Nous vivons désormais dans le monde du mensonge concerté.
La "réalité" n’est qu’une des hypothèses en compétition, et son succès ou non, ne dépend, que du rang qu’elle occupe dans les réponses données par les « moteurs de recherche ».
Une véritable guerre, se mène désormais entre des armées de manipulateurs concurrents, pour subvertir les algorithmes des moteurs de recherche, et financer le buzz positif.
La lecture de ce système étant compliquée, par l’ubérisation des entreprises de manipulation de masse, et le bénévolat financier des harkis des ONGG d’agit prop, souvent échangé contre de la rente d’égo.
Le totalitarisme économique, à transformé le mensonge en marchandise commercialisable.
Avec la création d’Internet, le cout de production et de diffusion de la calembredaine, s’est effondré, et l’espace de Liberté, c’est transformé en piège. Et pire encore, cette activité de fabrication d’un monde imaginaire, est devenue un métier pour les uns, un hobby pour d’autre, et une formidable opportunité d’existence sociale. Nous baignons dans le mensonge toute la journée.
Mensonge publicitaire, mensonge politique, mensonge social, mensonge économique, terreurs de masse imaginaires, mensonge religieux, pas un moment de notre vie n’échappe à ce bombardement.
Le simple fait d’apparaître sur un média « virtuel », ouvre les vannes. Et chaque nouveau mensonge, se nourrit de sa contestation, et utilise le peu de qualité de ses détracteurs, pour prouver sa cohérence. Ce qui n’a rien de compliqué, la plupart des débatteurs étant de simples supporters, n’ayant pas plus de compétence sur le sujet évoqué, que les omni-spécialistes qui peuplent les médias, pour nous dire le Vrai.
Ce qui reste des structures « militantes », est totalement dépassé par ce brouhaha permanent, et faute de mieux, entretien l’illusion, qu’on peut se servir « différemment » des moyens techniques, qui servent à les marginaliser.
On assiste de leur part à l’utilisation des mêmes foutaises, avec une surenchère « radicale », sensée prouver qu’il y a une bonne façon, d’envisager le dérisoire.