Message de Michel Collon aux amis d’Investig’Action

Message du 3 janvier 2018

Bonjour,

Je viens de vous envoyer par un autre courrier la newsletter appelant à soutenir Investig’Action. Pourriez-vous nous soutenir en la relayant auprès de vos amis et proches ? Merci de prendre quelques minutes pour lire les lignes qui suivent et qui vous expliquent notre situation…

Vous l’avez peut-être déjà vu dans notre newsletter ou sur facebook, mais je me permets d’insister en expliquant notre situation de façon réaliste. D’un côté, Investig’Action s’est pas mal développé ; de l’autre côté, la situation financière est difficile et même dangereuse. D’un côté, notre public apprécie :

1. Un site animé par Grégoire et Alex qui publient des articles fort appréciés.

2. Des livres importants et jugés très utiles (Bouamama, Herman & Chomsky, Pappé, Charvin, Page, Bensaada, De Witte, Mohamed Hassan, bientôt Pauwels, la CIA, George Soros, BDS…)

3. Des vidéos fort visionnées et un début intéressant pour Michel Midi.

De l’autre côté, un budget en négatif. Si les dons sont assez stables en légère progression, les ventes de livres ont chuté pour diverses raisons dont les deux principales sont la censure médiatique et la campagne de sabotage organisée par le lobby pro-Israël : selon des techniques très sophistiquées que j’ai expliquées ici, ils parviennent à nous diaboliser sur wikipedia et sur Internet en général, ils réussissent à faire annuler des conférences débats où nous espérions nous faire connaître et vendre nos livres, ils parviennent en fait à créer un cordon sanitaire qui nous isole d’une grande partie de notre public potentiel. Nous tentons de lutter contre cet encerclement, mais cela demande du temps, de l’énergie et encore de l’argent (procès en cours contre Le Monde, France Télévision, Rudy Reichstadt, Marcel Sel et deux ministres belges censeurs…)

Résultat : le budget n’est toujours pas en équilibre, et les dettes s’accumulent. Actuellement, nous gagnons en moyenne 7.100 € par mois : 4.400 € de dons mensuels + 2700 € de ventes. Nos dépenses servent à payer les salaires (deux temps plein, deux mi-temps avec cotisations sociales = 70% des dépenses), les livres (impression et expédition = 20% des dépenses) et les frais divers (10%). Je rappelle (car certains font circuler des ragots), que je ne suis pas salarié d’Investig’Action, j’ai toujours été entièrement bénévole, tous les gains de mes livres sont intégralement reversés pour payer les salaires des jeunes journalistes.

Pour sécuriser Investig’Action, il faudrait que les revenus augmentent à 10.000 €/mois afin de pouvoir payer toutes les dépenses et ne plus avoir de dettes. Dans cette situation difficile, j’ai fait le pari d’engager le jeune David pour gérer la maison d’édition des livres et vendre davantage aussi avec une promotion plus efficace pour contrer la censure. Nous avons plusieurs très beaux projets, mais éditer un livre exige beaucoup de soin, de temps et donc d’argent, et je ne puis continuer à le faire moi-même au détriment d’autres tâches urgentes. Ensuite, il faudra développer la vidéo pour toucher un public encore plus large. Puis, assurer mon remplacement comme directeur d’Investig’Action : l’âge est là. J’ai toujours été entièrement bénévole, mais il faudra prévoir un salaire pour ce poste.

L’année 2019 sera donc décisive pour Investig’Action. Trois scénarios sont possibles :

Soit nous réussirons à augmenter notre budget mensuel : passer de sept mille euros à dix mille euros par mois.

Soit nous devrons serrer la ceinture, diminuer les activités et les emplois, pour sauvegarder un « Investig’Action light », scénario envisageable mais risqué.

Soit nous devrons fermer.

Vous comprenez donc l’importance de relayer mon appel ci-dessous. Merci d’avance.

Michel

Bonjour,

Je viens de vous envoyer par un autre courrier la newsletter appelant à soutenir Investig’Action. Pourriez-vous nous soutenir en la relayant auprès de vos amis et proches ? Merci de prendre quelques minutes pour lire les lignes qui suivent et qui vous expliquent notre situation…

Vous l’avez peut-être déjà vu dans notre newsletter ou sur facebook, mais je me permets d’insister en expliquant notre situation de façon réaliste. D’un côté, Investig’Action s’est pas mal développé ; de l’autre côté, la situation financière est difficile et même dangereuse. D’un côté, notre public apprécie :

1. Un site animé par Grégoire et Alex qui publient des articles fort appréciés.

2. Des livres importants et jugés très utiles (Bouamama, Herman & Chomsky, Pappé, Charvin, Page, Bensaada, De Witte, Mohamed Hassan, bientôt Pauwels, la CIA, George Soros, BDS…)

3. Des vidéos fort visionnées et un début intéressant pour Michel Midi.

De l’autre côté, un budget en négatif. Si les dons sont assez stables en légère progression, les ventes de livres ont chuté pour diverses raisons dont les deux principales sont la censure médiatique et la campagne de sabotage organisée par le lobby pro-Israël : selon des techniques très sophistiquées que j’ai expliquées ici, ils parviennent à nous diaboliser sur wikipedia et sur Internet en général, ils réussissent à faire annuler des conférences débats où nous espérions nous faire connaître et vendre nos livres, ils parviennent en fait à créer un cordon sanitaire qui nous isole d’une grande partie de notre public potentiel. Nous tentons de lutter contre cet encerclement, mais cela demande du temps, de l’énergie et encore de l’argent (procès en cours contre Le Monde, France Télévision, Rudy Reichstadt, Marcel Sel et deux ministres belges censeurs…)

Résultat : le budget n’est toujours pas en équilibre, et les dettes s’accumulent. Actuellement, nous gagnons en moyenne 7.100 € par mois : 4.400 € de dons mensuels + 2700 € de ventes. Nos dépenses servent à payer les salaires (deux temps plein, deux mi-temps avec cotisations sociales = 70% des dépenses), les livres (impression et expédition = 20% des dépenses) et les frais divers (10%). Je rappelle (car certains font circuler des ragots), que je ne suis pas salarié d’Investig’Action, j’ai toujours été entièrement bénévole, tous les gains de mes livres sont intégralement reversés pour payer les salaires des jeunes journalistes.

Pour sécuriser Investig’Action, il faudrait que les revenus augmentent à 10.000 €/mois afin de pouvoir payer toutes les dépenses et ne plus avoir de dettes. Dans cette situation difficile, j’ai fait le pari d’engager le jeune David pour gérer la maison d’édition des livres et vendre davantage aussi avec une promotion plus efficace pour contrer la censure. Nous avons plusieurs très beaux projets, mais éditer un livre exige beaucoup de soin, de temps et donc d’argent, et je ne puis continuer à le faire moi-même au détriment d’autres tâches urgentes. Ensuite, il faudra développer la vidéo pour toucher un public encore plus large. Puis, assurer mon remplacement comme directeur d’Investig’Action : l’âge est là. J’ai toujours été entièrement bénévole, mais il faudra prévoir un salaire pour ce poste.

L’année 2019 sera donc décisive pour Investig’Action. Trois scénarios sont possibles :

1. Soit nous réussirons à augmenter notre budget mensuel : passer de sept mille euros à dix mille euros par mois.

2. Soit nous devrons serrer la ceinture, diminuer les activités et les emplois, pour sauvegarder un « Investig’Action light », scénario envisageable mais risqué.3. Soit nous devrons fermer.

Vous comprenez donc l’importance de relayer mon appel ci-dessous. Merci d’avance.

Michel