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Coronavirus - paSS - Alice Desbiolles devant le Sénat le 8 février 2022 (vidéo)

mardi 15 février 2022, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 15 février 2022).

2 Messages de forum

  • Elle est vraiment Excellente cette Alice Desbiolles… une bouffée d’air frais et un début de rétablissement de la justice et de la vérité !

    Merci Do pour le post… ceci est le second article la concernant sur les 7 !

    Bien a toi !
    Sam

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    • Bonjour Sam,

      Je dirais qu’Alice Desbiolles amène sa pierre à l’édifice, mais reste très prudente, car à aucun moment elle ne parle des traitements précoces contre le Covid-19 comme l’ivermectine, hydroxychloroquine, azithromycine… etc

      Et pour cause :

      « Le médecin peut également être attaqué s’il fait courir un risque injustifié à ses patients (article R.4127-40 du CSP). Il « ne peut proposer aux patients des thérapeutiques insuffisamment éprouvées (article R.4127-39 CSP) », rappelle le CNOM. C’est précisément le cas de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine dans des indications contre le Covid, pour lesquels il n’y a pas consensus de la communauté scientifique sur l’efficacité de ces médicaments dans le Covid.

      Pour le premier de ces traitements, la question ne se pose plus vraiment depuis que le gouvernement a interdit sa délivrance hors AMM dans le Covid, en ville comme à l’hôpital. Dans le cas de l’ivermectine, la responsabilité du prescripteur pourrait être engagée.

      Dans une décision rendue au début du mois d’avril, l’ANSM a refusé une demande de RTU (recommandation d’utilisation temporaire) en faveur de l’ivermectine, estimant que le manque de données disponibles « ne permet pas de présumer d’un rapport bénéfice/risque favorable, en traitement curatif ou en prévention ». L’Agence soulignait également que le Haut Conseil de la santé publique avait conclu à l’absence de recommandation de l’utilisation de cette molécule contre le Covid-19, en dehors d’un essai clinique.

      Au mois de mars, c’est l’Agence européenne du médicament qui s’était prononcée. « Les preuves actuellement disponibles ne sont pas suffisantes pour soutenir l’utilisation de l’ivermectine dans le Covid-19 en dehors des essais cliniques », avait-elle indiqué dans un communiqué. Elle estimait que le risque de toxicité des doses plus élevées « nécessaires pour obtenir des concentrations d’ivermectine dans les poumons efficaces contre le virus » ne pouvait être exclu.

      En cas de plainte, le médecin mis en cause devra démontrer que sa prescription n’est pas en contradiction avec ces données établies par les scientifiques. »

      Source : https://www.lequotidiendumedecin.fr…

      En ce qui concerne la « bouffée d’air frais », je n’emploierai pas cette expression car parler pendant 1h45 derrière un masque sans jamais le changer, c’est de "l’air fétide" que l’on doit respirer…
      Cela m’est insupportable de regarder une personne parler derrière un masque, car cela n’a jamais été fait pour cela et encore moins pour tenir des discours de plusieurs heures.
      Bref, je ne comprendrai jamais que l’on fasse subir ces bavoirs inutiles, notamment aux enfants 8 heures par jour et que des sénateurs en 2022 trouvent cela normal.

      En ce qui concerne Alice Desbiolles, je dirais plutôt qu’elle nous montre qu’elle ne manque pas d’air car elle ne s’est pas dégonflée devant ces vieux sénateurs Kollabos, alors en effet, c’est un bon « début ».

      Bien à toi
      A_suivre

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