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L’Allemagne avoue mener une guerre contre la Russie

jeudi 26 janvier 2023, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 26 janvier 2023).

Le ministre allemand des Affaires étrangères A. Baerbock a déclaré lors d’un débat à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) mardi

"Et donc j’ai déjà dit ces derniers jours - oui, nous devons faire plus pour défendre l’Ukraine. Oui, nous devons faire plus également sur les chars », a déclaré Baerbock.« Mais la partie la plus importante et la plus cruciale est que nous le fassions ensemble et que nous ne fassions pas le jeu du blâme en Europe, car nous menons une guerre contre la Russie et pas les uns contre les autres.

Version originale :

German Foreign Minister A. Baerbock said during a debate at the Parliamentary Assembly of the Council of Europe (PACE) on Tuesday

“And therefore I’ve said already in the last days – yes, we have to do more to defend Ukraine. Yes, we have to do more also on tanks,” Baerbock said “But the most important and the crucial part is that we do it together and that we do not do the blame game in Europe, because we are fighting a war against Russia and not against each other.”

11 Messages de forum

  • L’Allemagne avoue mener une guerre contre la Russie 27 janvier 2023 01:06, par Luniterre

    L’ensemble de l’Occident, coalisé derrière les USA, mène une guerre désormais de plus en plus avouée contre la Russie.

    Cette guerre n’est pas nouvelle, mais jusque là elle restait médiatiquement « dissimulée » au grand public.

    L’escalade décidée par l’Occident dans cette guerre est rendue inévitable par la « solution » banco-centraliste qu’il est obligé de mettre en œuvre pour survivre à sa propre crise.

    La Russie mène donc bien une guerre révolutionnaire anti-impérialiste et anti-banco-centraliste contre l’Occident, même si c’est sur une base nationale-bourgeoise.

    La formation d’un « troisième pôle » entre les USA et la Chine autour de la Russie indépendante, c’est la porte véritablement ouverte à la multipolarité, et d’autant plus que la Russie est autosuffisante, économiquement, même si son PIB est faible en rapport de son importance géographique.

    C’est ce « paradoxe » qui favorise son influence politique sur les « petites » nations, comme on le voit en Afrique. C’est bien ce développement d’une véritable multipolarité qui est insupportable pour l’Occident banco-centralisé.

    La coalition en cours de développement entre les bourgeoisies nationales résistantes autour de la Russie est actuellement non seulement la principale force de résistance organisée, mais carrément la seule, que cela nous plaise ou non.

    Vouloir actuellement la combattre au nom du prolétariat c’est carrément et délibérément faire le jeu de l’impérialisme et du banco-centralisme. Et donc, cela ne renforcera en rien le camp du prolétariat, bien au contraire.

    Les causes du déclin politique du prolétariat sont déjà anciennes et multiples, et face à l’urgence de la situation, il n’y a donc malheureusement pas de « remède » possible suffisamment rapide à ce mal.

    Le prolétariat doit rentrer dans la lutte avec ses revendications et sa spécificité de classe, mais certainement pas, au stade actuel, contre les bourgeoisies nationales déjà engagées dans la lutte.

    Comprendre et expliquer le sens général de la lutte et en quoi et comment le prolétariat peut y défendre ses intérêts, voilà la tâche urgente des vrais résistants prolétariens, des vrais révolutionnaires.

    C’est, malheureusement, ce que l’on ne voit nulle part exprimé par les forces politiques présentes en France, même autoproclamées « résistantes », « anticapitalistes », « antisystèmes » !

    Luniterre

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    • L’Allemagne avoue mener une guerre contre la Russie 27 janvier 2023 13:09, par Viriato

      "Le prolétariat doit rentrer dans la lutte avec ses revendications et sa spécificité de classe, mais certainement pas, au stade actuel, contre les bourgeoisies nationales déjà engagées dans la lutte."

      Et cela, se fait comment ?

      Ou par une lutte antiimpérialiste qui prépare aussi le renverssement des oligarques "nationaux" ou par un suivisme réformiste qui laisse libre cours à une conduction politique et militaire entre blocs.

      Une chose ce sont les bourgeoisies "nationales" (très influencés par l’impérialisme quand même dans ce bas monde) et une autre est l’oligarchie bureaucrate russe. Des capitalistes qui revent de dévenir acceptés par les autres bourgeoisies ou qui voudraient former un autre bloc impérialiste si possible. Ce sont aussi des capitulards en puissance s’ils voient que leurs intérêt sont en danger.

      Si l’intérêt des travailleurs du monde entier est une défaite de l’impérialisme US, il est encore plus de leur intérêt une révolution communiste. Et plus encore le profond rayonement qu’une telle révolution en Russie provoquérait.

      Si le soutient à un Kadahfi était le seul choix réel possible lors de l’agresion impérialiste de ce tout petit pays, car il n’y avait pas de classe ouvrière ni de parti marxiste en Libye, en Russie les choses sont complètement différentes.

      Il existe un énorme prolétariat, une traditions très ancré du "communisme" (entre parenthèses car il s’agissant d’une déformation bureaucratique mais quand même socialiste) et une conduction de la guerre qui trouve déjà une critique large au sein du peuple russe. Le texte de Ziouganov posté sur un autre post le prouve.

      Car la politique de la classe ouvrière est independante de celle des oligarques et capitalistes, toujours.

      Même quand il s’agit de contrer une agression impérialiste comme c’est le cas d’espèce

      Le texte de Ziougonov chef du PC russe est très critique et à la fois très dependant. Il se permet de déclarer "catastrophiques" les défaites "russes" (tsaristes en fait) de 1905 et de 1914-17. C’est-à-dire, il condamne les deux révolutions qui ont surgit suite à l’incurie et la mauvaise conduction de la guerre.

      Au contraire, Lénine et Trotski on profité de cette situation pour pousser à la révolution et tirer les leçons nécessaires de la défaite de 1906-7 pour réussir celle de 1917 et ansi changer le monde.

      La politique suiviste des mencheviques envers l’Entente Cordiale, le pacte Franco-Britannique-Russe ne pouvait que conduire à l’écrassement du peuple russe.

      Seule la politique révolutionaire de Lénine et Trotski, "l’énemi se trouve dans notre propre patrie" comme a dit K. Liebchneckt ont pu apporter la paix et 70 années de socialisme même déformé mais anti impérialiste et anti oligarque.

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      • L’Allemagne avoue mener une guerre contre la Russie 27 janvier 2023 15:56, par Albert

        @ Viriato,

        « "Le prolétariat doit rentrer dans la lutte avec ses revendications et sa spécificité de classe, mais certainement pas, au stade actuel, contre les bourgeoisies nationales déjà engagées dans la lutte."

        Et cela, se fait comment ? »

        Une alliance tactique avec la bourgeoisie nationale pour vaincre l’impérialisme US. ET : on règle les comptes après, seulement après, avec la bourgeoisie nationale.

        Sinon, sans un telle alliance momentanée, c’est la défaite assurée sur tous les plans : tout d’abord l’impérialisme US vaincra, et ensuite la révolution sera en pratique inenvisageable pour longtemps.

        Albert

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        • L’Allemagne avoue mener une guerre contre la Russie 27 janvier 2023 18:07, par Viriato

          " Une alliance tactique avec la bourgeoisie nationale pour vaincre l’impérialisme US. ET : on règle les comptes après, seulement après, avec la bourgeoisie nationale"

          Cela fait un siècle qu’une telle "tactique" va de défaite en défaite.

          Espagne en est le cas d’école. "Vaincre Franco d’abord et faire la révolution social après" disaient les staliniens. Le PC courait derrière cette illusion et assassinait ceux qui n’étaient pas d’accord les accusant de "cinquième colonne de Franco" et de trotskisme. Ainsi ils ont liquidé le POUM et les trotskistes mais ils ont fini par capituler devant Casado géneral "républicain".

          Donc, d’abord la République et après la révolution sociale.
          Comme ton mot d’ordre.
          Ca ne marche hélas pas car pour mobiliser le peuple il faut qu’il voit autre chose qu’une guerre "normal" pour conserver ce qui existe déjà. Par contre, quand ils voient qu’on leur file la terre et les usines plus un pouvoir démocratique, ils savent dé"fendre ça, du concret quoi.

          Les anars de base, pas les Montseny et autres Garcia Olivier qui faisaient les "ministres" d’un gouvernement bourgeois, disaient et faisaient "sans la révolution sociale, pas possible de vaincre Franco" mais ils restèrent prisoniers de leurs ministres et capitulèrent devant les stalino-républicains.

          La lutte contre l’impérialisme est indissolublement liée à la lutte contre la bourgeoisie et si un accord tactique (avec une longue cuillère) est nécessaire quand les bourgeois se battent vraiment, l’independance politique des travailleurs et donc l’objectif de transformer la guerre en une guerre contre l’ensemble de la bourgeoisie reste son objectif prioritaire.

          On marche séparés contre le même enemi, mais si la direction bourgeoise échoue ou capitule, on la met de côté, on les reverse, pour mobilsier toutes les forces du peuple.

          Quant "à la défaite assurée", cela a toujours été l’argument massue de ceux qui ne comprennent pas que la force politique du prolétairat se trouve dans ses succès, dans leurs révolutions, dans l’appel à d’autres prolétaires à la lutte contre l’impérialisme et leurs bourgeoisies.

          En fait, la "défaite assurée" arrive car la bourgeoisie craint plus son propre prolétariat que l’impérialisme avec lequel ils peuvent toujours s’arranger en une sorte de bourgeoisie compradore si l’impérialisme leur laisse la possibilité de partager l’exploitation de la classe ouvrière et du peuple.

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          • Salut Viriato,

            Je ne pense pas que la comparaison avec la révolution espagnole (point de vu anarchiste) ou guerre d’Espagne (point de vue de l’URSS) soit bonne.

            En effet, en Espagne le coup d’État de Franco est arrivé après les élections et a provoqué immédiatement une révolution. La révolution était déjà là quand il a fallu choisir quelle tactique était la bonne. Et, bien sûr, sans le maintien de la révolution, impossible de maintenir la mobilisation (motivation) contre Franco et ses soutiens étrangers.

            Tandis qu’en Russie, tout se passe après la disparition l’URSS, défaite cinglante de la révolution communiste en Russie.

            En Espagne, la révolution était là au présent.

            En Russie, la révolution n’est pas là…

            Selon la situation, il faut savoir adapter la tactique, et ne pas reproduire mécaniquement le passé.

            Je ne me souviens plus très bien de ce que disait exactement Lénine dans son livre sur "le gauchisme, maladie infantile du communisme", mais il me semble que cela ressemblait à ce que je viens d’exprimer.

            Bien à toi,
            do
            http://mai68.org

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            • L’Allemagne avoue mener une guerre contre la Russie 27 janvier 2023 20:09, par viriato

              Salut do,

              La comparaison est seulement un échantillon d’une tactique qui, depuis l’insurrection chinoise de 1927, a mis en avant l’alliance avec des secteurs de la bourgeoisie, la subordination de fait et même théorique du prolétariat envers la bourgeoisie, comme l’aspect principal de la contradiction entre ces deux combattants anti-impérialistes.

              Quand la bourgeoisie, russe dans le cas d’espèce, défendant ses propres intérêts lutte vraiment contre l’impérialisme principal (tout en rêvant d’en devenir elle aussi un impérialisme, ce qu’il ne faut pas oublier).

              En Espagne ce n’était que la reproduction stalinienne de la tactique des menchéviques et social-révolutionnaires de finir d’abord la guerre impérialiste, après faire une révolution bourgeoise et après, bien après faire unerévolution socialiste, qui a été qppliqué.

              En Espagne c’était cela la tactique de Staline et du PC espagnol. Soutenir la République, en participant au gouvernement bourgeois (les chefs anars ont tombé dans ce panneau), défaire Franco tout en essayant par tous les moyens de ne pas pousser les britanniques et les français dans les bras de Franco et des allemands pour des raison nationalistes soviétiques et après, bien après lutter pour une république "démocratique populaire" forme batarde du socialisme.

              Les anars, ont fait tout pour coller à cette tactique, sauf Durruti qui avec ses amis, ont penché pour la liquidation de la république bourgeoise et l’instauration d’un gouvernement ouvrier, accompagné des mesures directes socialistes (voir Aragon et Barcelona jusqu’à 1937 où ils furent défais militairement par les staliniens suite aux hésitation de la Montseny et de Garcia Olivier ministres anarco-bourgeois) ) la seule tactique possible pour vaincre. Hélas, il est mort au combat.

              Cette tactique était justifiée toujours de la même manière : il fallait conserver le front uni contre la réaction ; c’est-à-dire, de fait, la subordination du prolétiriat à la bourgeoisie "nationale" et "démocratique" qui ne l’était nullement sauf pour un moment et tant que les prolos se battaient pour elle, mais très disposée à capituler comme l’a fait la République Espagnole avec le coup d’état de Casado.

              De même, l’alliance des communistes avec Tchang Kai Shek en 1927, avec les mêmes pretextes, a durée le temps que le bourgoeis Tchang s’entend avec les impérialistes et trahise et assassine les communistes.

              Cette tactique, classique, menchevique par essence, a donné partout les mêmes fruits et même est devenue l tactique du PCF et du PCI lors de la deuxième guerre mondiale et produit "le tournant de Salerno" en Italie, la capitulation devant De Gaulle en France.

              Plus tard elle est devenue la recherche d’un Compromis Historique avec les partis du centre en Espagne, Italie, Françe au Chili et en Indonesie avec les résultat qu’on connait.

              De même en Rsusie, si le peuple russe se laisse conduire sans réagir par la bourgeoisie oligarque bureaucratique, il ira de défaite en défaite.
              Et même si l’armée russe arrive à vaincre l’armée ukrainienne, elle ne pourra pas affronter l’armée Otan sans le concours du prolétariat mondial, condition qu’on ne peux pas obtenir sans une révolution communiste profonde en Russie.

              Je comprends que la logique formelle pousse à souteinr les thèses mencheviques et staliniennes (c’est la même chose)mais les phénomènes sociaux se développent sur une autre logique, la logique dialectique.

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              • Alliance ne signifie pas subordination

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              • Salut Viriato,

                Tu dis : « De même en Russie, si le peuple russe se laisse conduire sans réagir par la bourgeoisie oligarque bureaucratique, il ira de défaite en défaite. »

                Réponse : En réalité, le parti communiste russe est bien plus acharné dans cette guerre que celui de Poutine.

                Tu dis : « Et même si l’armée russe arrive à vaincre l’armée ukrainienne, elle ne pourra pas affronter l’armée Otan sans le concours du prolétariat mondial, condition qu’on ne peux pas obtenir sans une révolution communiste profonde en Russie. »

                Réponse : L’armée russe ne combat plus l’armée ukrainienne. Celle-ci a été détruite dès juin. Elle combat des armes occidentales tenues essentiellement par des ukrainiens. Et bientôt, avec les chars lourds et les missiles et avions, ce sera vraiment l’armée de l’OTAN. Cependant, Napoléon a perdu sa guerre contre la Russie, et Hitler aussi. L’OTAN la perdra aussi, je pense.

                Bien à toi,
                do
                http://mai68.org

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                • Sur la longueur du temps, la Russie est déjà en train de gagner cette guerre en raison de la stratégie absolument politiquement nécessaire à l’Ukraine et surtout à l’OTAN de prétendre revenir aux frontières d’avant 2014, ce qui leur interdit de négocier un compromis et oblige à envoyer en permanence des troupes "fraîches" sur le front, mais qui sont de moins en moins "fraîches" et de moins en moins nombreuses, vu leur nombre de victimes.

                  Pour l’instant, être parvenue à fixer le front est déjà une victoire pour la Russie. Reprendre le "grignotage" des défenses adverses les plus solides, comme à Soledar, cela constitue une bonne préparation pour une offensive qui n’attendra pas passivement l’arrivée des "nouveaux" matériels occidentaux.

                  Cette guerre à priori inégale entre l’Occident et la Russie ne peut donc être gagnée facilement, évidemment, mais le dénigrement politique par la gauche française et occidentale de cette contre-offensive russe est aussi un allié précieux de l’OTAN, si l’on compare avec ce qu’était la situation à l’époque de la guerre au Vietnam, qui a autant été gagnée, sinon plus, par le soutien politique des gauches occidentales que sur le terrain !

                  Dans le rapport de forces actuel, encore très difficile, il est donc absolument nécessaire de faire passer le soutien avant la critique éventuelle, qui viendra lorsque la victoire aura redonné un peu de confiance en lui-même au prolétariat, qui, de plus, s’en trouvera donc littéralement d’autant plus et même nettement mieux "armé" !!!

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                  • L’Allemagne avoue mener une guerre contre la Russie 28 janvier 2023 12:16, par viriato

                    On a des consolations à la mesure de nos désirs et aspirations.

                    "Tenir la ligne du Dnieper", ce n’est pas encore le cas partout, c’est le service minimale d’une armée qui ne peut plus qu’avancer peu à peu et qui redoute l’arrivée d’une armée Otan composéde 30 paysqui l’intégrent, allemands, polonais, français, pays baltes, roumains et je ne fais pas toute la liste. Macron qui doit savoir quelque chose a augmenté le budget militaire et prétend retablir le service militaire obligatoire. Ce n’est pas pour rien.

                    Il se peut que cette armée otanesque n’arrive pas, un haut général US vient de dire que la guerre contre la Chine est pour 2024, pour demain quoi.

                    Il se peut donc que les US, ou une partie de leur commandement se contente d’une guerre d’attrition, d’affaiblissement de la Russie sur la ligne du Dnieper. Ses "alliés" bien subordonnés (l’UE) peuvent faire ce boulot.

                    Ce n’est pas non plus un objectif politique stratégique suffisant, car la volonté de l’autre secteur US, les faucons, les partisans de la doctrine Wolfowitz, est de liquider et dépecer la Russie, aujourd’hui si possible, après presque obligatoirement. Les ressources russes sont immenses et les capitalistes US en salivent.

                    Le plan stratégique des russes est une Ukraine neutre, un arrêt de la poussée de l’Otan vers sa frontière ; bref, un compromis avec l’impérialisme US. Même passer de leur côté, pour certains, en se détachant de la Chine.

                    En fait, il y a deux scénarios : ou les US finissent le boulot en s’engageant à fond (jusqu’au dernier ukrainien et même européen) ou laissent une situation pourrie à feu moyen pour s’occuper de la Chine.

                    Les Russes ? Je parle des oligarques qui gouvernent la Russe, Ils doivent bien danser sur la musique qui leur proposera l’impérialisme US sauf si le peuple, la classe ouvrière russe balaye tout ça et appelle les travailleurs du monde entier au renversement du capitalisme.

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                    • Avec un "ami" comme ce "Viriato", la Russie a juste un ennemi de plus, et qui voudrait en prime la voir dépendante de la Chine !

                      Alors qu’elle est justement en guerre pour sauvegarder son indépendance !

                      Ce "Viriato" ne veux donc pas d’une neutralisation de l’Ukraine, qui ne peut s’effectuer concrètement que sous le contrôle de la Russie, évidemment, et assurerait au moins pour un temps un retour à la paix dans la région.

                      Ce "Viriato" rêve d’une "révolution mondiale", et il a bien le droit de rêver, mais frustré de son rêve actuellement et encore pour longtemps impossible, il préfère encore voir la défaite de la Russie indépendante, qui est pourtant actuellement et réellement, concrètement, pas en rêve chimérique, le recours des petites nations et des peuples qui tentent encore de résister à l’impérialisme.

                      Frustré de son rêve puéril (ou sénile ?) il parle avec des millions de cadavres dans sa bouche : ceux des peuples qui ont lutté depuis des décennies contre l’impérialisme, et aujourd’hui même, avec ceux des soldats russes qui malheureusement tombent encore sur le front de la lutte anti-nazie et anti-impérialiste en Ukraine.

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