Le démocratisme capitalo spectaculaire ne promeut que ce qui lui profite et lui permet de perdurer. Face aux contradictions internes qu’il engendre, à la baisse du taux de profit et à la surproduction généralisée, s’offre à lui une solution : la guerre et la destruction des marchandises et des humains.
L’écologisme semble apparaître comme une alternative crédible à ce désastre récurrent, mais créateur (chaos constructif). De même que le démocratisme se devait de convaincre qu’il était d’une urgence absolue de sauver la patrie en danger ou d’abattre le fascisme, il se doit de convaincre de l’urgence de changer l’ensemble des moyens de production de l’énergie, ce qui chamboule toutes les marchandises, du logement aux bagnoles en passant par les loisirs, tout doit se conformer aux nouvelles normes. Voilà un boulot de longue haleine, dont le processus semble s’accélérer.
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