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Ukraine - Lors de la "libération" de Boutcha, le 31 mars 2022, le maire ne voit aucun cadavre joncher les rues (vidéos)

mercredi 6 avril 2022, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 6 avril 2022).

https://francais.rt.com/internation…

Le maire de Boutcha annonce la libération de sa ville le 31 mars 2022

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Comme c’est plusieurs jours après ce discours du maire de Boutcha que les centaines de cadavres ont été découverts, ce ne peut être une exaction des soldats russes. C’est peut-être une mise en scène orchestrée par Zélensky ; ou, pire, c’est une vengeance des nazis sur une fraction pro-russe de la population.

Note de do : cette vidéo est la vidéo sous-titrée par RT. Ci-dessous, je livre la vidéo originelle ainsi que son lien sur youtube.

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https://youtu.be/ItpCmtDawhw

Мэр Бучи Анатолий Федорук подтвердил освобождение города от российских войск 31 марта.

Traduction Google : Le maire de Bucha, Anatoly Fedoruk, a confirmé la libération de la ville des troupes russes le 31 mars.

Паляниця

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"Этот день войдет в славную историю Бучи и всей Бучанской общины как день освобождения Вооруженными Силами Украины от российских оккупантов", - сообщил он.

traduction Google : "Ce jour restera dans l’histoire glorieuse de Bucha et de toute la communauté de Boutcha comme le jour de la libération par les forces armées ukrainiennes des envahisseurs russes", a-t-il déclaré.


Ukraine : l’armée russe dément avoir tué des civils à Boutcha et accuse Kiev de « provocation »

https://francais.rt.com/internation…

3 avr. 2022, 17:58

Des employés municipaux transportent des corps à Boutcha le 3 avril.

Accusée par le camp occidental et par Kiev de crimes de guerre à Boutcha, en Ukraine, la Russie a dénoncé une falsification dans un communiqué, et qualifié ces agissements de « nouvelle provocation ».

Le ministère russe de la Défense a assuré le 3 avril dans un communiqué que ses forces n’avaient pas tué de civils à Boutcha, une ville proche de Kiev récemment reprise par les forces ukrainiennes après le départ de l’armée russe.

« Toutes les images photos et séquences vidéos publiées par le régime de Kiev, qui témoigneraient des soi-disant "crimes" commis par des militaires russes dans le village de Boutcha, dans la région de Kiev, sont une nouvelle provocation », accuse le ministère. Selon le texte, l’armée russe a quitté cette zone le 30 mars au « lendemain de la session de pourparlers entre la Russie et l’Ukraine en Turquie ».

Condamnation à l’international

Les images de corps de personnes vêtues en civil dans les rues de cette localité ont fait le tour du monde et soulevé un vif émoi. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé la Russie de « génocide » contre son peuple. Kiev estime que 300 personnes ont été enterrées dans des fosses communes à Boutcha.

Les images de corps de personnes vêtues en civil dans les rues de cette localité ont fait le tour du monde et soulevé un vif émoi. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé la Russie de « génocide » contre son peuple. Kiev estime que 300 personnes ont été enterrées dans des fosses communes à Boutcha.

L’AFP avait vu le 2 avril les cadavres d’au moins vingt hommes portant des vêtements civils gisant dans une rue de Boutcha, reprise par les troupes ukrainiennes. L’un d’eux avait les mains liées et les corps étaient éparpillés sur plusieurs centaines de mètres.

Tour à tour, Washington, Paris, Berlin ou Londres ont dénoncé des « atrocités », voire des « crimes de guerre ». « Les autorités russes devront répondre de ces crimes », a notamment écrit Emmanuel Macron sur Twitter.

https://twitter.com/EmmanuelMacron/…

« Pendant tout le temps où la ville a été sous le contrôle des forces armées russes, et encore plus après, jusqu’à aujourd’hui, les habitants de Boutcha se déplaçaient librement dans le village et utilisaient leurs téléphones portables […] Dans le même temps, les banlieues sud du village, y compris les zones résidentielles étaient bombardées 24 heures sur 24 par les troupes ukrainiennes à l’aide d’artillerie de gros calibre, de chars et de systèmes de lance-roquettes multiples », relate la Défense russe.

Des cadavres qui n’ont pas quatre jours, selon Moscou

Selon Moscou, les « "preuves de crimes" à Boutcha ne soient apparues que quatre jours », après le départ de ses soldats, « quand des officiers du Service de sécurité ukrainien (SBU) et des représentants de la télévision ukrainienne sont arrivés dans le village ».

Pour la Russie, les cadavres montrés en images ne peuvent pas être restés aussi longtemps dans la rue puisqu’« ils n’ont pas de lividités cadavériques typiques et que dans les plaies il y a du sang qui n’a pas coagulé ». Dans son communiqué, la Défense russe souligne par ailleurs que « le 31 mars, le maire du village de Boutcha, Anatoly Fédorouk, [avait] confirmé dans son message vidéo qu’il n’y avait pas de militaires russes dans la ville » et dans ce même message, n’avait aucunement, selon Moscou, « mentionné d’habitants locaux abattus dans les rues les mains liées. »

Ainsi, pour l’armée russe, ces images sont une mise en scène orchestrée par Kiev « pour les médias occidentaux, comme ce fut le cas avec la maternité à Marioupol, ainsi que dans d’autres villes ».

https://youtu.be/CD-vpG9—7g

BOUTCHA : QUE S’EST-IL VRAIMENT PASSÉ ?

LE MÉDIAMENSONGE DU JOUR - MICHEL COLLON

Investig’Action - 4 avril 2022

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Les mensonges à la Timisoara sont à la mode dans les rangs de l’impérialisme américano-Franco-sioniste (vidéos)

http://mai68.org/spip/spip.php?article12058

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