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Recentrage eurasiatique du monde : nouvelle analyse magistrale de Pierre De Gaulle !

jeudi 19 janvier 2023, par Luniterre

"Mon grand-père a toujours défendu un rapprochement avec la Russie !" - Pierre de Gaulle

Cette intervention de Pierre De Gaulle commence par une remarquable revue générale de la situation économique et géostratégique.

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Pierre de Gaulle à Sud-Radio : "Ils ont détruit la France de mon grand-père !"

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+ de 22 000 vues sur Agoravox ! >>>

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Discours de Pierre de Gaulle, petit-fils du Général De Gaulle à l’occasion de la Fête Nationale de la Fédération de Russie - TEXTE INTÉGRAL - VIDÉO -

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Ce discours du 14 Juin, à l’Ambassade, a fait un peu plus de 8000 vues sur Agoravox (Mais a connu bien d’autres republications) :

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EN REPONSE AUX DERNIERS POSTS EN COMMENTAIRES >>>

On pourra donc lui reprocher [à Asselineau], comme tu le fais, de ne pas avoir l’étoffe d’un Général De Gaulle, d’un Karl Marx, d’un Staline, d’un dictateur,…

À suivre…

http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

Malheureusement, je vois que tu te méprends encore sur mon « jugement » à l’égard d’Asselineau ! Je ne lui reproche aucunement un « manque d’étoffe », et surtout pas celle d’un « dictateur manqué », mais simplement de voir le monde à travers le seul prisme du « frexit préalable » à toute avancée politique, ce qui devient en pratique un blocage, comme on le constate depuis des années. C’est également le blocage qui l’amène à « adapter » ses analyses et surtout, ses « démonstrations » à faire de ce « préalable » une pseudo-« évidence » qui l’empêche de voir d’autres approches plus réalistes et plus concrètes, à partir des mêmes éléments d’analyse, comme on le voit typiquement avec le « différentiel » de valeur réelle entre les différents €uros « nationaux ». Différentiel qui permet précisément de comprendre d’autres approches, plus pragmatiques, dont celles de Pierre De Gaulle et les miennes, qui sont proches mais pas forcément tout à fait identiques.

Dans un front de Résistance il peut, et même, il doit, y avoir plusieurs approches possibles, sinon ce n’est plus un « front »… Par contre il ne peut pas y avoir de point de blocage tel qu’un « frexit préalable », surtout s’il décrédibilise le front auprès de la majorité de la population, comme c’est le cas actuellement, et assez logiquement, quant au fond, car il ne peut pas constituer l’essentiel de la transition nécessaire.

Luniterre

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Le problème d’Asselineau ; c’est qu’il n’est QUE gaulliste. Il ne va pas plus loin.

http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

Personnellement, je pense au contraire que s’il était réellement gaulliste il serait donc nettement moins dogmatique à propos de cette fixette sur le frexit. Comme nous le rappelle Pierre De Gaulle, son grand-père était avant tout un pragmatique faisant avec la réalité des choses, même si en conservant ses buts fondamentaux. L’important est le but à atteindre, et non le chemin pour y arriver, frexit ou non, à court ou à long terme.

Pour l’instant, reprendre des relations politiques et économiques amicales avec la Russie, ce serait déjà une rupture majeure avec l’évolution de la situation française depuis pas mal d’années déjà, et très nettement depuis 2014, en tout cas. Cela pourrait évidemment commencer par la cessation complète d’envoi d’armes et de munitions à l’Ukraine.

Ce qui serait déjà vu par beaucoup comme une quasi-"révolution"…!

Un bon début de changement de politique, en tout cas !

Luniterre

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13 Messages de forum

  • Dommage, il n’a pas l’air de comprendre que l’euro appauvris et asservis les pays de ’lUE. il faudrait qu’il se renseigne sur ce qu’est la stats Target 2 pour s’en rendre compte.

    https://www.youtube.com/watch?v=1O2…

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    • Etant donnés le métier, la formation et l’expérience de Pierre De Gaulle, il est donc bien évident qu’il est tout à fait conscient des réalités monétaires de la zone €uro !

      Simplement, il propose une stratégie différente de celle de M. Asselineau, et qui me paraît bien plus sensée et bien plus efficace.

      Elle tient précisément compte de cette réalité constatée par Asselineau et théorisée par Marx en son temps, selon laquelle la valeur de la monnaie en circulation reflète la valeur des marchandises, biens et services produits par l’économie, ce qui est valable, au premier degré, à l’échelle d’une nation et explique donc le différentiel de valeur réelle entre les différents €uros « nationaux ».

      Commencer par restaurer l’indépendance politique du pays commence donc par restaurer son indépendance économique et donc, la valorisation de la monnaie qui y circule, quel qu’en soit le signe, €uro ou Franc.

      A noter au passage que l’idée d’une « Banque de France Libre » gérant en « parallèle » une vie économique en « Francs Libres » sur la base départ 1 €uro = 1 Franc Libre peut donc être une arme complémentaire pour court-circuiter le système €uro, dans une phase de transition préalable à une « séparation » venant à son terme approprié, précisément sans catastrophe économique.

      Quoi qu’il en soit, dans le contexte actuel, déjà très différent de celui de la campagne électorale 2017 de M. Asselineau, ( Crise du « covid » + guerre en Ukraine ! ), le choix d’une politique internationale de rapprochement diplomatique et économique avec la Russie est l’élément premier d’un retour à l’indépendance nationale et qui permettra la réalisation des autres urgences, dont l’indépendance économique, déjà sur la base de nouveaux échanges commerciaux internationaux, ce qui changera la situation monétaire de la France, également, et même, en premier lieu.

      La reprise de contrôle de la circulation monétaire et des valeurs économiques et financières sur notre territoire est la première étape.

      La logique de l’histoire indique que cela mènera à l’indépendance de la France vis-à-vis de l’UE, mais cela viendra donc en son temps et sur des bases solidement établies.

      Alors que le « Frexit préalable » comme priorité avant tout autre mesure de restauration de l’indépendance nationale est bien effectivement un pari perdant, sauf crash imminent de l’UE, selon M. Asselineau, mais ce crash n’est pas plus sur le point de se produire qu’il ne l’était en 2017… ! Notamment, le déséquilibre avec l’Allemagne s’est en grande partie résorbé, vu la dégradation rapide de son économie nationale, ces dernières années.

      Donc il n’est toujours pas plus utile aujourd’hui qu’hier de mettre la charrue « frexiteuse », UPR ou autre, avant les bœufs indépendantistes !

      Luniterre

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      • Bonjour Luniterre,

        Il ne faut pas oublier que la charrue « frexiteuse » a trois socles :

        OTAN - EU - BCE

        Vu de ma petite fenêtre le plus gros problème, il est militaire et policier.

        C’est-à-dire il s’agit de sortir des griffes de l’OTAN et de la Commission Européenne, donc de l’UE, qui finance et arme par exemple l’Ukraine au point qu’en 2014 elle a été jusqu’à financer "la construction d’un mur entre la Russie et l’Ukraine" et surtout, elle contrôle et finance une police digne de la STASI.

        Pour résumer, tu ne pourras rien entreprendre notamment avec la Russie si tu ne sors pas en premier de l’OTAN et de l’UE !

        Ensuite, d’après le camarade Vincent Brousseau, qui avait fait partie de la BCE et ensuite a adhéré à l’UPR, la sortie de la zone euro ne sera pas un problème pour celui qui sortira le premier et cela risque d’être l’Allemagne.

        J’aimerais me tromper, mais je pense que la France sera la dernière à tirer la charrue « frexiteuse ». Après avoir été la vache à lait, nous allons être les dindons de la farce.

        Bien à toi

        A_suivre

        PNG - 510.1 ko

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        • Malheureusement, je te concède un constat : effectivement la fenêtre à travers laquelle tu regardes le monde est réellement très petite et focalisée sur la formule-gadget « frexit préalable » sans évidemment en étudier sérieusement les conditions concrètes et les conséquences immédiates.

          Cela m’ennuie assez, mais pour t’aider à élargir ton champ de vision il me semble utile de souligner et même de rapprocher entre eux les éléments essentiels de mon précédent post en réponse :

          Il faut donc tenir « compte de cette réalité constatée par Asselineau et théorisée par Marx en son temps, selon laquelle la valeur de la monnaie en circulation reflète la valeur des marchandises, biens et services produits par l’économie, ce qui est valable, au premier degré, à l’échelle d’une nation et explique donc le différentiel de valeur réelle entre les différents €uros « nationaux ».

          Commencer par restaurer l’indépendance politique du pays commence donc par restaurer son indépendance économique et donc, la valorisation de la monnaie qui y circule, quel qu’en soit le signe, €uro ou Franc. »

          La première démarche réaliste et concrète dans ce sens étant que « le choix d’une politique internationale de rapprochement diplomatique et économique avec la Russie est l’élément premier d’un retour à l’indépendance nationale et qui permettra la réalisation des autres urgences, dont l’indépendance économique, déjà sur la base de nouveaux échanges commerciaux internationaux, ce qui changera la situation monétaire de la France, également, et même, en premier lieu. »

          Avant de livrer bataille, avant de se livrer à une charge que l’on veut stratégique, et qui doit l’être, en tout état de cause, sauf choix suicidaire, le B-A BA est de commencer par occuper une place suffisamment forte pour assurer ses arrières ! Sans quoi une offensive qui nous met « à découvert » à plus d’un titre nous expose évidemment davantage aux coups de l’ennemi que lui-même à notre charge puérilement « frexiteuse » !

          Chaque chose en son temps, donc !

          Luniterre

          Répondre à ce message

          • Bonjour Luniterre,

            La taille de ma modeste fenêtre me fait entrevoir exactement le même avenir radieux que tu décris :

            «  le choix d’une politique internationale de rapprochement diplomatique et économique avec la Russie est l’élément premier d’un retour à l’indépendance nationale et qui permettra la réalisation des autres urgences, dont l’indépendance économique, déjà sur la base de nouveaux échanges commerciaux internationaux, ce qui changera la situation monétaire de la France, également, et même, en premier lieu. »

            Ma seule objection, c’est que les militaires de l’Otan et la Stasi de la "Größe Commission Européenne" ne vont pas se laisser faire et vont s’appliquer à miner le terrain.

            Je n’ai pas la conviction que la situation actuelle soit frivole, enfantine ou futile, c’est malheureusement tout le contraire et cela va se faire dans le sang et les larmes.

            Je croise les doigts pour que nos Camarades Russes viennent encore nous délivrer et cette fois pour de bon de ce mondialisme immonde.

            Depuis 2007, le travail de l’UPR a été d’essayer de faire prendre conscience que les Peuples de l’UE étaient sous l’emprise psychologique de l’UE, de la BCE et de l’OTAN, c’est ce que l’on appelle le "syndrome de Stockholm".

            Il suffit de voir le comportement des Eurolâtres qui idéalisent et sympathisent avec l’OTAN, qui a dépassé de loin les plus grands criminels de l’histoire.

            Je ne dénigre pas le boulot que l’on fait, Asselineau, Brousseau et tous les anonymes de l’UPR, cela m’a permis de sortir de cette "gauche-bobo-écolo" dans laquelle je ne vois que des contradictions et aucun avenir.

            Bien à toi

            A_suivre

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            • Dans l’ensemble, Asselineau fait de bonnes analyses mais il s’arrête donc au milieu du gué, au lieu d’aller jusqu’au bout et d’en tirer toutes les conséquences.

              La raison en est probablement qu’il a fait du frexit son "cheval de bataille" sur le plan idéologique, au départ de sa démarche politique, et qu’il n’entend pas en changer en cours de route, par une sorte d’atavisme conservateur propre à tout groupe constitué sur un présupposé idéologique.

              Or, même s’il a lieu dans un avenir difficile à déterminer avec précision, le frexit n’est tout au plus qu’un moment assez bref dans une transition politique dont il n’est donc nullement l’alpha et l’oméga…

              L’essentiel étant la teneur économique et sociale de cette transition, et donc le programme qui la définit et permet de la réaliser concrètement.

              S’il n’y a pas d’"alpha ni d’oméga" dans ce processus, mais simplement un ensemble de réalités concomitantes, la plus basique, la clef, en quelque sorte, reste la maîtrise du crédit et des valeurs économiques circulant sur le territoire, et donc aussi des échanges internationaux, vu que l’on ne peut plus réellement vivre en autarcie, en France, au XXIe siècle.

              En somme, rétablir le caractère endogène original de notre économie y compris, et même, en premier lieu, par le choix libre et indépendant de nos partenaires internationaux et des accords d’échanges bilatéraux équitables que nous pouvons établir avec eux, c’est le début de la reconstruction et du retour au caractère endogène de notre économie, sur la base duquel pourra s’effectuer l’accès à une démocratie véritable.

              Le rétablissement des relations diplomatiques amicales et de la coopération et des échanges économiques avec la Russie n’est pas non plus un « gadget » remplaçant celui du frexit, ni même l’alpha et l’oméga de la transition, mais c’est bien le premier pas stratégique vers une restructuration complète et concrète de nos échanges internationaux selon le principe équitable des échanges bilatéraux, tel que défini par la Charte de la Havane, en 1948, après la 2e GM. ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Charte_de_La_Havane )

              Sur cette base d’une France forte car économiquement indépendante, c’est l’ensemble des relations intereuropéennes qui s’en trouvera modifié.

              Au sein de l’OTAN on voit actuellement que la présence de la Turquie, par exemple, est un obstacle de fait à l’adhésion de la Finlande et de la Suède. De fait, une sortie éventuelle de la Turquie hors de l’OTAN signifierait une accélération certainement rapide de l’adhésion de la Finlande et de la Suède, et donc une configuration géostratégique défavorable à la Russie.

              Il n’y a donc pas de situation figée, ni qui se règle à coups de formules, genre « sortie préalable », de ceci ou de cela.

              Il faut donc élargir son champ de vision, et surtout, se focaliser davantage sur les réalités concrètes essentielles que sur tel ou tel gadget idéologique, généralement stérile et dogmatique, car le plus souvent hors du contexte concret.

              Luniterre

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              • « Dans l’ensemble, Asselineau fait de bonnes analyses, mais il s’arrête donc au milieu du gué, au lieu d’aller jusqu’au bout et d’en tirer toutes les conséquences. »

                Tu as raison Camarade, en effet, il a créé, en 2007 un mouvement politique, l’UPR pour essayer de faire prendre conscience au Peuple, qu’il était sous l’emprise psychologique de l’UE, de la BCE, de l’OTAN, bref des Ricains, tout cela dans le but, uniquement, de lui redonner le pouvoir !

                Ensuite, au Peuple, aux gauches, aux droites, aux centres qui le composent de se démerder…

                On pourra donc lui reprocher, comme tu le fais, de ne pas avoir l’étoffe d’un Général De Gaulle, d’un Karl Marx, d’un Staline, d’un dictateur,…

                À suivre…

                Répondre à ce message

                • Le problème d’Asselineau ; c’est qu’il n’est QUE gaulliste. Il ne va pas plus loin.

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                  • Personnellement, je pense au contraire que s’il était réellement gaulliste il serait donc nettement moins dogmatique à propos de cette fixette sur le frexit. Comme nous le rappelle Pierre De Gaulle, son grand-père était avant tout un pragmatique faisant avec la réalité des choses, même si en conservant ses buts fondamentaux. L’important est le but à atteindre, et non le chemin pour y arriver, frexit ou non, à court ou à long terme.

                    Pour l’instant, reprendre des relations politiques et économiques amicales avec la Russie, ce serait déjà une rupture majeure avec l’évolution de la situation française depuis pas mal d’années déjà, et très nettement depuis 2014, en tout cas. Cela pourrait évidemment commencer par la cessation complète d’envoi d’armes et de munitions à l’Ukraine.

                    Ce qui serait déjà vu par beaucoup comme une quasi-"révolution"…!

                    Un bon début de changement de politique, en tout cas !

                    Luniterre

                    Répondre à ce message

                  • Le problème crucial reste quand même d’arrêter la guerre de l’OTAN et de l’UE contre la Russie, par conséquent le moyen le moins sanglant pour la France est de sortir de l’OTAN et de l’UE, et à ce jour je te rappelle qu’un seul député de l’assemblée a osé voter contre ce conflit, donc il reste du boulot…

                    http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

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                    • Quand il y aura un ou deux millions de personnes manifestant pour faire la paix avec la Russie, les choses commenceront vraiment à changer…

                      D’ici là, si les 30 000 militants de l’UPR se pointaient dans les manifs retraite avec un tract sur le thème : « pour une retraite durable dans un monde en paix ! », cela pourrait être un bon début.

                      En effet, obtenir une bonne retraite c’est important, surtout pour les générations à venir, mais si c’est dans un monde ravagé par la guerre, cela limite tout de même sérieusement la perspective.

                      Bref, il y a bien des possibilités de développer ce thème, en lien avec les urgences vitales actuelles.

                      Si chaque militant UPR ne distribue ne serait-ce que 300 tracts, cela ferait déjà 300 x 30 000 = 9 000 000 de personnes sollicitées sur ce sujet essentiel…

                      Un vrai bon début !

                      Luniterre

                      PS >>> de plus, si le tract est vraiment bien tourné, dans un esprit unitaire, non sectaire, il devrait motiver d’autres militants et sympathisants de la cause, non encartés à l’UPR, et la barre des 10 millions de tracts distribués devrait être allègrement franchie !

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                      Répondre à ce message

                • Malheureusement, je vois que tu te méprends encore sur mon « jugement » à l’égard d’Asselineau ! Je ne lui reproche aucunement un « manque d’étoffe », et surtout pas celle d’un « dictateur manqué », mais simplement de voir le monde à travers le seul prisme du « frexit préalable » à toute avancée politique, ce qui devient en pratique un blocage, comme on le constate depuis des années. C’est également le blocage qui l’amène à « adapter » ses analyses et surtout, ses « démonstrations » à faire de ce « préalable » une pseudo-« évidence » qui l’empêche de voir d’autres approches plus réalistes et plus concrètes, à partir des mêmes éléments d’analyse, comme on le voit typiquement avec le « différentiel » de valeur réelle entre les différents €uros « nationaux ». Différentiel qui permet précisément de comprendre d’autres approches, plus pragmatiques, dont celles de Pierre De Gaulle et les miennes, qui sont proches mais pas forcément tout à fait identiques.

                  Dans un front de Résistance il peut, et même, il doit, y avoir plusieurs approches possibles, sinon ce n’est plus un « front »… Par contre il ne peut pas y avoir de point de blocage tel qu’un « frexit préalable », surtout s’il décrédibilise le front auprès de la majorité de la population, comme c’est le cas actuellement, et assez logiquement, quant au fond, car il ne peut pas constituer l’essentiel de la transition nécessaire.

                  Luniterre

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