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Coronavirus - Voici le contrat confidentiel entre Pfizer et l’UE (vidéo, PDF)

mardi 22 novembre 2022, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 22 novembre 2022).

Note : La vidéo est très désagréable à cause d’un écho dans la voix. Je la livre donc sans l’avoir écoutée. Mais n’oubliez pas que dans l’article, il y a le PDF du contrat pfizer :


https://crowdbunker.com/v/4iEvIqWVd9E

Révélations sur le contrat de Pfizer avec la Commission Européenne

AGORA TVNEWS - 28 octobre 2022

Cliquer ici pour télécharger la vidéo

Rediffusion de l’émission du 25 Octobre 2022 sur les chaines TV ADP, Agora TV News, Citizen-light et Infoscopie.

Avec Raphi, Chloé, Francois Raoul, Roger Mir et Christophe.

Le contenu des contrats Pfizer a été révélé par des lanceurs d’alerte qui prennent de gros risques pour l’humanité !

À ce lien, on peut télécharger les contrats en anglais et en français :

https://agoratv.ch/le-contrat-confi…

Sauvegarde de l’article de ce lien :

http://mai68.org/spip2/IMG/htm/disp…

Ou ici pour avoir droit aux clics droit et gauche :

http://mai68.org/spip2/IMG/htm/disp…

Voici des sauvegardes du contrat secret :

PDF du Contrat Pfizer-UE traduit en français :

http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/pfiz…

PDF du Contrat Pfizer-UE originel en anglais :

http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/1618…

https://twitter.com/MicheleRivasi/s…

Michèle Rivasi 🌍 @MicheleRivasi - 15 novembre 2022 5:42 PM

Les eurodéputés enfin autorisés à consulter les documents confidentiels non-biffés des contrats d’achat anticipés des vaccins Covid. Une première !

Certes, mais en salle de lecture sécurisée : pas de téléphone, pas de photocopies, pas d’avis extérieur autorisé. Ma réaction👇

Lien du contrat caviardé à 80% :

https://vk.com/away.php?to=http%3A%…

Covid-19 : Pfizer reste discret sur les contrats des vaccins, les eurodéputés insistent

https://www.euractiv.fr/section/san…

12 octobre 2022

Clara Bauer-Babef

Tous les groupes politiques au Parlement européens exigent que les contrats d’achat des vaccins Pfizer soient connus de tous. [myboys.me/Shutterstock]

Face aux questions, nombreuses, des eurodéputés, Pfizer s’est montré évasif lundi (10 octobre) concernant les contrats d’achat de vaccins et les textos échangés entre le laboratoire et Ursula von der Leyen. De quoi faire monter la tension d’un cran.

La commission spéciale du Parlement européen sur la Covid, aussi appelée commission COVI, a auditionné lundi plusieurs laboratoires pharmaceutiques, dont Pfizer, sur leur rôle dans la gestion de la pandémie.

Première déception pour les eurodéputés : le PDG de Pfizer Albert Bourla, qui devait initialement être là pour répondre à leurs questions, ne s’est pas présenté. Il a été remplacé par Janine Small, présidente des marchés internationaux développés chez Pfizer.

Face aux protestations des députés présents dans la salle, Mme Small s’est dite « désolée » de l’absence de M. Bourla, et a assuré qu’elle était la « mieux placée » pour répondre à leurs interrogations.

« Je pense qu’il n’est volontairement pas venu, car il n’avait pas envie d’affronter les polémiques », a déclaré l’eurodéputée française, et membre de COVI, Véronique Trillet-Lenoir à EURACTIV France.

Les polémiques, justement, Mme Small a dû y faire face, à commencer par l’opacité des contrats d’achat des vaccins Pfizer-BioNTech contre la Covid.

Tous les groupes politiques au Parlement européen exigent que les contrats soient connus de tous.

Pfizer fait preuve « d’une grande transparence », tous les contrats sont « disponibles pour les eurodéputés », a assuré Mme Small.

Disponibles oui, mais certaines parties sont caviardées. Autrement dit, illisibles.

« Nous n’avons jamais réussi à connaître les sites de production, jamais réussi à avoir des calendriers de livraison », a précisé Mme Trillet-Lenoir à EURACTIV.

Mme Small a indiqué que les informations étaient « confidentielles » pour des raisons de « concurrence ».

« Vous devez le prendre en compte », a-t-elle déclaré aux eurodéputés.

« Si les sites de production sont basés en Inde, cela pose des questions quant au droit du travail, à la sécurité d’acheminement, à la qualité des produits, ou encore le respect de l’environnement », a souligné Mme Trillet-Lenoir. L’affaire des SMS

Plusieurs eurodéputés comme Sara Cerdas (S&D) ou Michèle Rivasi (ALD/Les Verts), ont ensuite demandé des explications sur l’affaire des SMS échangés entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et Albert Bourla.

L’affaire concerne des SMS envoyés alors que l’UE était en train de conclure les contrats pour acheter les vaccins contre la Covid-19. Au même moment, éclatait un conflit avec AstraZeneca, le rival de Pfizer.

Lorsqu’un journaliste allemand a demandé à voir les SMS, la Commission a répondu qu’elle ne les avait pas. Depuis, les eurodéputés exigent de connaître le contenu de ces messages, qui n’ont toujours pas pu être retrouvés.

Mme Small a assuré aux députés qu’aucun contrat n’avait été négocié par SMS.

« Chacun comprend que pendant la pandémie nous avons tous télétravaillé », a-t-elle dit, ajoutant que le PDG de Pfizer avait donné son numéro à de multiples reprises durant cette période pour « échanger à travers le monde ».

En juillet dernier, la médiatrice européenne Emily O’Reilly a sévèrement critiqué la Commission européenne et a qualifié de « mauvaise gestion administrative » l’affaire des SMS.

« Il n’est pas possible de mener ces négociations par SMS », tant ils sont « complexes », s’est défendue Mme Small, avant de conclure : « le contrat a suivi la procédure habituelle ».

Mais selon Mme Trillet-Lenoir, même si Pfizer a sauvé des millions de vie, le laboratoire doit répondre à des questions légitimes.

C’est pourquoi la présidente de la commission COVI a décidé de renvoyer une invitation à Albert Bourla. Viendra-t-il ? Affaire à suivre.

Le manque de volonté de la Commission de retrouver les textos avec Pfizer est un signal d’alarme, estime la Médiatrice européenne

https://www.euractiv.fr/section/san…

14 juillet 2022

Amalie Holmgaard Mersh | EURACTIV.com | translated by Anne-Sophie Gayet

Emily O’Reilly a confirmé ses conclusions de mauvaise administration et a recommandé aux institutions européennes de conserver les messages professionnels suite à cette affaire. [European Parliament]

La Médiatrice européenne a sévèrement critiqué l’exécutif européen pour sa réponse concernant les échanges de textos entre la Présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, et le PDG du géant pharmaceutique Pfizer, Albert Bourla, et a confirmé son constat de mauvaise administration dans cette affaire.

Dans une déclaration publiée jeudi (14 juillet 2022), la Médiatrice européenne Emily O’Reilly a déclaré que la réponse de la Commission européenne à ses précédentes conclusions n’a pas permis de savoir si les textos en question existaient bel et bien et qu’elle « n’a pas non plus clarifié la manière dont la Commission répondrait à une même demande concernant d’autres textos  ».

La déclaration de Mme O’Reilly porte sur la réponse de la Commission à une demande d’accès à des échanges de textos entre M. Bourla et Mme von der Leyen.

«  Le traitement de cette demande d’accès à des documents laisse la regrettable impression d’une institution européenne qui n’est pas franche sur des questions d’intérêt public majeures  », a ajouté la Médiatrice.

Mme O’Reilly a donc confirmé ses conclusions de mauvaise administration et a recommandé aux institutions européennes de conserver les messages professionnels suite à cette affaire.

Les textos en question ont été envoyés alors que l’UE était en train de conclure les contrats pour le vaccin contre la Covid-19, ainsi qu’au cours d’un conflit avec AstraZeneca, le rival de Pfizer, mais la Commission a affirmé qu’elle ne les avait pas «  identifiés  » et consignés lorsqu’un journaliste lui a posé la question.

Le New York Times avait publié un premier article sur ces messages en avril 2021. Cela a donné lieu à une plainte auprès de Mme O’Reilly, qui a rendu son verdict le 28 janvier 2022, soulignant que la Commission européenne devait «  effectuer une recherche plus approfondie [pour retrouver] les messages en question  ».

Le 29 juin dernier, la Commission a répondu que la recherche des messages n’avait «  donné aucun résultat  », pour reprendre les termes employés par la commissaire européenne à la Transparence, Věra Jourová.

L’exécutif européen a indiqué qu’il se considérait également en conformité avec la législation sur l’accès aux documents, laissant ainsi entendre qu’il n’était pas obligé de conserver une trace des textos.

Selon Mme O’Reilly, la réponse de la Commission signée par Mme Jourová «  n’indiquait pas si elle avait recherché directement et correctement les textos et, si cela n’a pas été le cas, pourquoi  ».

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