Le gouvernement des Cartels, doit absolument se débarrasser de toute évaluation politique.
Mais, pour des raisons évidentes, il doit conserver précieusement les anciennes structures de gestion de la passivité « citoyenne ».
Cette contradiction ne peut être vivable, qu’en ridiculisant la politique même, et la transformant en une série de sketches de « politique réalité ».
L’arrivée au pouvoir du ridicule, a commencé avec Reagan, l’acteur « faire valoir pour chimpanzé » des années 50-60, devenu « Président » avec une dizaine d’années de campagne publicitaire d’Hollywood, et plus récemment, Bush Junior, puis Trump.
En Europe, dans le genre aussi illettré, on a eu Sarkozy ou Berlusconi, et maintenant Zelinsky.
Aux USA, on a pérennisé la technique.
On respecte une forme d’alternance, entre imbéciles, et crapules mielleuses. La lutte, entre ceux qui ont honte de leur Président, et ceux qui veulent un nouvel épisode de la série, permet de maintenir une participation électorale suffisante.
Et le gouvernement du Crime Économique Organisé, arrive à se cacher derrière l’assourdissant bruit de fond de la contestation de l’insignifiance.