VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > Deuxième tour des législatives 2022, un référendum contre Macron ? (...)

Deuxième tour des législatives 2022, un référendum contre Macron ? (vidéo)

mardi 14 juin 2022, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 14 juin 2022).

https://youtu.be/J9mIkWTgyvo

Emmanuelle Gave, fille de Charles Gave.

Extrait de la soirée électorale post-premier tour des législatives 2022

Soirée organisée par Aude Lancelin le lundi soir 13 juin 2022

Cliquer ici pour télécharger cet extrait

Aux présidentielles, Emmanuelle Gave a voté Marine Le Pen pour faire barrage à Macron ; et, elle est prête à voter Jean-Luc Mélenchon toujours pour faire barrage à Macron. Elle explique pourquoi.

Peut-on en déduire que beaucoup d’électeurs du Rassemblement National iront voter dimanche prochain pour la NUPES (Union de la gauche) quand il n’y aura pas, dans leur circonscription, de candidat RN ?

7 Messages de forum

  • Ce n’est qu’un début de tendance, le basculement du vote « fâché mais pas vraiment facho ».

    Cette tendance se produit, commence à se produire, suite à la constitution d’une option social-démocrate visible et possible.

    Elle est aussi le résultat de la polarisation croissante de l’ensemble des pays capitalistes suite à la guerre et à la stagflation.

    Elle finira par mettre en branle l’ensemble de la classe ouvrière dans un futur plus proche que lointain.

    Pousser dans ce sens est la responsabilité de tout travailleur conscient, donc, aller voter par la NUPES est le pas nécessaire et logique ce dimanche. Comme disait Napoléon "on s’engage et puis on voit ».

    Car, la NUPES n’est pas ni l’idéal ni l’expression ultime de la gauche. Il s’agira de pousser tout cet ensemble vers la gauche. Remarque, on sera bien aidés par la crise et par la guerre.

    Ceux qui préfèrent rester à compter les points et à ânonner des vérités éternelles… feront ce qu’ils ont fait tout leur vie…sans jamais avoir gagné personne à leurs « idées », critiquer du trottoir et finalement, pour les plus pourris, voter à l’extrême droite. C’est dégueulasse !

    Répondre à ce message

    • Ce qui est dégueulasse, c’est de soutenir les néonazis ukrainiens.

      Ce qui est dégueulasse, c’est que chaque jour des soldats russes et républicains du Donbass meurent sous les balles et, quand ils sont prisonniers, sous la torture de ces nazis ukrainiens.

      Ce qui est dégueulasse, c’est que chaque jour, les civils du Donbass meurent sous les obus tirés par les canons français Caesar bénis par MM. Macron, Mélenchon & Cie.

      Ce qui est dégueulasse, c’est que la gauche française soit délibérément complice de tous ces crimes.

      Mais ce qui n’est pas dégueulasse, pour Viriato, c’est que la « gauche » française, dans cette vidéo, fait littéralement le « trottoir » pour récupérer quelques voix de l’extrême droite française, exactement la même « extrême-droite » (Gave père et fille !) que Viriato fustige férocement quand elle tente de s’opposer à l’implication française dans la guerre en Ukraine !

      Mais Viriato sait forcément mieux que tout le monde ce qui est « bon pour la gauche » et se permet de donner des leçons aux autres, « oubliant » aujourd’hui, nécessité mélenchoniste oblige, ses sermons enflammés d’« indignation » d’il y a à peine deux mois !

      Répondre à ce message

      • Celui qui a fait campagne pour M.Le Pen et voté por elle, tout en s’abstenant partout ailleurs pendant 60 ans… pour se retrouver tout seul à prêcher contre le mouvement réel des travailleurs de gauche … cause derrière un"anonimat" trasparent.

        Ma position sur la guerre est très claire, la voici :

        "LA COMPRÉHENSION DE L’IMPÉRIALISME de beaucoup de ceux qui prétendent être de gauche est celle du dictionnaire standard courant : tout pays qui attaque ou exploite ses voisins proches pour quelque raison que ce soit est impérialiste.

        Nous devons défendre la définition marxiste alternative telle qu’elle a été développée dans les classiques marxistes : La révolution permanente, résultats et perspectives de Trotski (1906 et 1928) et L’impérialisme, stade suprême du capitalisme de Lénine (1916). Ces perspectives ont été réunies dans les Thèses d’avril 1917 de Lénine, qui ont mis les bolcheviks sur la voie de la grande révolution d’octobre.

        Ces thèses traitent l’impérialisme comme un phénomène mondial des principales puissances capitalistes dont les grandes sociétés financières, alliées à leurs sociétés transnationales, cherchent à dominer, exploiter et voler la planète entière.

        Les puissances impérialistes exploitent non seulement leur propre classe ouvrière, mais aussi celle des semi-colonies du Sud, mettant en faillite leurs industries et réduisant ces économies à des fournisseurs de matières premières et de produits primaires pour les marchés métropolitains.

        Le butin ainsi gagné est utilisé pour acheter une aristocratie du travail via la bureaucratie syndicale, qui soutient invariablement toutes ses guerres étrangères, directement ou par procuration. Mais il s’agit toujours d’une relation en mouvement, qui n’a jamais été une relation permanente entre la classe dirigeante impérialiste et la classe ouvrière.

        Chaque fois que la classe ouvrière des pays impérialistes défend ses sections les plus opprimées et exploitées, elle commence à repousser cette bureaucratie corrompue et à affirmer le pouvoir de la base. C’est alors qu’ils recommencent à devenir réellement une classe POUR elle-même, en faisant progresser leur conscience de classe à la fois dans leurs propres pays et au niveau international.

        Pour que cette lutte progresse, des organisations de la base sont nécessaires AU SEIN des syndicats existants. Nous rejetons de la même manière la proposition de l’ultragauche selon laquelle tous les syndicats sont devenus une partie intégrante de l’État capitaliste ou que la bureaucratie syndicale peut mobiliser la classe ouvrière pour le socialisme, malgré les bonnes intentions de nombreux responsables de second rang et de certains dirigeants.

        En Grande-Bretagne, les Chartistes des années 1840, dont leur mouvement a pris les proportions d’un soulèvement révolutionnaire, ont été le premier mouvement de masse d’en bas. Les femmes de la grève des Match Girls de Bryant et Mays en 1889 et les dockers immigrés irlandais qui ont lutté pour la grève des "dockers tanneurs" en 1891 sont les premiers exemples qui se sont réellement répandus au niveau international.

        Ils ont obtenu un soutien énorme dans les rangs des syndicats, tant en Grande-Bretagne même que dans tout l’empire britannique. Elle a été suivie de nombreuses autres dans tous les pays, qui avaient toutes un potentiel révolutionnaire si un leadership correct avait émergé. Aujourd’hui, nous nous tournons vers Chris Smalls et sa victoire dans la syndicalisation de l’Amazon de Staten Island, qui inspire un tel renouveau international.

        L’impérialisme hier et aujourd’hui

        Avant la Première et la Seconde Guerre mondiale, il y avait deux blocs impérialistes concurrents, plus ou moins égaux, qui se disputaient la domination du monde. Après la Seconde Guerre mondiale, il n’y en avait qu’un seul, les États-Unis, et les États ouvriers dégénérés de l’URSS et de l’Europe de l’Est, rejoints successivement par la Yougoslavie, l’Albanie, la Chine, la Corée du Nord, le Vietnam, le Laos, le Cambodge et Cuba, le "socialisme réellement existant", comme ils étaient faussement appelés.

        Après l’effondrement de l’URSS en 1991 et l’adhésion de la Chine au capitalisme en 1992, il ne reste plus que deux États ouvriers déformés, Cuba et la Corée du Nord, et sans une recrudescence mondiale des luttes de la classe ouvrière et des opprimés dans un avenir proche, ils disparaîtront également.

        Mais il y a des signes encourageants qui se dessinent : la syndicalisation de Chris Smalls et des Amazones de Staten Island se répand parmi les plus exploités aux États-Unis et dans le monde, comme nous l’avons déjà noté.

        Ainsi, à l’heure actuelle, il n’y a qu’une seule puissance impérialiste hégémonique mondiale, bien qu’elle soit en déclin, les États-Unis et tous ses impérialismes subordonnés, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Royaume-Uni, les principaux pays de l’UE et le Japon.

        Un groupe de ces pays, dirigé par le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande, est davantage intégré au projet financier et politique des États-Unis. Les autres, menés par l’Allemagne, la France, l’Italie et l’Espagne, sont beaucoup moins heureux car ils sont mis au pas à plusieurs reprises par les États-Unis, comme nous le voyons aujourd’hui dans la guerre en Ukraine. Le Japon oscille entre la Chine et les États-Unis, en fonction du parti politique au pouvoir.

        De même, les États semi-coloniaux sont divisés, avec de nombreux anciens États ouvriers d’Europe de l’Est soutenant fortement les États-Unis, tout comme les pays du Moyen-Orient, l’Arabie saoudite, le Qatar, l’Inde, la Turquie, le Brésil, l’Argentine et l’Afrique du Sud.

        Mais même parmi ces pays, la Hongrie, l’Inde, l’Afrique du Sud et même l’Arabie saoudite et d’autres sont clairement alarmés par la guerre par procuration de l’OTAN contre l’Ukraine, se sentent eux-mêmes menacés et ont montré leur mécontentement en s’abstenant lors des votes des Nations unies condamnant la Russie.

        Ni la Russie ni la Chine ne sont des puissances impérialistes

        Ni la Russie ni la Chine ne sont des puissances impérialistes, elles ne sont pas intégrées au FMI et à la Banque mondiale et ne peuvent pas extraire la plus-value du Sud mondial de cette manière, même si la Chine en particulier y aspire.

        Le dollar américain domine la planète en tant que monnaie d’échange et de réserve (2021, 58,81%). L’euro européen n’a pas réussi à le remplacer (2021, 20,64%) et le yuan/renminbi chinois peut aspirer à le faire, et les sanctions actuelles contre la Russie peuvent renforcer cette possibilité, mais en 2021, il ne représentait que 2,97% en tant que monnaie d’échange et de réserve mondiale.

        Les États-Unis peuvent sanctionner des pays comme l’Iran, puis sanctionner d’autres pays et les sociétés transnationales d’autres pays impérialistes s’ils n’obéissent pas au "gendarme du monde".

        La Russie et la Chine sont à des millions de kilomètres de distance d’un tel pouvoir mondial.

        La Chine agit d’une certaine manière comme les premières puissances impérialistes d’Afrique, d’Asie du Sud-Est et d’Amérique latine ; elle investit pour acquérir une domination économique et extraire des matières premières pour ses industries.

        Mais elle n’a pas les prouesses militaires des anciens colonialistes, et encore moins celles des États-Unis et de l’OTAN aujourd’hui, et ne peut donc pas imposer cette domination temporaire, ce qui signifie qu’il ne s’agit que d’une semi-dominance à laquelle les États-Unis peuvent mettre fin presque à volonté.

        Les dépenses militaires des États-Unis, de l’OTAN et d’autres alliés sont supérieurs à celles de la Russie et de la Chine réunies par un facteur d’environ quinze. En 2021, les dépenses militaires américaines dépassaient 800 milliards de dollars, celles de la Russie et de la Chine étaient respectivement de 65,9 et 293 milliards de dollars. Et les dépenses de la Russie et de la Chine sont entièrement défensives et dans leur étranger proche.

        Les États-Unis et l’OTAN visent à balkaniser la Russie et la Chine

        La guerre actuelle en Ukraine et la guerre à venir des États-Unis et de l’OTAN contre la Chine visent à balkaniser la Russie et la Chine afin que les États-Unis et les impérialismes qui leur sont subordonnés puissent contrôler et surexploiter directement leur classe ouvrière et toutes leurs ressources naturelles, leur gaz, leur pétrole, leur titane, leurs métaux rares, etc. Ni la Chine ni la Russie ne peuvent espérer faire cela à l’UE, au Japon, etc. et encore moins aux États-Unis eux-mêmes.

        Seule une crise économique catastrophique aux États-Unis, impliquant la fin de la domination du dollar américain, ouvrirait la perspective que la Chine devienne une puissance impérialiste et s’allie alors peut-être avec la Russie et l’UE pour former un bloc de puissance impérialiste alternatif à peu près égal aux États-Unis et à ses alliés restants.

        Le bloc de pouvoir eurasien fasciste d’Alexandre Douguine, qui influence sans aucun doute Vladimir Poutine de la mer de Chine méridionale à la Manche, impliquant Marine Le Pen et de nombreux autres fascistes et d’extrême droite, qui rêvent maintenant, serait alors en vue.

        Mais c’est un scénario radicalement différent de celui d’aujourd’hui.

        Un soutien inconditionnel mais critique

        Ainsi, dans la guerre en Ukraine, nous sommes pour la défaite du régime fantoche de l’OTAN à Kiev et la victoire de la Russie. Un soutien inconditionnel mais critique, tel est le slogan, comme ce sera le cas lors de la prochaine attaque américaine contre la Chine.

        Nous ne nous faisons pas d’illusions sur la dictature brutale de Poutine, ni sur le président milliardaire Xi Jinping en Chine, dont la richesse et celle des 1 058 milliardaires et 4,5 millions de millionnaires est bâtie sur la super exploitation des travailleurs immigrés en alliance avec l’impérialisme occidental via le système du hukou, dont 300 millions sont des citoyens de seconde zone sans droits sociaux ni même droits à l’éducation pour leurs enfants.

        De même, la défense de Cuba et de la Corée du Nord ne signifie pas que nous sommes d’accord avec la bureaucratie cubaine privilégiée qui est capitaliste et restauratrice, mais qui est confrontée à une opposition populaire dans ses deuxièmes couches de direction et de base en raison des conditions terribles que la subordination aux États-Unis a produites dans son État frère, Haïti ; Cuba était aussi exploité par les États-Unis que Haïti avant sa révolution de 1959-1961.

        Nous ne soutenons pas non plus la théorie dite du marxisme-léninisme-juche de la direction héréditaire de Kim Il Sung, une dynastie ’communiste’ et monarchique, au nom de tout ce qui est sacré !

        Seule une nouvelle défaite sérieuse de l’impérialisme mondial, comme au Vietnam et en Afghanistan, permettra de relancer la lutte des classes dans les pays impérialistes.

        Et ceci, à son tour, relancera la classe ouvrière en Ukraine, en Russie et en Chine contre leurs propres classes dirigeantes réactionnaires, les ennemis secondaires de la classe ouvrière et très dangereux lorsqu’ils commencent à agir dans des luttes qui ne sont pas des révolutions de couleur.

        Le récent soulèvement de la classe ouvrière au Kazakhstan était un véritable soulèvement auquel se sont opposés Poutine et l’impérialisme américain, contrairement au soutien inconditionnel des impérialistes aux révolutions de couleur à Hong Kong et en Biélorussie.

        Il en va de même pour le Tibet, Taïwan et leur propagande mensongère sur le caractère génocidaire de la répression chinoise des Ouïghours au Xinjiang.

        Bien sûr, nous ne cherchons pas à aseptiser les méthodes répressives, antidémocratiques et non révolutionnaires que les bureaucrates staliniens utilisent pour réprimer ces soulèvements réactionnaires, et nous ne nions pas non plus les mauvais traitements infligés aux Ouïghours, mais nous reconnaissons ici aussi l’ennemi principal. Cette approche est l’essence de la théorie de la Révolution permanente de Trotski et la pratique de la méthode de transition du Programme de transition de 1938.

        Notre ennemi principal est toujours chez nous

        Une défaite de la Russie en Ukraine serait une défaite pour la conscience de classe de la classe ouvrière là-bas et tous les marxistes sérieux savent que le monstre qu’est le capitalisme/impérialisme moderne ne peut être tué qu’à sa tête.

        Par conséquent, il n’est pas question d’une double ligne défaitiste dans cette guerre ou dans la prochaine contre la Chine. La défaite des forces de l’impérialisme mondial dominé par les États-Unis est toujours notre objectif."

        Répondre à ce message

        • Viriato veut bien les votes de l’extrême-droite Gave & Cie pour faire élire Mélenchon, le complice assumé des assassins néonazis et des banco-centralistes tous azimuts mais il n’en veut pas pour tenter de retirer la France du conflit ukrainien… !

          De manière assumée Viriato est donc complice des crimes et des tortures nazies en Uktaine, bien qu’il prétende nous donner des leçons de pseudo-« marxisme » avec un globi-boulga de bouts de textes copiés-collés dans son bréviaire trotskyste, truffé des absurdités habituelles du genre.

          Que de blabla et de contorsions pitoyables pour tenter de justifier l’injustifiable : la participation assumée, de facto, de la gauche française et de Mélenchon en particulier aux crimes indélébiles dont Viriato se fait donc lui-même également ainsi le complice.

          En 2017 j’ai malheureusement voté Mélenchon, malgré mes critiques sur son programme de soumission, déjà, à la BCE, et sur la base du même principe tactique énoncé par Viriato, aujourd’hui, mais il n’y avait pas la guerre. Je regrette néanmoins évidemment encore ce vote, aujourd’hui.

          Se tromper est possible, persévérer en connaissance de cause, c’est de l’aveuglement volontaire.

          Répondre à ce message

  • Absolument, et de la venue du Mandarom aussi…

    Alors, la remontée des taux des "banques-centralistes", c’est encore ma faute ?

    Je parle de "siphoner la social démocratie" et l’électeur de Marine Le Pen pourfand le "trotskisme"…Normal, les fachos n’aiment pas les "trotskistes" (si cette dénomination a une valeur quelconque).

    Il n’y pas des "troskistes" car ceux qui ainsi se dénominent vont de la droite en passant par le centre et à gauche (rares).

    En fait, la seule dénomination correcte est : de droite, de centre et de gauche avec leurs nuances, mais toute autre dénomination, (réformistes, révisionnistes, marxistes-léninistes, conseillistes luxembourgistes, troskistes) ne veulent rien dire, car à chaque événement, chacune des leurs positions au sein du mouvement ouvrier, prends une position de droite, de centre ou de gauche et on ne peut que les qualifier sur pièce.

    L’électeur lepenniste Luniterre, utilise la terminologie stalinenne, vieille de presque un siècle, avec tous les anathèmes, "autos da fé" et autres procédés qui ont conduit les staliniens à la ruine et logiquement n’y comprend goutte de quoi on parle et se limite à annoner "Trotskiste, troskiste !!" comme dans les années 30-40. Je sais l’âge est un naufrage mais à ce point là…

    Je comprends que ceux qui militent pour un vote Marine Le Pen ne soient pas au courant de cette disctinction élémentaire. Il faudrait être sur l’autre barricade, sur celle des travailleurs et avoir un minimum d’éducation politique pour le comprendre.

    Alors, si on lui démontre que depuis le début, nous avons bien qualifié et condamnée l’agression impérialiste US et montre la tactique à suivre, il ne peut rien contre la logique imparable de l’argumentation et passe au délire ("complices des ukronazis") et agite l’épouvantail bien émoussé de "trotskiste"

    Que ne t-il faut pas faire pour justifier un vote de trahison de classe !

    Répondre à ce message

    • Le blabla pseudo-"marxiste"(trotskyste et/ou trotskysant) c’est une chose, les actes et la réalité sur le terrain, une autre :

      "Alors, si on lui démontre que depuis le début, nous avons bien qualifié et condamnée l’agression impérialiste US et montre la tactique à suivre, il ne peut rien contre la logique imparable de l’argumentation et passe au délire ("complices des ukronazis") et agite l’épouvantail bien émoussé de "trotskiste""

      Sur le terrain des gens meurent sous les bombes "françaises" bénies par Mélenchon & Cie.

      Point barre.

      Je n’ai pas fait plus "campagne" pour Le Pen que les Gaves ne le font aujourd’hui, avec ta bénédiction, pour Mélenchon et qu’ils ne le faisaient hier, avec tes cris d’orfraie, pour Le Pen. Si Mélenchon était au moins resté "neutre" sur la question ukrainienne, façon NDA, j’aurais certainement voté plutôt le Mélenchoniste que le Macronien aux législatives, mais le cas ne se présente pas chez moi : ils sont virés les deux dès le premier tour !

      Répondre à ce message

Répondre à cet article

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0