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Ursula von der Leyen - La présidente de la Commission Européenne et Pfizer

samedi 4 juin 2022, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 4 juin 2022).

La commission européenne elle-même est directement et pleinement sous l’influence des industriels.

La doxa du covid, Laurent Mucchielli,

Sous-titre : Peur, santé, corruption et démocratie

Édition Éolienne, janvier 2022

Tome 1, pages 90, 91 et 92

Non contente d’avoir favorisé l’achat massif de Remdésivir, sa présidente, Ursula von der Leyen a ensuite orchestré la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey (chargé d’organiser la communication de la politique sanitaire dans plusieurs pays dont la France) et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies géniques, dont l’un des principaux actionnaires est la multinationale Black Rock (plus important gestionnaire d’actifs dans le monde) et qui, dès le 13 mai 2020, avait annoncé le lancement d’une « plateforme de vaccins cellulaires ciblant le SARS-CoV-2 ».

Elle l’a de surcroît fait de façon personnelle et officieuse, échangeant pendant des semaines des coups de téléphone et des SMS avec le P.D.G. de Pfizer, albert Bourla, avant d’aboutir en mai 2021 à la signature d’un contrat prévoyant la livraison de 1,8 milliards de doses jusqu’en 2023, ainsi que le révéla le New-York Times. Et lorsque le médiateur européen lui demandera communication de ces échanges privés avec le patron de l’industriel madame von der Leyen dira qu’elle les a détruits.

Pendant ce temps-là, les dirigeants de Pfizer s’enrichiront massivement à titre personnel, profitant du succès des négociations commerciales de leur société pour y ajouter la rente boursière. Son P.D.G., déjà cité, en profitera pour vendre 5,6 millions de dollars d’actions (et sa vice-présidente 1,8 millions).

Les rares journalistes qui s’en inquièteront oublieront étrangement de signaler que Pfizer est l’industriel pharmaceutique le plus lourdement condamné de l’histoire par la justice américaine pour ses multiples malversations : 42 condamnations et plus de 6,5 milliards de dollars d’amendes depuis 1995. Une délinquance organisée donc, par des dirigeants à qui les sanctions pécuniaires régulières ne font pas peur compte tenu des bénéfices engrangés (36 milliards de dollars sur le vaccin Cominarty en une seule année).

Aussi est-ce sans surprise que l’on apprendra grâce au British Medical Journal que ces vaccins ont été fabriqués en urgence, par un sous-traitant de Pfizer, dans un souci de rentabilité ayant conduit à bafouer plusieurs règles éthiques et à tricher avec les données (notamment en dissimulant les effets indésirables).

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