à une tâche ssi complexe qu’il aura fallu attendre les premiers ordinateurs pour que cela devienne une réalité.

      Par contre, en plus des nano-particules de graisse, la présence de celles d’hydroxyde de graphène, une matière plus résistante que le titane et qui dans le corps humain se comporte comme des lames de rasoir et ne peuvent être éliminés qu’avec une transfusion complète du sang, est confirmée par Karen Kingston, une lanceuse d’alerte et ancienne employée de Pfizer.

      Ce qui implique que la véritable arme de destruction massive n’est pas le virus mais les vaccins. On ne meurt ni du covid ni du rhume, on meurt des complications de ces maladies quand elles ne sont pas soignées et que l’on souffre de comorbidité. Cela est confirmé par les nombreux médecins qui témoignent dans le doctothon et qui s’insurgent contre cette médecine de santé publique où, au lieu de soigner les patients au début de la maladie avec les traitements documentés, on les oblige à les laisser crever.

      Ces mêmes médecins sont aussi affolés par les effets secondaires de ces faux vaccins car, non seulement leur fréquence est du jamais vu, mais en plus ils provoquent des pathologies totalement inconnues contre lesquelles ils sont absolument dépourvus.

      Quand au mobile c’est une raison plus que suffisante que do se refuse de comprendre. En l’an 2001, si ma mémoire est bonne sur la date, le rapport annuel de la CIA informait les élites que les deux plus grands danger qui menacent leur mode de vie sont le réchauffement climatique et l’épuisement rapide des matières premières non renouvelables.

      En 2002 fut organisé le premier symposium mondial de transhumanisme. Dans son rapport final intitulé "Converging Technologie for Improving Human Performance., il averti les décideurs que la maîtrise de ces technologies convergentes (nanotech, biotech, informatique et les sciences cognitive) sera fondamentale pour garde le contrôle dans un monde où, en raison de l’augmentation du nombre d’habitants et de l’épuisement des ressources, les tensions sociales vont empirer.

      Puis il y a eu 2008, l’année d’une crise économique qui n’est pas finie et qui ne finira jamais car 2008 est officiellement selon l’ONU l’année du pic pétrolier. L’époque du pétrole abondant et bon marché est terminée. Ce qui implique que pour garder le contrôle du système économique, les élites ne peuvent plus miser sur la croissance, sur l’augmentation de l’offre. Il leur faut diminuer la demande et, comme elles ne vont pas se serrer la ceinture sans y être contraintes, la demande c’est nous, les peuples du monde. Voilà à quoi servent le covid et ses vaccins.

      Face à cela, il n’y a qu’une solution porteuse d’avenir, comme le disent très bien les médecins dans le doctothon :

      L’union fait la force !

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