Commentaire de gg5163 : « Macron vient de faire ses achats de Noël pour soigner sa population avec grenades à gogo et des nouveaux modèles pas encore testés. Alors, avis aux amateurs, nous avons besoin de cobayes hexagonaux pour démontrer l’excellence française du matage d’opposants et ainsi faire prospérer notre commerce extérieur… Ces bénéfices serviront directement à l’amélioration des conditions de vie des plus fragiles d’entre nous… Bon, je vais me relire parce qu’il y a un truc qui cloche… » |
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Quelle coïncidence, exactement cinq ans après l’acte I des Gilets Jaunes, vient de se dérouler, à Paris, du 14 au 17 novembre 2023, un événement mondial sur "la sûreté et de la sécurité intérieure des États", la 23e édition du salon Milipol !
Le problème, c’est qu’à ce salon très tendance, des catalogues vantent des armes de maintien de l’ordre illégales ou considérées comme "intrinsèquement abusives" par les Nations Unies.
Les bombes, les grenades,… seraient parfaitement validées par les experts de l’ONU, mais les bâtons à chocs électriques, les matraques à pointes, les gants électriques,… seraient formellement interdits.
Alors, que penser, des munitions au phosphore blanc, qui, lorsqu’elles touchent leur cible, s’enflamment à plus de 600°C… et qui seraient d’après de nombreux experts, utilisés à Gaza sur les femmes et les enfants ?
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Source : https://citizenevidence.org/2023/10…
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L’armée israélienne utilise-t-elle des armes au phosphore blanc ?
Dans le ciel de Gaza, mercredi dernier, de longues traînées de fumée blanche. Avant de toucher leur cible, les obus semblent se fragmenter. Ces images ont fait réagir des milliers d’Internautes. "Bombe au phosphore…
J’espère que les otages n’étaient pas dans ce quartier", a écrit un cybernaute sur X. Les munitions au phosphore blanc peuvent être des armes incendiaires qui, lorsqu’elles touchent leur cible, s’enflamment à plus de 600°C. L’armée israélienne utilise-t-elle des armes au phosphore blanc ?
Il est impossible de répondre par vrai ou faux à cette question. Depuis plusieurs jours, deux organisations humanitaires, Amnesty International et Human Rights Watch, dénoncent l’emploi de munitions incendiaires au phosphore blanc.
Ces frappes auraient notamment eu lieu sur le port de Gaza le 11 octobre. Pour preuve, Amnesty International apporte des pièces d’artillerie, photographiées à une vingtaine de kilomètres du port, deux jours plus tôt. Contactée par franceinfo, l’armée israélienne nie ces accusations.
Le phosphore blanc n’est pas interdit lorsqu’il est utilisé comme un fumigène, sans sa propriété inflammable. Plusieurs experts en pyrotechnie penchent plutôt pour cette utilisation sur le port de Gaza. Le phosphore blanc est banni lorsqu’il est utilisé comme arme incendiaire sur une cible non-militaire.
Article rédigé par France 2 - B. Dénombre, L.L. Dao, L. Dulois, L. Desbois France Télévisions
Publié le 17/10/2023
Source :https://www.francetvinfo.fr/vrai-ou…
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Au salon Milipol, des catalogues vantaient des équipements considérés par l’ONU comme des outils de torture
L’ONG Amnesty International a repéré dans les catalogues de certains exposants du salon la présence d’armes de maintien de l’ordre illégales ou considérées comme "intrinsèquement abusives" par la rapporteuse spéciale des Nations unies sur la torture.
Bâton à choc électrique, matraque à pointe, gant électrique, protège-bras à pointe ou chaînes à entraves pour les jambes… L’arsenal de défense repéré cette semaine au salon Milipol à Villepinte (Seine-Saint-Denis) fait mauvais genre. Accompagnée d’Omega Research, l’ONG Amnesty international a en effet signalé à l’organisateur de ce salon parrainé par le ministère français de l’Intérieur et dédié aux méthodes de maintien de l’ordre, des objets "considérés uniquement comme pouvant servir à la torture et donc la promotion est interdite sur les salons européens", selon Aymeric Eluin, responsable d’Amnesty.
Également identifiés : des "équipements illégaux de maintien de l’ordre" promus, notamment, par des entreprises chinoises.
Mais ces dernières ne sont pas les seules en cause : matraques électriques de contact direct, gants à impulsions électriques, munitions contenant plusieurs projectiles cinétiques (KIP), lanceurs KIP multi-canons… étaient également au catalogue d’entreprises américaines, tchèques, françaises, israéliennes, italiennes, kazakhs ou sud-coréennes.
Certains de ces équipements étaient répertoriés dans des catalogues distribués à Milipol, d’autres ont été retrouvés sur les supports marketing des entreprises.
Pas de réglementation mondiale claire sur ces équipements
Aussitôt alerté, le président de Milipol, le préfet Yann Jounot, a ordonné l’arrachage des pages des catalogues d’exposants présentant ces matériels, ainsi que la mise en demeure des entreprises. "Comptable d’une exigence de conformité", il souligne avoir renforcé les contrôles grâce au partenariat instauré avec des ONG comme Amnesty International. Néanmoins, il admet que le contrôle peut avoir ses faiblesses : "C’est le problème du chauffard. Vous aurez beau avoir 40 gendarmes, il peut toujours y avoir quelqu’un qui roule à 200 km/h".
Les organisateurs du salon ont déjà eu affaire, par le passé, à des entreprises peu regardantes : lors de l’édition 2017 du salon, au moins 5 sociétés chinoises ont fait la promotion de matériels problématiques.
Un stand d’exposant avait dû fermer. Au catalogue de l’une de ces sociétés chinoises : des fourches antiémeutes à pointes envoyant des décharges électriques.
De fait, la limite juridique entre armes de maintien de l’ordre et armes de torture reste à définir, alors que la réglementation anti-torture de l’UE n’est pas suffisante, souligne Aymeric Elluin, expert des questions d’armes chez Amnesty : "Il n’existe pas de règles mondiales juridiquement contraignantes régissant la production et commerce de matériel de maintien de l’ordre".
Certains outils de maintien de l’ordre "à impulsion électrique de contact" ou "projectiles à impact cinétique multiples" sont toujours autorisés, bien que reconnus comme abusifs par plusieurs experts : en octobre dernier, le Dr Alice Jill Edwards, rapporteuse des Nations Unies sur la torture, a clairement établi une liste de 20 types de ces armes interdites car "intrinsèquement abusives"… dont certaines étaient pourtant encore présentées cette année à Milipol.
À la veille de l’ouverture du salon, la rapporteuse avait pourtant appelé, une fois de plus, les organisateurs du salon à la plus grande vigilance sur la présence de ces armes.
Par La rédaction numérique de France Inter
Publié le vendredi 17 novembre 2023
Source : https://www.radiofrance.fr/francein…
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Pourquoi nos flics sont-ils mieux équipés et mieux payés que nos militaires ? (vidéo_38’39’’)
La bonne nouvelle du jour : afin de soutenir Macron, ce jeudi 23 mars 2023, les députés autorisent la vidéosurveillance algorithmique avant, pendant et après les Jeux Olympiques de 2024 ! [4]
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Lorsque l’on constate que les flics et les gendarmes, qui tabassent sans vergogne les citoyens et citoyennes dans la rue, sont nombreux et surtout bien mieux équipés et mieux payés que nos propres militaires qui sont déployés en Roumanie contre Poutine, il serait peut-être sain de se réveiller et de faire preuve de discernement :
C’est une info de Médiapart [1] qui révèle, que fin 2022, plus de 700 soldats français de la Mission Aigle déployés en Roumanie suite à l’invasion russe, au camp de Cincu, vivent dans des conditions déplorables. Les soldats français en Roumanie ont « faim » et « froid » !
En même temps, pour lutter contre l’incendie social qui couve, Macron, en juillet 2022, pour 57 M€, a acheté 90 VBMO (Véhicules Blindés de Maintien de l’Ordre) fabriqués par la société SOFRAME* pour notre police & gendarmerie[2].
VBMO équipé de caméras de précision, de diffuseurs lacrymogènes, de lance-grenades et d’une superbe mitrailleuse qui envoie 1000 balles/minute…
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Comment résister à la dérive totalitaire
« Macron est un sociopathe dangereux, confier la responsabilité d’un état à quelqu’un comme ça, c’est très très dangereux. »
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http://mai68.org/spip2/IMG/mp4/Resi…
Jean-Dominique Michel - 23 juin 2022 - vidéo_14’39’’
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« Je fais partie de ceux qui ont gagné le privilège d’être aisément en contact avec leurs émotions et de ne pas les redouter. Elles sont des puissances du dedans qui ont vocation à nous inspirer dans notre rencontre avec le réel.
Je confesse volontiers que les procédés les plus brutaux et dévastateurs de la dérive en cours me bouleversent, en particulier lorsqu’ils prennent les personnes âgées, les enfants et les personnes vulnérables pour cible. »
Jean-Dominique Michel