VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > Qu’est-ce que le progrès ?

Qu’est-ce que le progrès ?

mardi 16 mai 2023, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 16 mai 2023).

C’est parvenir en moins de 300 ans à réduire pratiquement à néant, de façon définitive et irréversible, plusieurs millions d’années d’évolution sur la planète Terre.

5 Messages de forum

  • Qu’est-ce que le progrès ? 16 mai 12:30, par a_suivre

    Le progrès par exemple, c’est d’imposer une véritable dîme sur les semences. Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes est devenu illégal.

    Il est bon de rappeler que la dîme était un impôt, sur les récoltes, prélevé par l’Église et qu’elle fut abolie en 1789, l’année de la prise de la Bastille.

    Le gouvernement français a mis en application un règlement européen qui interdit aux agriculteurs de réutiliser les mêmes graines à chaque nouvelle semée.

    Fini le temps où les agriculteurs et jardiniers du dimanche pouvaient replanter à volonté les graines issues des récoltes précédentes encore et encore. Cette pratique est maintenant interdite, ou en tout cas taxée selon les cas. Le gouvernement français a mis en application un règlement européen de 1994 mettant en place des certificats d’obtention végétale (COV). Opérationnel depuis 10 ans sans que la France ne l’ait appliqué jusqu’à maintenant, ces COV sont en résumé des brevets déposés par l’organisme ou l’entreprise voulait protéger les droits de sa semence (souvent modifiée pour résister aux pesticides ou aux insectes).

    Ce qui signifie que la pratique, autrefois tolérée, de replanter les semences de ses propres récoltes sera interdites. Ce règlement européen fait en sorte que les semences fermières, c’est-à-dire les graines issues d’exploitants qui détiennent les droits de propriété de cette même semence et des graines issues des récoltes suivantes, ne puissent plus être replantées directement par les agriculteurs. En clair, les agriculteurs doivent désormais racheter de nouvelles semences à l’exploitant, chaque année, pour débuter une nouvelle récolte avec les mêmes graines que l’année précédente. L’utilisation de ces semences implique donc que les agriculteurs doivent reverser une certaine somme aux semenciers (le plus connu étant l’entreprise Monsanto, spécialiste des semences OGM).

    Mais en plus de cette obligation des agriculteurs, certains ont peur que cela entraîne une perte de biodiversité des espèces végétales. Les semences étant toujours les mêmes, ils craignent que la biodiversité soit justement défavorisée. Ressemer ses propres graines peut entraîner des variations dans l’espèce et faire apparaître de nouvelles caractéristiques inédites aux espèces qui existaient avant. Les plantes créées « naturellement » de cette façon peuvent s’adapter au climat et à l’écosystème environnant, pouvant ainsi la rendre résistante à bien des fléaux, et ce sans manipulation génétique ou l’aide de pesticides. Et au contraire, racheter et planter chaque année les mêmes semences inlassablement reviendrait à appauvrir peu à peu cette biodiversité.

    On trouve ça vraiment dramatique pour les agriculteurs ! Donc en fait, le futur selon Monsanto, c’est de forcer les agriculteurs à acheter des graines à prix d’or jusqu’à la fin de leurs jours pour pouvoir cultiver leurs champs ?

    Source : https://dailygeekshow.com/ressemer-….

    PNG - 139.6 ko

    Répondre à ce message

  • Qu’est-ce que le progrès ? 16 mai 13:47, par Dominique

    S’ajoute à cela une mécanisation outrancière où les machines sont adaptées à des exploitations industrielles de plus en plus grande. Le but est simple, favoriser les géants industriels et leur modèle tourné vers l’exportation au détriment des petites et moyennes exploitations qui sont celles qui nourrissent le pays et assurent ce qui reste de son indépendance agricole.

    L’enjeu est important car en plus et en même temps, les super riches veulent nous imposer leur malbouffe à base d’’insectes et de viande, le tout issus de laboratoires en béton. S’ils gagnent, cela impliquera dans un futur très proche, que les seules fermes traditionnelles qui subsisteront seront celles qui auront tourné leur production vers des produits de niche réservés, de par leurs prix, aux seuls riches. C’est déjà en partie le cas car comme le dit une dame dans une vidéo : "À Paris, le mieux nourri, c’est le camion (à poubelles)."

    Répondre à ce message

  • Qu’est-ce que le progrès ? 16 mai 13:54, par a_suivre

    Le progrès par exemple, c’est « la dépénalisation d’actes pédocriminels promut dans un rapport de l’ONU en date du 08 Mars 2023 sous couvert de protection des droits de l’homme. »

    Source : L’éducation sexuelle selon l’OMS - Entretien avec Ariane Bilheran (vidéo_27’36’’) : https://www.youtube.com/watch?v=Wqq…

    Les « droits sexuels » des enfants, idéologie délirante et dangereuse, est aujourd’hui portée par différentes instances internationales, OMS et ONU en tête. La philosophe et psychologue Ariane Bilheran analyse les dérives de cette idéologie pédophile en France et démontre, dans la lignée de ses travaux approfondis sur la psychologie du pouvoir, combien la perversion est toujours l’associée de la paranoïa dans l’avènement du totalitarisme.

    Elle décrypte pour nous les mécanismes pervers qui contribuent à la mise en œuvre de ce « nouvel ordre mondial » par la transgression sexuelle des enfants et adolescents : "Lorsque les fous sont au pouvoir, ils imposent leur délire, dans une contagion qu’il s’agit d’identifier pour s’en prémunir. Ils détruisent les enfants et persécutent les sains d’esprit."

    Répondre à ce message

  • Qu’est-ce que le progrès ? 16 mai 15:35, par a_suivre

    Le progrès par exemple, c’est d’avoir supprimé dans les écoles, le fameux "savon citron" fabriqué en France pour imposer des distributeurs - qui sont le plus souvent cassés ou vides - qui contiennent du savon liquide ou du Gel Hydroalcoolique contenant des "CAQ".

    La pandémie de COVID-19 a stimulé l’utilisation inutile de produits chimiques antimicrobiens liés à des problèmes de santé, à la résistance aux antimicrobiens et aux dommages environnementaux, avertissent plus de deux douzaines de scientifiques en sciences et technologies de l’environnement .

    Leur examen critique détaille comment les composés d’ammonium quaternaire (CAQ) sont de plus en plus commercialisés et utilisés à la maison, dans les soins de santé, dans l’éducation et sur le lieu de travail malgré la disponibilité d’alternatives plus sûres et, dans certains cas, des preuves limitées de réduction de la transmission des maladies.

    "Les lingettes désinfectantes contenant des CAQ sont souvent utilisées sur les pupitres d’école des enfants, les tables d’examen des hôpitaux et dans les maisons où elles restent sur ces surfaces et dans l’air", a déclaré Courtney Carignan, co-auteur et professeur adjoint à la Michigan State University.

    "Notre examen de la science suggère que la désinfection avec ces produits chimiques dans de nombreux cas est inutile ou même nocive.
    Nous recommandons un nettoyage régulier avec de l’eau et du savon et une désinfection uniquement au besoin avec des produits plus sûrs."

    Des études humaines ont trouvé des associations entre les CAQ et l’asthme, la dermatite et l’inflammation. Les études sur les animaux de laboratoire soulèvent également des inquiétudes quant aux liens potentiels avec l’infertilité, les malformations congénitales, etc. De plus, il existe des preuves remontant aux années 1950 que les CAQ contribuent à la résistance aux antimicrobiens , rendant certaines espèces de bactéries résistantes à la fois aux CAQ eux-mêmes et aux antibiotiques critiques.
    "Il est ironique que les produits chimiques que nous déployons en vain pour une crise sanitaire en alimentent en fait une autre", a déclaré Erica Hartmann, co-auteur et professeur à la Northwestern University. "

    La résistance aux antimicrobiens contribuait déjà à des millions de décès par an avant la pandémie. Une désinfection trop zélée, en particulier avec des produits contenant des CAQ, menace d’aggraver la situation."

    Les CAQ sont de plus en plus utilisés dans les solutions désinfectantes, les lingettes, les désinfectants pour les mains, les vaporisateurs et les brumisateurs, et sont également incorporés dans les produits de soins personnels , les textiles, les peintures, les instruments médicaux, etc. Depuis la pandémie, les niveaux de ces produits chimiques dans l’environnement et dans notre corps ont augmenté en parallèle.

    L’un des CAQ les plus courants est le chlorure de benzalkonium, mais d’autres peuvent être identifiés sur les étiquettes des ingrédients avec des noms se terminant par "chlorure d’ammonium" ou similaire. Cependant, la divulgation et la réglementation des CAQ varient considérablement. Par exemple, les étiquettes de pesticides doivent indiquer les CAQ, mais pas les étiquettes de peinture. La plupart des CAQ ne sont pas du tout réglementés et ne font pas non plus l’objet d’un dépistage complet des risques pour la santé.

    Les scientifiques recommandent d’éliminer les utilisations des CAQ qui sont inutiles ou dont l’efficacité n’a pas été démontrée.

    Par exemple, la désinfection avec des CAQ n’a souvent aucun avantage par rapport au nettoyage avec du savon ordinaire et de l’eau. D’autres recommandations incluent la divulgation complète des CAQ dans tous les produits et la surveillance étroite de leurs niveaux chez les personnes et l’environnement.

    "Réduire considérablement de nombreuses utilisations des CAQ ne propagera pas le COVID-19", a déclaré Carol Kwiatkowski, co-auteur et scientifique au Green Science Policy Institute. "En fait, cela rendra nos maisons, salles de classe, bureaux et autres espaces partagés plus sains."
    Plus d’informations : Erica Hartmann et al, Composés d’ammonium quaternaire : une classe chimique de préoccupation émergente, Sciences et technologies de l’environnement (2023).

    DOI : 10.1021/acs.est.2c08244
    Informations sur la revue : Science et technologie de l’environnement
    Fourni par Green Science Policy Institute

    Source : https://phys.org/news/2023-05-scien…

    La recette du savon de Marseille (video)

    Le coronavirus étant muni d’une couche lipidique
    TOUS les savons le tuent en la dissolvant

    Enregistré sur France 3 le 21 mars 2021 après 19h30

    Cliquer ici pour enregistrer la vidéo

    http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

    PNG - 563.9 ko

    Répondre à ce message

  • Qu’est-ce que le progrès ? 16 mai 23:43, par a_suivre

    NE VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON PROGRÈS !

    À la caisse d’un super marché une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui a alors reproché de ne pas se mettre à « l’écologie » et lui dit :

    « Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! »

    La vieille femme s’est excusée auprès de la caissière et a expliqué : « Je suis désolée, nous n’avions pas de mouvement écologique dans mon temps. »

    Alors qu’elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta :

    « Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps ! »

    La vieille dame admît qu’à l’époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de Coke et de bière au magasin. Le magasin les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises. À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu’à l’épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues. Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    À l’époque, on lavait les couches de bébé ; on ne connaissait pas les couches jetables. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge ; pas dans un machine avalant 3000 watts à l’heure. On utilisait l’énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.

    À l’époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d’un frère ou d’une soeur à l’autre. C’est vrai ! On ne connaissait pas le mouvement écologique.

    À l’époque, on n’avait qu’une TV ou une radio dans la maison ; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d’une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l’État du Texas.

    Dans la cuisine, on s’activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.

    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servies, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

    À l’époque, on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon ; on n’avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées.

    À l’époque, on travaillait physiquement ; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité. Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    À l’époque, on buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif ; on n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu’on voulait prendre de l’eau.

    On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo ; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage. Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    À l’époque, les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l’école au lieu d’utiliser la voiture familiale (souvent tout-terrain !) et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.

    À l’époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée. Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.

    ALORS VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MINISTÈRE ÉCOLOGIQUE !

    Source : http://mai68.org/spip/spip.php?arti…

    Répondre à ce message

Répondre à cet article

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0