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Réchauffement climatique : l’alternance des périodes chaudes et des périodes froides

dimanche 21 janvier 2024, par do (Date de rédaction antérieure : 14 septembre 2022).

L’alternance des périodes froides et des périodes chaudes concerne aussi bien le jour et la nuit, que l’hiver et l’été, ou encore les périodes glaciaires et interglaciaires. La période interglaciaire actuelle est appelée "réchauffement climatique". Ces diverses alternances ayant des causes astronomiques, on peut se demander ce que viennent faire le CO2 et le méthane là dedans ?

Cette étude est basée sur les mesures du taux de CO2 aux époques glaciaires et interglaciaires antérieures. Le CO2 n’a PAS pu être produit par l’humanité lors des périodes interglaciaires antérieures, mais il était là quand même !

Voyons cela d’une façon scientifique.


Le réchauffement climatique est-il dû à l’être humain ?

On parle de réchauffement climatique parce qu’on se dirige vers une période chaude qui va durer des dizaines et peut-être des centaines d’années. Mais, il y a des périodes chaudes qui durent bien moins longtemps comme l’été qui ne dure que quelques mois. Et il y a même des périodes chaudes qui ne durent que quelques heures : il s’agit du jour.

En effet, l’alternance du jour et de la nuit est une alternance d’une période froide et d’une période chaude. Certes cette alternance se fait en très peu de temps, mais c’est une alternance. Et elle est due à des causes astronomiques : la terre tourne sur elle-même, du coup, on ne reçoit pas les rayons du soleil pendant la nuit d’où un rafraichissement, et on les reçoit à nouveau le jour d’où un réchauffement.

Il y a bien sûr aussi l’alternance de l’hiver et de l’été. La Terre tourne aussi autour du Soleil, et elle met 1 an à effectuer une rotation complète. Elle est inclinée par rapport au Soleil, c’est pourquoi la durée des jours et des nuits varie selon les périodes de l’année. Du coup, en hiver il fait froid et en été il fait chaud.

Les deux schémas que j’utilise pour les deux alternances précédentes ont été trouvés ici

Jusqu’à il y a quelques années, j’ai cru à la théorie du réchauffement climatique dû à l’être humain. Puis, je me suis posé des questions. Questions que j’ai posées à un ami scientifique. Il m’a répondu qu’il n’y avait aucun doute. Que c’était bien le taux de CO2 produit par l’être humain qui causait le réchauffement climatique. Et, il m’a fourni le schéma suivant à l’appui de cette thèse :

Il m’a dit : « Je dispose d’ailleurs de schémas montrant que pendant les ères glaciaires le CO2 est au plus bas. Le taux de CO2 baisse systématiquement pendant les ères glaciaires et remonte systématiquement pendant les ères chaudes. »

J’ai vérifié ce que je voulais avec l’aide de Wikipédia et de son schéma. Wikipédia me dit que la dernière période glaciaire a duré de -110 000 à -10 000 ans. Sur son schéma, on constate que le taux de CO2 est nettement inférieur pendant cette période qu’aujourd’hui. De plus, d’après Wikipédia, la pire glaciation pendant cette période a eu lieu il y a 22 000 ans, et d’après son schéma ça tombe pile au moment où le taux de CO2 était presque au plus bas.

Je ne me suis plus posé de question. Je me suis mis à croire que c’était bien le CO2 (d’origine humaine) qui causait le réchauffement climatique. Je ne me suis même pas demandé qu’est-ce qui avait bien pu causer les réchauffements climatiques précédents.

Pourtant, une période chaude du climat est indiquée sur son schéma il y a 100 000 ans. Il serait très étonnant que celle-ci ait été causée par du CO2 d’origine humaine. Et des réchauffements climatiques, il y en tous les 100 000 ans, comme le montre le schéma suivant trouvé ici :

Le schéma suivant trouvé ici montre la corrélation entre les réchauffements climatiques successifs et le taux de méthane et de CO2 dans l’air :

Seulement, comme disent les scientifiques statisticiens :

« Corrélation n’est pas causalité »

Et en effet, on ne peut quand même pas dire que c’est l’activité humaine qui a causé l’augmentation conséquente des taux de méthane et de CO2 qui coïncide avec les réchauffements climatiques précédents.

Pourtant, il y a une parfaite corrélation entre les périodes chaudes du climat et l’augmentation des taux de CO2 et de méthane dans l’air. Que cela signifie-t-il ?

Si on ne tient compte que des statistiques indiquées sur le précédent schéma, on peut se dire :

  • 1. Que c’est l’augmentation du taux de CO2 qui vient en premier, et qu’il entraine une augmentation du taux de méthane et qu’il provoque le réchauffement climatique,
  • 2. Que c’est l’augmentation du taux de méthane qui vient en premier, et qu’il entraine une augmentation du taux de CO2 et qu’il provoque le réchauffement climatique,
  • 3. Que c’est le réchauffement climatique qui vient en premier, et qu’il entraine une augmentation du taux de CO2 et de méthane,
  • 4. On pourrait penser aussi à l’hypothèse d’un mixe des deux premières hypothèses, ou même imaginer que c’est une cause inconnue qui provoque simultanément l’augmentation des taux de méthane et de CO2 et le réchauffement climatique.

Mais, sachant que l’augmentation des taux de CO2 et de méthane des précédents réchauffements climatiques ne peut pas avoir une cause humaine, il est fort probable, sinon évident, que c’est l’hypothèse 3 qui est la bonne, et que c’est le réchauffement climatique qui provoque par divers mécanismes l’augmentation des taux de CO2 et de méthane.

Et ce, d’autant plus qu’il existe une explication astronomique expliquant l’alternance tous les 100 000 ans des périodes froides et des périodes chaudes du climat. Cette explication est certes bien plus complexe que l’explication astronomique des alternances jour-nuit ou bien été-hiver, dont j’ai parlé en début d’article ; mais, elle est universellement reconnue par tous les scientifiques qui se sont penchés dessus. Il s’agit du Cycle de Milankovitch.

Certes, me direz-vous, mais tout de même, si on examine attentivement le dernier schéma que tu donnes, on voit bien que les taux de CO2 et de méthane sont énormément plus élevé lors du réchauffement climatique actuel que lors des précédents. Oui, mais justement, si c’était ces taux qui causent le réchauffement climatique actuel, celui-ci devrait être beaucoup plus élevé que les précédents. Ce qui n’est pas le cas, pire, il n’a même pas encore atteint le stade des précédents réchauffements climatiques. On peut donc considérer que, même si l’activité humaine a fait énormément augmenter les taux de CO2 et de méthane dans l’air, ce n’est pas ça qui cause l’actuel réchauffement climatique.

Sur les schémas que je donne on constate que les réchauffements climatiques ont lieu tous les 100 000 ans ; et que, justement, le précédent réchauffement climatique date d’il y a 100 000 ans !

Il n’y a par conséquent pas à s’étonner qu’il y ait actuellement un réchauffement climatique (c’est le contraire qui serait étonnant). Et il aurait lieu même s’il n’y avait aucune vie sur Terre.

Vous pouvez arrêter là votre lecture. Mais si, vous êtres un peu scientifique et que vous voulez des précisions sur le Cycle de Milankovitch, les voici :

Le cycle de Milankovitch dépend de trois paramètres : l’excentricité (excentricity sur l’image), l’obliquité (obliquity) et la précession des équinoxes (precession). / Hannes Grobe, Alfred Wegener Institute for Polar and Marine Research

La théorie de Milutin Milankovitch, élaborée en 1941, rend compte de l’alternance des cycles glaciaires et interglaciaires durant le Quaternaire. Une glaciation se produit lorsque les hautes latitudes de l’hémisphère nord reçoivent un minimum de rayonnement solaire durant l’été. Trois paramètres astronomiques jouent un rôle important dans la distribution de l’insolation sous les hautes latitudes : l’excentricité de l’orbite terrestre, l’obliquité de l’axe de rotation de la Terre par rapport au plan de l’écliptique et la précession des équinoxes.

Variations des paramètres orbitaux

  • L’excentricité de l’orbite terrestre. L’orbite terrestre est une ellipse, dont le Soleil est l’un des foyers. L’excentricité de l’ellipse mesure la différence de distance entre les deux foyers. Lorsque l’excentricité est faible, l’orbite terrestre est presque circulaire. L’excentricité est engendrée par les attractions gravitationnelles exercées entre la Terre et les autres planètes. La période caractéristique de variation du paramètre est de 100.000 ans. Bien qu’il fasse varier de 1 % seulement l’énergie solaire reçue sur Terre, ce paramètre est pourtant le plus influant.
  • L’obliquité de l’écliptique. L’angle formé par la direction des pôles et celle de la normale au plan de l’écliptique n’est pas constant. Il varie entre 22° et 24,5° suivant une période de 41.000 ans. Ainsi, suivant l’obliquité, les pôles ne recevront pas le même éclairement.
  • Précession des équinoxes. La Terre tourne sur elle-même telle une toupie. L’axe de rotation de la Terre balaie un cône, mais celui-ci varie avec une période de 20.000 ans. L’inclinaison de l’axe de rotation terrestre n’affecte pas la quantité totale de chaleur solaire reçue sur Terre, mais sa distribution.

La théorie astronomique de Milankovitch explique de façon satisfaisante les grandes variations climatiques des cycles glaciaires.

Bien sûr, cet article n’explique pas tout !

Le réchauffement et le refroidissement climatique ayant des causes astronomiques, pour tout prévoir, il faudrait savoir à l’avance quels seront les déplacements des divers astres qui nous entourent. C’est en fait impossible ; en effet, Déterminer les trajectoires de trois corps soumis uniquement à leur interaction gravitationnelle est un problème célèbre posé depuis plus de deux siècles. Les mathématiciens savent aujourd’hui qu’ils ne pourront jamais le « résoudre » complètement.

Alors, s’il est impossible de déterminer les déplacements de trois corps, qu’en est-il des nombreuses influences astronomiques sur le climat ? Ainsi, il peut y avoir de courtes périodes chaudes ou froides qui ne sont pas prévues par l’article ci-dessus.

Le problème des trois corps :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article17380

15 000 ans !

En regardant le cinquième schéma de l’article, on voit que le réchauffement climatique actuel — la période interglaciaire actuelle — a commencé il y a 15 000 ans.

L’alternance des périodes glaciaire et interglaciaire (vidéo 5’)

http://mai68.org/spip2/spip.php?article13799

LES PARAMÈTRES DE MILANKOVIC - Comment Ça Marche ?

L’Esprit Sorcier TV - 3 novembre 2015

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Inclinaison, rotation, excentricité… La Terre a la bougeotte, et ses mouvements influencent notre climat ! Des paramètres mis en évidence par le scientifique serbe Milutin Milanković.

Le monde sans fin

L’idéologie principale du pouvoir en ce moment, c’est le réchauffement climatique. Cette idéologie est là pour faire accepter l’idée qu’on peut être pauvre et heureux. "Ils" appellent ça la "sobriété heureuse" :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article13780

11 mars 2019 : Le pouvoir veut qu’on se mobilise pour le climat, donc j’en ai rien à foutre du climat

http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

Mieux, je suis pour le réchauffement climatique !

Pendant le moyen-âge, il y a eu une période de réchauffement climatique. Cela s’est traduit par un enrichissement de la France. Les récoltes faites par les paysans étaient bien meilleures.

En plus, j’aime pas avoir froid. Et j’aime bien me balader à poil.

Quoi, il va y avoir des déplacements de populations ? Et on va être "envahis" ? Tant mieux, j’aime la diversité et je suis pas raciste !

C’est le pouvoir qui est raciste !

Le pouvoir ne veut pas qu’on se mobilise avec les Gilets jaunes pour les hausses de salaires. Il préfère qu’on se mobilise pour le climat. Pourquoi à votre avis ?

Cliquer ici pour l’article et les commentaires

CO2, température, Climat

http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

Compilation de divers document à partir desquels j’ai pu réfléchir. Mes remerciement vont à ceux qui les ont établis ; et aussi à René, dont je ne partage pas toutes les idées, mais qui a poussé ma réflexion sur le réchauffement climatique jusqu’au déclic :

https://victime-ripou.com/virus/gen…

17 Messages de forum

  • merci pour le "Déclic de René"

    René

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  • Merci, Do !
    Sujet complexe s’il en est ! et soumis à tant de populisme etc.
    GB.

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  • Bonsoir,

    Comme toujours tes courriels sont enrichissants. Je les lis tous avec grand intérêt et j’apprends beaucoup de choses mais en plus (en mieux) je vois qu’il y a une partie du peuple qui pense différemment de ce que les médias “mainstream” pourraient nous faire croire : ouf, cela redonne de l’espoir, malgré les pass sanitaires, énergétiques et le soutien aux ukro-nazis, malgré aussi qu’on pourrait penser que la propagande de l’impérialisme marche auprès de beaucoup de nos concitoyens (on a tous vécu des clashs, y compris avec des proches, sur ce sujet).

    Merci à toi.

    Bien fraternellement.

    François

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  • Oh ! j’en ai parlé à mes élèves ( les cycles de Milankovic, aussisi) : et ça les convainc !

    Il y a un astronome anglais…

    https://www.youtube.com/watch?v=elf…

    https://www.youtube.com/watch?v=o8r…

    https://www.youtube.com/watch?v=H6V…

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  • La NASA admet que le changement climatique est dû aux modifications de l’orbite solaire de la Terre, et non aux SUV et aux combustibles fossiles

    Depuis plus de 60 ans, la National Aeronautics and Space Administration (NASA) sait que les changements qui se produisent dans les régimes climatiques planétaires sont tout à fait naturels et normaux. Mais l’agence spatiale, pour une raison quelconque, a choisi de laisser le canular du réchauffement climatique d’origine humaine persister et se répandre, au détriment de la liberté humaine.

    Par Mary Josephson 19 août 2022

    C’est en 1958, pour être précis, que la NASA a observé pour la première fois que les changements de l’orbite solaire de la Terre, ainsi que les modifications de l’inclinaison axiale de la Terre, sont tous deux responsables de ce que les climatologues appellent aujourd’hui le « réchauffement » (ou le « refroidissement », selon leur programme). En d’autres termes, les humains ne réchauffent ou ne refroidissent en aucun cas la planète en conduisant des 4×4 ou en mangeant du bœuf.

    Mais jusqu’à présent, la NASA n’a pas réussi à remettre les pendules à l’heure et a choisi de rester silencieuse et de regarder les libéraux flipper à propos de la supposée fin du monde dans 12 ans à cause de trop de bétail ou de trop de pailles en plastique.

    En 2000, la NASA a publié sur le site Web de son Observatoire de la Terre des informations sur la théorie du climat de Milankovitch, révélant que la planète change en fait en raison de facteurs extérieurs qui n’ont absolument rien à voir avec l’activité humaine. C’est pourquoi des gauchistes dérangés, obsédés par le climat, ont commencé à affirmer qu’il ne nous reste que 18 mois avant que la planète ne meure d’un excès de dioxyde de carbone (CO2).

    La vérité, cependant, est bien plus proche de ce que l’astrophysicien serbe Milutin Milankovitch, qui a donné son nom à la théorie climatique de Milankovitch, a proposé sur la manière dont les variations saisonnières et latitudinales du rayonnement solaire, qui frappe la terre de différentes manières et à différents moments, ont le plus grand impact sur l’évolution du climat de la terre.

    Les deux images ci-dessous (de Robert Simmon, NASA GSFC) permettent d’illustrer ce phénomène, la première montrant la Terre sur une orbite presque nulle, et la seconde sur une orbite de 0,07. Ce changement d’orbite est illustré par la forme ovale excentrique de la deuxième image, qui a été volontairement exagérée pour montrer le changement massif de distance qui se produit entre la terre et le soleil, selon qu’elle est au périhélie ou à l’aphélie.

    « Même l’excentricité maximale de l’orbite de la Terre – 0,07 – il serait impossible de la montrer à la résolution d’une page web », note le Hal Turner Radio Show. « Même ainsi, à l’excentricité actuelle de 0,017, la Terre est 5 millions de kilomètres plus proche du Soleil au périhélie qu’à l’aphélie. »

    Le plus grand facteur affectant le climat de la Terre est le SOLEIL

    Quant à l’obliquité de la Terre, ou son changement d’inclinaison axiale, les deux images ci-dessous (Robert Simmon, NASA GSFC) montrent le degré auquel la Terre peut se déplacer à la fois sur son axe et sur son orientation rotationnelle. Aux inclinaisons les plus élevées, les saisons de la terre deviennent beaucoup plus extrêmes, tandis qu’aux inclinaisons les plus faibles, elles deviennent beaucoup plus douces. Une situation similaire existe pour l’axe de rotation de la terre, qui, selon l’hémisphère pointé vers le soleil pendant le périhélie, peut avoir un impact important sur les extrêmes saisonniers entre les deux hémisphères.

    Sur la base de ces différentes variables, Milankovitch a pu élaborer un modèle mathématique complet capable de calculer les températures de surface de la Terre en remontant dans le temps, et la conclusion est simple : le climat de la Terre a toujours changé et est en constante évolution, sans que nous en soyons responsables en tant qu’êtres humains.

    Lorsque Milankovitch a proposé son modèle pour la première fois, il a été ignoré pendant près d’un demi-siècle. Puis, en 1976, une étude publiée dans la revue Science a confirmé que la théorie de Milankovitch était en fait exacte et qu’elle correspondait à diverses périodes de changement climatique survenues au cours de l’histoire.

    En 1982, six ans après la publication de cette étude, le Conseil national de la recherche de l’Académie nationale des sciences des États-Unis a adopté la théorie de Milankovitch comme vérité, déclarant que :

    … Les variations orbitales restent le mécanisme de changement climatique le plus étudié sur des échelles de temps de dizaines de milliers d’années et constituent de loin le cas le plus clair d’un effet direct d’un changement d’insolation sur la basse atmosphère de la Terre.

    Si nous devions résumer le tout en une phrase simple, ce serait celle-ci :

    Le plus grand facteur influençant le temps et le climat sur terre est le soleil, point final.

    Selon la position de la terre par rapport au soleil à un moment donné, les conditions climatiques vont varier de façon spectaculaire, et même créer des anomalies drastiques qui défient tout ce que les humains pensaient savoir sur le fonctionnement de la terre.

    Mais plutôt que d’accepter cette vérité, les « scientifiques » climatiques d’aujourd’hui, rejoints par des politiciens de gauche et des médias grand public complices, insistent sur le fait que de ne pas utiliser de sacs réutilisables au supermarché et de ne pas avoir de véhicule électrique détruit la planète si rapidement que nous devons absolument mettre en place des taxes climatiques mondiales comme solution.

    « Le débat sur le changement climatique ne porte pas sur la science. C’est un effort de l’élite pour imposer des contrôles politiques et économiques à la population », a écrit un commentateur du Hal Turner Radio Show.

    « Et c’est une autre façon de diviser la population contre elle-même, avec certains qui croient au réchauffement climatique d’origine humaine et d’autres qui n’y croient pas, c’est-à-dire diviser pour régner. »

    https://www.apar.tv/societe/la-nasa…
    Source : quebecnouvelles.com (Article publié le 30 Aout 2019)

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    • Les illustrations et explications présentes ici sont simplifiées et ne tiennent pas compte d’un paramètre essentiel, qui est pris en compte dans la démonstration complète de Milanković. Ce paramètre concerne le mouvement de la Terre et du système solaire. En réalité, la Terre et le système solaire ne tournent pas strictement autour du Soleil comme le suggèrent les représentations en 2D ou même en 3D étudiées à l’école ou dans les musées. En réalité, le Soleil entraîne littéralement tout le système derrière lui, ce qui crée les phénomènes d’excentricité et d’obliquité. À certains moments temporels de ces paramètres, la Terre se trouve géographiquement plus dans la traînée solaire, ce qui entraîne une plus grande irradiation solaire et toutes les modifications que la Terre subit (comme la influence de la magnétosphère, l’ionisation" de la couche d’ozone, les altérations des courants d’air et des masses de pression à l’échelle planétaire) et donc des déplacements/mix de régions météorologiques.

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  • Vous êtes complètement hors de propos, le dérèglement climatique et son lien avec les émissions de Gaz à effet de Serre d’origine humaine a été prouvé à de très nombreuses reprises. Lisez les rapports du GIEC !

    Axel

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    • Salut Axel,

      Peut-être as-tu raison, dans ce cas, dis moi où je me trompe dans mon raisonnement.

      Merci,
      do
      http://mai68.org/spip2

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      • Alex a raison, et toi aussi ;
        La question est que l’activité humaine ne fait qu’accelerer un effet "naturel". C’est comme si tu roulais sur une route plan plan, et qu’a un moment donné, tu acceleres comme un dingue, pied au plancher… C’est ce que fait l’homme depuis l’ère industrielle…
        Le deuxieme effet est que cette acceleration est rapide, donc on va avoir des bouleversements qui vont nous surprendre.
        Est ce que cela a déjà existé dans le temps ? OUI , non pas dû à l’activité humaine, mais dû a des phénomènes extraordinaires, comme une activité volcanique intense, ou des météorites qui sont tombés sur terre et ont changé la dynamique climatique.
        Le soucis que l’on a , c’est que ces changements , dit "rapides", sont lents a notre échelle. l’impact réel va avoir lieu pour la prochaine génération… mais notre génération a une responsabilité de commencer à anticiper cela.
        Bonne année a tous
        JF

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        • Salut Jean-François,

          Tu dis : « La question est que l’activité humaine ne fait qu’accelerer un effet "naturel". »

          Mais non, ce que tu dis, est totalement contredit par le paragraphe suivant de l’article :

          « Certes, me direz-vous, mais tout de même, si on examine attentivement le dernier schéma que tu donnes, on voit bien que les taux de CO2 et de méthane sont énormément plus élevé lors du réchauffement climatique actuel que lors des précédents. Oui, mais justement, si c’était ces taux qui causent le réchauffement climatique actuel, celui-ci devrait être beaucoup plus élevé que les précédents. Ce qui n’est pas le cas, pire, il n’a même pas encore atteint le stade des précédents réchauffements climatiques. On peut donc considérer que, même si l’activité humaine a fait énormément augmenter les taux de CO2 et de méthane dans l’air, ce n’est pas ça qui cause l’actuel réchauffement climatique. »

          Il faut lire aussi le commentaire de Bernard Cornut ci-dessous.

          Et celui de OCF ici :

          http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

          Bien à toi,
          do
          http://mai68.org

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    • Il faut lire aussi Dr François Gervais ex membre du GIEC, Dir. Recherches du CNRS, prof. Univ. notamment L’urgence climatique est un leurre. il note que dans chaque hémisphère les augmentations de températures océaniques saisonnières précèdent les hausses de taux de CO2, le CO2 étant moins soluble si les eaux s’échauffent. Donc influence prédominante des cycles solaires, de deux périodes (de retour) principales. Il explique aussi que pour le résumé (des gros rapports du GIEC) à l’intention des décideurs, il est demandé un consensus, d’où l’exclusion des critiques déviantes… Hélas les dirigeants élus ont rarement une culture scientifique suffisante pour s’intéresser aux gros rapports.

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    • Le GIEC est en fait une organisation para gouvernementale pseudoscientifique Dont l’objectif est le contrôle des populations .
      l’arnaque CO2 débute avecAl Gore et Même Margareth Thatcher l’a reconnu dans ses Mémoires.

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  • Excellent ! Vraiment. Je viens de le reprendre dans L’ESPOIR :

    https://espoir2013.blogspot.com/202…

    Amitié,
    Jean-Paul Cruse

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  • Vive le terreaurisme !

    La planète, elle, s’en sortira. Tu ne sauveras pas la planète, elle ignore ton existence…

    11 sept. 2022 - C’est notre prétention qui nous mène vers le chaos. Alors si tu es inquiet pour la planète, restes à ta place de petit humain. La planète, elle, s’en sortira.
    Pour autant, si la création nous a donner notre place, nous avons peut être un rôle à jouer. J’ignore quel est cette mission mais peut être que, je dis bien peut être, qu’il s’agit d’accompagner cette nature ou plutôt de la protéger de ses agresseurs. Réflexion toujours en cours…

    Vidéo 10’54’’ : https://www.youtube.com/watch?v=Jze…

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  • J’ai eu la chance de faire mes études secondaires, à une époque où les programmes scolaires scientifiques étaient conséquents (les sciences étaient mon option scolaire).

    Constatant l’« évidence » d’une évolution climatique, j’ai longtemps adhéré à la thèse du réchauffement climatique du aux activités humaines. Puis, je me suis remémoré mes cours d’alors, où ce qui est expliqué ci-dessus concernant les mouvements orbitaux de la terre autour du soleil, m’a été enseigné.
    Je me suis rappelé qu’évidence et sciences ne font pas bon ménage.
    Il était évident pour nos ancêtres que la terre tournait autour du soleil, puisque cela se voyait à l’oeil nu. Et pourtant…

    Dans sa manipulation intellectuelle permise par ses moyens médiatiques, il n’est pas difficile au pouvoir d’associer ensemble, dans l’esprit des peuples, deux phénomènes qui n’ont pas de rapport direct : la pollution (et des problèmes météorologiques ?) avec l’évolution climatique. Pour tout quidam il est « évident » qu’il y a une évolution du climat. Il est dès lors aisé d’associer, dans l’esprit de tout un chacun, cette évolution climatique à des activités humaines, sachant que l’esprit scientifique est peu répandu, et que le pouvoir, avec réussite, a conduit les citoyens à se tourner vers l’émotionnel en délaissant tout approche rationnelle.
    La méconnaissance entretenue et voulue des phénomènes physiques par le grand public, est un élément clé de la propagande, en générale, et climatique dans le cas présent.

    L’absence de cet esprit scientifique amènent les gens à considérer leur environnement comme immuable et statique. Il ne leur est pas permis d’envisager les choses de manière dynamique et à une autre échelle de temps, puisque l’être Humain, ayant tendance à concevoir son existence à sa seule dimension, ne peut pas comprendre qu’il sera forcement à un moment donné de l’histoire confronté à et témoin d’un ou plusieurs changements notables dans son espace vital.

    Je souris quand une personne dont un objet vient de tomber en panne me dit :« mais, ce n’est pas possible puisqu’il fonctionnait il y a encore une seconde ».
    Cette réflexion n’est possible qu’en considérant cet objet comme statique, figé dans le temps. Or l’objet, comme toute chose, évolue, selon sa dynamique pour un jour ne plus fonctionner. Quelque soit la perception de la personne, cette panne serait de tout manière survenue, le hasard voulant que la personne se trouvait à cet endroit, à ce moment là.
    Nous somme « par hasard » là, à cette époque de l’évolution astronomique de nôtre planète et du système solaire.

    La difficulté pour nos compatriotes d’ accepter cette évolution climatique comme un phénomène naturel et non humain procède du même raisonnement :« pourquoi cela arriverait-il, puisque cela n’est jamais arrivé ».
    Le changement climatique étant la panne de l’objet dans mon exemple qui vaut ce qu’il vaut.

    Quand au GIEC, comme beaucoup d’organes d’« expertise » aujourd’hui, il est inféodé au pouvoir en place et à sa pensée unique. Tout comme sur d’autres sujets et à l’égard d’autres centres d’« expertise », la parole du GIEC ne peut être contestée puisqu’elle est la vérité éternelle.

    Là aussi, si dans leur ensemble, on donnait aux personnes un minimum d’esprit scientifique, ces dernières comprendraient qu’il n’y a pas de vérité, mais des hypothèses qui se vérifient ou non au court du temps. La « vérité » à un moment donné n’est que l’hypothèse qui semble la plus vraisemblable à ce moment là. Ceci n’en fait en rien une certitude, d’autant que les autres hypothèses sont tout aussi valables, sinon qu’elles apparaissent moins plausibles à nôtre bon sens. Encore une fois, l’évidence est l’ennemi de la science.

    En supprimant de la réflexion le doute permanent qui construit toute pensée scientifique, le pouvoir a fait de la science une religion, alors qu’au départ la volonté de cette dernière est tout autre. En parlant de religion, je ne parle pas de la foi, mais d’un mode de gouvernance.

    Je ne m’en prend bien sur à et ne me moque de personne dans cet article. Il n’y a aucune condescendance de ma part.
    Je m’en prend à un enseignement orienté qui prive bon nombre d’entre nous des outils nécessaires à une analyse objective des faits.
    Je m’en prend à un système qui, en jouant sur l’ignorance entretenue des gens, tente de culpabiliser ces derniers pour leur faire accepter ce qu’ils n’accepteraient jamais en temps normal.
    Oui, le dogme climatique, comme autrefois le règne des évêques en Occident, est fait pour que chacun de nous accepte malgré lui l’idée que la misère est nôtre destinée à nous les gueux.

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  • Le GIEC est né lors d’un G7, c’est une création de Thatcher et Reagan, soucieux d’offrir une occupation inoffensive, à leur petite bourgeoisie respective, tentée par le gauchisme.
    

Ca n’est pas la première fois que la NED (National Endowment for Democracy), jusque là, sous structure de la CIA, initiait une occupation de ce genre, le fait nouveau, c’est que cet organisme venait d’être « privatisé » par Reagan, que ses financements explosaient, et devenaient majoritairement privés.
    Aujourd’hui les principaux contributeurs sont les GAFAM.
    Voilà pour l’origine de cette expérience de Millgram planétaire.

    Voilà l’avis des « gauchistes » de la CDD (Caisse des dépots et consignations)
    https://www.novethic.fr/actualite/e…

    Au delà de cette origine, qui devrait déciller tout le monde, cette immense opération de manipulation de masse, n’a pu réussir que grâce à la domestication et l’asservissement total, de la Science à la Technologie.

    La Science, qui est financée par les surplus disponibles de l’économie, n’a jamais brillé par son indépendance philosophique et morale.
    
Mais la privatisation des Etats a fait sauter toutes ses limites de servilité.

    La météo, c’est ce qu’on constate, le « climat » , c’est ce qu’on imagine.

    N’importe qui, avec suffisamment de mémoire et de bonne foi, peut constater une tendance au réchauffement météo, c’est sensible sur un durée de vie humaine, même si le bruit perturbe la lisibilité du signal.
    
Le problème n’est pas d’accepter ou de nier des faits, mais juste d’accepter ou non, une idéologie eschatologique, qui place une interprétation statistique, au centre de notre avenir, et prétend établir une nouvelle transcendance, justifiée par des prévisions.


    Les Climato-sceptiques , ne sont que les compagnons de jeu des Climato-béats.


    Un « sceptique, c’est quelqu’un qui doute d’une chose, mais qui accepte d’en discuter.

    Un Hérétique, c’est quelqu’un qui admet presque tout d’un dogme, mais qui, critique son l’interprétation dominante.

    La vraie question est de participer ou non, au jeu de fausses consciences opposées qu’on nous propose.

    

Les terreurs structurantes sont des OINI (objets idéologiques non identifiés).

    Le Crime Economique Organisé, qui pilote les Etats privatisés, ne peut dissimuler ses exactions, qu’au prix de la fabrication, d’un état de guerre permanent.
    
Avec la fin des idéologies, l’administration des choses à remplacé le gouvernement des hommes.

    Nous ne sommes plus gouvernés, nous sommes gérés, en fonction des besoins de l’Economie.

    Qu’il s’agisse de « terrorisme », de « crise », de « Pandémie », ou de « Climat », la technique est exactement la même, nos pseudo-gouvernements, nous « protègent », à travers des états de guerre successifs, permettant l’Open Bar de l’Economie sur le budget actuel et futur, de l’Etat, et la destruction méthodique des nos « libertés formelles ».

    Nous devons refuser de rentrer dans ces jeux successifs.

    
Quant aux findumondistres, histrions bénévoles ou professionnels du désastre, on ne peu que constater, leur immense appétit de pouvoir, malgré leur incompétence à peu près totale.
Toutes les « solutions techniques » proposées, sont dérisoires ou contre productives.
Et toutes n’ont qu’un but évident, créer de nouvelles dépendances économiques.
L’Ecologisme d’Etat, caricature bureaucratique de l’écologie, est bien la musique de fond du Libéralisme éponyme.

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