Notre première ministre, Élisabeth Borne, et notre ministre de la Santé François Braun sont à l’origine de la "mission flash" chargée de trouver une solution à la crise des urgences suite à la fermeture de 75000 lits d’hôpital en seize ans dont 17600 sous le premier quinquennat d’Emmanuel Macron[1].
Malheureusement, depuis les recommandations issues de la "mission flash" sur les urgences et soins non programmés pour l’été 2022, la situation devient encore plus CATASTROPHIQUE au point que plus d’une centaine d’hôpitaux sur tout le territoire hexagonal ont été poussés à fermer leurs services d’urgence, notamment la nuit…
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À Manosque, dans les Alpes-de-Haute-Provence, le service va être fermé une dizaine de nuits en août, faute de moyens humains. Ce sera aussi le cas à Laval, en Mayenne, ou encore en Ille-et-Vilaine, où quatre services d’urgence auront leurs portes closes plusieurs nuits… [2] |
Voici, dans cette vidéo, ci-dessous, le témoignage d’un médecin urgentiste Christophe Prudhomme qui décrit cette situation CATASTROPHIQUE de nos urgences au point que nous en sommes à trier les patients, alors que le ministre de la Santé François Braun soutient mordicus :
« Il n’y a pas de fermetures d’urgences »
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- Témoignage de Christophe Prudhomme, médecin urgentiste - BFMTV - 03/08/2022 - vidéo_2’15’’
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« Il n’y a pas de fermetures d’urgences », a défendu le ministre de la Santé François Braun, en déplacement au CHU de Nantes, mercredi 3 août, pour visiter, notamment, les urgences adultes et pédiatriques. "Il faut arrêter avec ce terme qui est tout le temps utilisé. C’est un terme qui fait peur. Il y a un accès régulé médicalement par des soignants vers les services d’urgences, dans les endroits où il n’y a plus les moyens humains pour faire tourner sans cette régulation. Cette régulation n’apporte pas une dégradation des soins, comme je peux l’entendre, mais elle apporte au contraire une meilleure orientation des patients en fonction des besoins", a assuré l’auteur de la "mission flash" chargé de trouver une solution à la crise des urgences.[2]
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Voici maintenant, ci-dessous, dans ces deux magnifiques fichiers PDF, le descriptif précis de la mise en œuvre de la "mission flash" sur les urgences et soins non programmés, publié le 12 juillet 2022 par le ministre de la Santé François Braun où il explique que les territoires disposeront, jusqu’à la fin du mois de septembre, d’une série de leviers nouveaux pour garantir une réponse adaptée aux besoins de santé des Français, bla, bla, bla…[3]
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- DOSSIER DE PRESSE (fichier_PDF-12_pages)
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- "mission flash" (fichier_PDF-60_pages)
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Sources :
[1] https://www.liberation.fr/checknews…
[2] https://www.tf1info.fr/politique/cr…
[3] https://www.gouvernement.fr/actuali…
À aucun moment dans les recommandations issues de la "mission-flash" notre ministre, menteur comme un arracheur de dents, entrevoit l’idée de réintégrer les soignants suspendus !
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Merci, Elisabeth Borne !
Bientôt 11 mois sans salaires et sans droits sociaux pour tous les soignants qui refusent les injections expérimentales.
André Bercoff sur Sud Radio le 17 mai 2022 souligne que c’est "Elisabeth Borne qui en tant que ministre du travail a suspendu les soignants sans autre forme de procès" (vidéo_13’31’’)
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15000 à 60000 soignants suspendus ?
http://mai68.org/spip2/IMG/mp4/1500… Tout sur les 15000 Soignants suspendus drame dont aucun média ne parle ! (vidéo_1h13’-13/06/2022-Gérard_Infos)
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