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Coronavirus : la « stratégie » du gouvernement doit être « d’emmerder les non-vaccinés jusqu’au bout ! »

mercredi 5 janvier 2022, par a_suivre (Date de rédaction antérieure : 5 janvier 2022).

« La déclaration de Macron, qui laisse planer la menace de déchoir de la citoyenneté les non-triple-injectés est très exactement de nature fasciste. La dignité de sa fonction exige qu’il démissionne sur-le-champ. Sinon, les parlementaires doivent lancer sa destitution. » F.Asselineau

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DOSSIER pdf sur la procédure de destitution en application de l’article 68 de la Constitution

Comme à moins de 6 mois des élections cette procédure de destitution n’est plus vraiment applicable, il serait préférable d’appeler à la grève générale et de commencer par se rassembler devant nos mairies.

http://mai68.org/spip2/spip.php?art…


Les Français se réveillent avec un président qui les emmerde

De Mélenchon, à Marine Le Pen en passant par Christian Jacob ou Eric Zemmour, c’est la stupéfaction. Nous sommes le mardi 4 janvier 2021 et Le Parisien révèle à la France entière que le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, veut « emmerder les non-vaccinés ». La classe politique est unanime : c’est « indigne », « consternant », « abject », « sidérant », « méprisant »… tous les qualificatifs y passent sans vraiment en trouver un à la hauteur de l’ignominie.

Jamais un président n’avait était aussi loin dans le mépris de sa propre population au point de dire :

« Eh bien là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Donc on va continuer de le faire, jusqu’au bout, c’est ça la stratégie. Et donc, il faut leur dire : à partir du 15 janvier, vous ne pourrez plus aller au restau, vous ne pourrez plus prendre un canon, vous ne pourrez plus aller boire un café, vous ne pourrez plus aller au théâtre, vous ne pourrez plus aller au ciné. »

Après la violence inouïe, le choc s’est fait entendre dans l’hémicycle. L’examen du projet de loi créant un passe vaccinal a été interrompu à la suite de la polémique suscitée par les propos d’Emmanuel Macron. « Les conditions d’un travail serein ne sont pas réunies », martèle le vice-président de l’Assemblée nationale, Marc Le Fur.

L’abject aurait pu s’arrêter là, mais non, le président enfonce le clou :

« Quand ma liberté vient menacer celle des autres, je deviens un irresponsable. Un irresponsable n’est plus un citoyen. »

Les cinq millions de Français qui n’ont commis aucune infraction à la loi ne sont « plus des citoyens ». Une phrase qui rappelle ses propos en faveur des terroristes dont il ne souhaitait pas en faire des non-citoyens : « La déchéance de nationalité est une faute politique, en plus d’être une solution inefficace. »

A ce niveau nos lecteurs seront certainement abasourdis par ces révélations et penseront que la coupe est pleine. L’histoire ne s’arrête pourtant pas là. Le coup de grâce nous vient d’Aurore Bergé, du groupe La République en marche, qui avoue devant les caméras de LCP que les propos du président dans Le Parisien auraient dû sortir un autre jour et que tout aurait été voté avant, et le pass vaccinal avec. Elle explique donc que tout était planifié pour tromper les députés, les Français. Ensuite Macron — du haut de sa tour — voulait cibler les millions de Français non-vaccinés pour le plaisir de les emmerder, de les humilier, de les accabler.

Comment ce matin au réveil, parmi les millions de Français, les enseignants vont-ils pouvoir expliquer aux enfants, aux adolescents que le président de la république Emmanuel Macron les emmerde et emmerde leurs parents ? La situation est lunaire, indescriptible, invraisemblable.

Le Média en 4-4-2 - publié le 5 janvier 2022

Source : https://lemediaen442.fr/les-francai…

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2 Messages de forum

  • *Pour le Dr Laurent Toubiana, épidémiologiste à l’Inserm  :

    - la communication du gouvernement entretient un climat de peur dans le pays.

    - nous sommes aujourd’hui dans une épidémie relativement banale.

    Quelques chiffres pour se faire une idée de la « saturation » des hôpitaux : 17 nouvelles hospitalisations en une semaine pour 100 000 habitants avec une moyenne de 580 lits d’hôpital pour 100 000 habitants…

    Par conséquent, le gouvernement qui incite à la troisième injection et qui tente à tout prix d’imposer le pass-vaccinal ne recherche pas notre bien mais recherche à opposer les non-vaccinés aux vaccinés…

    Ne faudrait-il pas, me semble-t-il, prendre enfin les choses en main en opposant frontalement le Peuple aux Pouvoirs comme il se doit !!

    * Source et vidéo du Dr Toubiana - publié le 5 janvier 2022 par Sputnik : https://www.youtube.com/watch?v=nry…

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  • « En déclarant « Les non-vaccinés j’ai très envie de les emmerder. Et donc on va continuer de le faire », le président de la République fait de la vaccination une attitude politique partisane et non plus un acte médical pleinement justifié reposant, comme tout acte medical, sur la libre décision de chaque citoyen.

    Cette déclaration viole l’article premier de la Constitution :

    « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. »

    « Emmerder les Français », ne fait pas partie du domaine de la loi.

    Conformément à l’article 41 de la Constitution, le projet de loi sur le passe vaccinal devrait être déclaré irrecevable.
    Le président met son propre camp dans une position insoutenable. Si la vaccination relève d’une opinion politique partisane, alors condamner ceux qui la refusent relève de la répression d’un délit qui n’a pas d’existence légal, le délit d’opinion.

    Emmanuel Macron semble avoir violé les articles 18 et 26 de la Constitution.
    Sauf à se renier ouvertement en tant qu’elle représente la diversité des opinions politiques, et consentir à « emmerder » certains de ses membres, l’Assemblée Nationale ne peut plus adopter le projet de loi sur la transformation du passe sanitaire en passe vaccinal.

    Par ces propos outranciers et volontairement provocateurs, Emmanuel Macron met en cause un principe constitutionnel fondamental : le président de la République représente en principe ni une majorité, ni un clan, mais tous les Français, y compris ceux qui ne partagent pas ses choix politiques.

    Emmanuel Macron, à l’instant où il a prononcé de telles paroles, incompatibles avec sa fonction, a de facto, mis fin à sa mission de président de la République, garant de l’unité des Français et de la nation.

    Les Français réalisent avec consternation que le vrai problème n’est pas la pandémie, mais Emmanuel Macron lui-même. »

    Sidney Touati

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