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Les végans meilleurs soutiens de Nétanyaou ? Israël terre promise du vegan-washing

jeudi 25 avril 2019, par Dominique

Note de Dominique

Cet article permet de comprendre les ressorts industriels du véganisme. De nombreux véganes sont sincères, sans doute même la plupart. Ils sont persuadés qu’en mettant fin à l’exploitation industrielle des animaux, comme notre rapport à la nature conditionne notre façon de voir les choses, laquelle conditionne notre mode de vie, ils rendront impossible les autres formes d’exploitation industrielle capitaliste. En pratique, s’ils aiment les légumes locaux du marché, ils aiment aussi la malbouffe végane industrielle des grandes surfaces. Qui connaît l’histoire de la civilisation industrielle sait qu’aucune nouvelle technologie, quelle que soit la couleur de son label, n’a jamais supprimé une ancienne technologie. Les nouvelles technologies n’ont jamais servis qu’a une seule chose : développer de nouvelles filières d’exploitation industrielle dont les nuisances s’ajoutent aux anciennes.

Cet article montre la façon dont Israël est à la pointe du progrès dans le développement de filières d’exploitation industrielle labellisées véganes. Cela montre que les véganes sont en train de se faire complètement récupérer par la société industrielle de consommation, d’exploitation et de destruction de masse et que donc, selon toute vraisemblance, au lieu de supprimer l’exploitation industrielle des animaux et ainsi permettre de supprimer les autres formes d’exploitation industrielle, ils ne permettent d’ors et déjà que le développement de nouvelles filières d’exploitation industrielle qui comme toujours, ne supprimeront pas les anciennes. Ce qui est à l’opposé de leurs objectifs.

Un site végan me soupçonnait récemment d’antisémitisme (ce qui est un comble) parce que j’évoquais l’importance du lobby végan en Israël dans ma Lettre aux mangeurs de viandes qui souhaitent le rester sans culpabiliser (Larousse). Je vais cependant récidiver en m’abritant derrière le site autorisé de la Chambre de commerce France-Israël qui titrait, au lendemain de la réélection du candidat de la droite la plus dure : « Le véganisme : clé de la victoire de Nétanyaou ? ».

La thèse, même sous forme interrogative, mérite le détour pour qui connait Israël. Il est exact que pour emporter les voix des « amis des animaux », Netanyahou a annoncé arrêter de consommer de la viande. Lors d’une conférence de presse donnée le 10 mars 2019, la députée Sharren Haskel, membre du parti du Likoud et proche de « Bibi », a annoncé que le Premier ministre et toute sa famille « avaient opté pour le végétarisme ». « Pas entièrement », a-t-elle ajouté à mi-mot. La presse conclut qu’en « s’entourant de cette figure appréciée par les défenseurs des bêtes, « Bibi » a probablement gagné des points dans les urnes ». Beaucoup de sites dont Actualité Israël ont repris aussitôt cette analyse. Sharren Haskel a joué effectivement un rôle central dans la véganisation de la droite. Ex-membre volontaire des commandos de la police des frontières, opposée récemment aux projets d’amélioration de la situation juridique des gays, reconnue comme proche idéologiquement du Tea Party des Etats-Unis, elle n’a cessé de se droitiser, au fils des années, expliquant, par exemple, qu’« ll n’y a pas d’armée plus morale dans le monde que la nôtre » (sic). Les journalistes s’interrogent cependant : « Deux questions émergent lorsqu’on constate l’importance de ces mouvements en Israël : y a-t-il un lien entre l’antispécisme et la spécificité historique d’Israël, à savoir sa définition comme « Etat des Juifs » ? Ensuite, cet engouement pour la cause animale a-t-il un lien avec le conflit israélo-palestinien ? ». La faute politique du candidat travailliste aurait été de ne jamais préciser si, de son côté, il mangeait encore du poulet, lit-on sous la plume des experts.

L’instrumentalisation du véganisme à des fins politiques ne date pas cependant de cette seule période électorale ni même de la présence de Sharren Haskel. Nétanyaou se dit depuis longtemps favorable aux « lundis sans viande » et l’armée israélienne se proclame végane (alimentation et vêtements).

Les faits sont assez têtus pour permettre de raconter une tout autre histoire. Cette pseudo « première nation végane » (comme on le lit dans la presse) reste l’un des pays au monde consommant le plus de viande (80 kilos par personne et par an contre 66 en France), notamment de poulets (57 kilos), et les végans, avec 8 % de la population, n’y sont guère plus nombreux qu’ailleurs… Alors pourquoi Israël passe-t-elle pour être le paradis des végans dans le monde ? L’Etat israélien est l’inventeur du vegan-washing en tant que stratégie politique.

Israël a été d’abord le laboratoire d’une expérience grandeur nature, en matière de conversion, puisque 60 % des téléspectateurs réguliers de l’émission de télé-réalité « Big Brother » ont changé leur façon de manger. Tel Gilboa (née en 1978), fondatrice du Front israélien de libération des animaux (ALF) en 2013, a remporté la sixième édition de « Big Brother » en 2014, en utilisant, avec la complicité de la production, l’émission pour propager, en prime time, le véganisme, et ceci durant trois mois et demi… Végan France titrait le 10 février 2016 : « Une activiste végane remporte « Big Brother » ». Elle portait pour la finale un T-shirt « Go Végan », son opposant en finale (Eldad) était aussi végan, comme d’ailleurs 4 des 18 occupants de la « maison ». On sait aujourd’hui qu’elle a bénéficié d’une véritable mise en scène, un autre candidat était un pseudo-éleveur bovin engagé par la production et dont le rôle était de provoquer et de pousser la participation végane, la production a même autorisé l’ami de Tal à venir parler de véganisme devant les résidents de la « maison » et leur a projeté une vidéo sur l’industrie des œufs, de la viande et du lait, séance enregistrée puis projetée à la télévision, avec une séquence montrant les résidents fondant en larmes. Yoram Zack, directeur de la production, a prononcé un discours après sa victoire : « Il y a cent neuf jours vous êtes entrée dans la maison pour accomplir une mission. Vous êtes venue ici pour servir de voix à ceux qui ne peuvent pas parler . »

Cette belle aventure n’est pas sans lien avec le fait que le gouvernement israélien a choisi de faire des biotechnologies (notamment dans le domaine agricole) un secteur de pointe, avec la fondation de plus 1 350 firmes, dont 612 créées depuis 2007, et qui mobilisent 20 % du total des investissements. Un exemple : la start-up SuperMeat commercialise une viande vegan friendly, grâce à un blanc de poulet issu de cultures cellulaires, les cellules sont prélevées par biopsie puis cultivées industriellement en laboratoire, elles se nourrissent d’acides aminés d’origine végétale et de glucose. L’association L214 a relayé l’appel aux dons à SuperMeat sur Facebook. Le professeur Yaakov Nahmias, cofondateur et directeur de recherche de SuperMeat, est aussi directeur du Grass Center for Bioengineering de l’Université hébraïque de Jérusalem et membre du Broad Institute de Harvard et du Massachusetts Institute of Technology (MIT). Ces projets sont soutenus par des organisations comme l’ONG A Well-fed World (Un monde bien nourri) qui distribue de l’alimentation végane aux nécessiteux. Cette ONG travaille avec le Fonds international pour l’Afrique afin de généraliser des repas scolaires strictement végétariens (Éthiopie). La Modern Agriculture Foundation et l’université de Tel-Aviv ont lancé, en 2014, un projet de viande de poulet cultivée, sous la direction d’Amit Gefen, un des principaux experts mondiaux en ingénierie tissulaire. La firme Jet-Eat vient de lancer la première imprimante alimentaire 3D végane…au monde.

Cette belle aventure n’est pas non plus sans lien avec la possibilité que donne le vegan-washing de laver plus blanc l’Etat d’Israël et sa politique de colonisation.

Gary Yourofsky, le meilleur VRP végan en Israël

Le militant étasunien Gary Yourofsky est l’un des nouveaux visages du véganisme israélien. Sa vidéo a été visionnée par plus d’un million d’habitants sur une population de huit millions, ses conférences font le plein et attirent l’élite de la société y compris des politiques comme Tzipi Livni (ancienne agente du Mossad, ancienne députée, elle vient d’abandonner la politique) … à tel point que la presse se demandait si Netanyaou n’irait pas la prochaine fois dans le cadre de sa stratégie assister à une conférence de Yourofsky. Gary Yourofsky ne recycle pas seulement les plus vieux clichés du végétarisme, l’humanité serait herbivore, toutes les maladies majeures seraient dues à la consommation carnée, car il se veut aussi ouvertement misanthrope et « dérape » souvent : « Au fond de moi, j’espère sincèrement que l’oppression, la torture et le meurtre se retournent dix fois contre les hommes qui s’en moquent ! Je souhaite que des pères tirent accidentellement sur leurs fils à l’occasion des parties de chasse, pendant que les carnivores succombent lentement à des crises cardiaques. Que chaque femme emmitouflée dans la fourrure doive endurer un viol si brutal qu’elle en soit marquée à vie. Et que chaque homme couvert de fourrure se fasse sodomiser si violemment que ses organes internes en soient détruits. Que chaque cowboy et chaque matador soit encorné jusqu’à la mort, que les tortionnaires du cirque se fassent piétiner par des éléphants et lacérer par des tigres . » Gary Yourofsky a pris position également en faveur d’Israël contre la Palestine : « Alors que les Israéliens sont dans un processus de destruction des industries de viande, de produits laitiers et d’œufs – ce qui amènera à l’éradication des camps de concentration pour les animaux, les Palestiniens et leurs sympathisants “droitdelhommistes”, psychotiques, sont en train de construire encore plus de camps pour les animaux ! […] Les Palestiniens sont le problème. C’est le groupe de personnes le plus psychotique du monde . »

Cette position n’est malheureusement pas isolée. Eyal Megged appelle Netanyahou à faire d’Israël la terre des droits des animaux plutôt que de chercher inutilement une paix impossible avec les Palestiniens . Aeyal Gross, professeur israélien de droit international, s’insurge : « Le végétarisme devient un outil pour améliorer l’image des forces de défense israélienne, ou celle d’Israël dans son ensemble […] À Tel-Aviv aujourd’hui, il est beaucoup plus facile de trouver de la nourriture dont la préparation n’a pas impliqué l’exploitation des animaux que de trouver une nourriture dont la production n’a pas entraîné l’oppression et le déracinement d’autres êtres humains ». Le mouvement palestinien de défense des animaux dénonce Israël comme le premier pays du monde à faire du vegan-washing (blanchiment de l’image par le véganisme comme d’autres font du green-washing alors qu’ils bousillent la planète). On peut lire sur le site de Palestinian Animal League la mise en garde suivante : « Israël utilise le vegan washing pour couvrir les dégâts causés aux vies palestiniennes et au véganisme en Palestine, et obtient maintenant le soutien international de végétaliens bien connus, qui sont intentionnellement ou involontairement des outils dans le jeu de vegan washing du « paradis végétarien ». Les Palestiniens dénoncent ainsi le rôle d’institutions de propagande comme Vibe Israël qui invite d’éminents blogueurs végétaliens à visiter « l’empire végan appelé Israël ». Le mouvement palestinien accuse aussi Binthnight Israël, une association de défense d’Israël auprès des juifs du monde entier, d’avoir ajouté à son programme « Israël pour les végans »… Les palestiniens rappellent que la plus grande partie des productions véganes est réalisée dans les colonies israéliennes illégales à l’intérieur des territoires palestiniens. Le gouvernement israélien, et notamment, son armée communique sur « Tsahal, l’armée la plus vegane au monde… », de là à soutenir qu’elle fait une guerre propre, le passage est souvent étroit).

Cette propagande consistant à utiliser le véganisme pour légitimer la politique d’Israël fonctionne à plein au sein des multiples relais communautaires. Le JForum.fr (portail juif francophone) a ouvert un Forum sur « Israël, terre promise des végans ». Infos-Israël.News ajoute qu’Israël, paradis pour les végétariens mérite le détour et le soutien actif… L’association végétarienne de France titre « Ici, il fait bon être végé ! » et intègre Tel-Aviv « nation végane selon le Ministère du tourisme » dans les lieux de vacances de tout bon végan. Tribune Juive se fait l’écho cependant du débat qui secoue la communauté.

Israël champion du vegan-washing ?

Jérôme Segal nous aide à comprendre les raisons du véganisme israélien. Il y voit déjà une idéologie de substitution pour une gauche orpheline de victoires. Il cite le rôle des juifs, comme Peter Singer et Henry Spira, dans la naissance du véganisme. Il prolonge, également l’analyse de Jean Stern, selon lequel le pinkwashing était une stratégie politique visant à promouvoir Tel-Aviv comme capitale mondiale de la tolérance envers les minorités sexuelles dans le seul but de présenter le pays autrement que comme un Etat épinglé par des associations humanitaires pour ses manquements aux droits humains. Jérôme Segal parle donc du vegan-washing comme d’une stratégie délibérée servant les intérêts militaristes, colonialistes, économiques de l’Etat israélien. Le journaliste Gidéon Levy (éditorialiste au quotidien Haaretz) explique que le véganisme permet de mieux camoufler ce qui se passe en Cisjordanie. La gauche israélienne a tenté naturellement de surfer sur ce courant végan (comme certains dirigeants politiques de la gauche française le font encore). Conséquence : la gauche est de plus en plus marginalisée en Israël, au point que le seul parti qui ose encore se dire de gauche aujourd’hui, Meretz, n’a obtenu que 3,6 % des suffrages en avril 2019. Ce n’est pas pourtant faute d’avoir fait des efforts, puisque Tamar Zandberg, député du Meretz, est l’organisateur de la journée végane, au sein même de la Knesset, réunissant tous les députés…

La gauche et les milieux écologistes israéliens ne parviendront à retrouver une parole forte qu’en se portant à la défense de l’élevage paysan israélien et palestinien.

Paul Ariès Auteur de la Lettre ouverte aux mangeurs de viandes qui souhaitent le rester sans culpabiliser (Larousse)

Original : https://www.legrandsoir.info/les-ve…

6 Messages de forum

  • Un exemple : la start-up SuperMeat commercialise une viande vegan friendly, grâce à un blanc de poulet issu de cultures cellulaires, les cellules sont prélevées par biopsie puis cultivées industriellement en laboratoire, elles se nourrissent d’acides aminés d’origine végétale et de glucose

    Résultat, cela donne du blanc de poulet, donc de la viande / oui ou non ? mais cultivée hors sol (hors poulet) sur une sorte de paillasse de laboratoire industrielle.

    Est-ce que les nouvelles technologies ne remplacent jamais les anciennes ?

    La machine à vapeur (et son importance majeure lors de la révolution industrielle) est-elle encore utilisée de nos jours ?https://fr.wikipedia.org/wiki/Machi…

    Le tube cathodique est-il encore utilisé de nos jours ?https://fr.wikipedia.org/wiki/Tube_…

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    • Le tube cathodique est encore utilisé, c’est sûr. Parce que bien plus rapides à réagir que les nouveaux écrans ils donnent un net avantage à ceux qui jouent à certains jeux sur les ordinateurs.

      En plus, ils ont un codage des couleurs en 32 bits, alors que les nouveaux écrans ont un codage en 24 bits seulement.

      Et d’une façon générale, les amplis à tubes restent de bien meilleures qualité que les amplis à transistors.

      Et aussi, les disques vinyls reviennent car de meilleurs qualité aussi que les CD.

      Quant à la machine à vapeur certains trains fantaisie l’utilisent encore

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      • Des tubes pour l’ampli de ma guitare électrique…
        Pour la disto, transistors ou lampes ? Wild thing…les lampes, tout à fond et chaud devant…

        En diffusion sonore, certains audiophiles trouvent que les tubes électroniques permettent une qualité de son supérieure aux systèmes à transistors… D’autres affirment par contre que les tubes électroniques n’apportent rien et qu’ils ne représentent plus aujourd’hui qu’un argument commercial. Il est toutefois peu probable qu’ils disparaissent, vu l’intérêt majeur que leur portent certains amateurs, musiciens et techniciens, par exemple pour les amplificateurs de guitare électrique,utilisés dans des conditions de surcharge et de distorsion dépassant leur gamme utile, reproduiraient mieux les harmoniques que leurs équivalents à transistors…

        https://fr.wikipedia.org/wiki/Tube_…
        https://fr.wikipedia.org/wiki/Ampli…

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    • Je connais même des agriculteurs qui plantent encore leurs graines à la main. Cela leur donne un double avantage sur leurs voisins : 1) ils ont une production très diversifiée et plus bio que le bio (0 produit chimique contrairement au bio qui n’est qu’une norme remplie d’exceptions) qui leur permet de toucher une clientèle très vaste allant de l’habitant aux meilleures tables de la région en passant par quelques grandes surfaces, 2) ils n’ont pas la banque à rembourser. Résultat, même s’ils ne sont pas riches, ils s’en sortent mieux que la plupart de leurs collègues.

      De même le photovoltaïque n’a remplacé aucune autre source d’énergie, c’est juste une source d’énergie de plus dont la fabrication nécessite une filière extractiviste et industrielle mondialisée de plus, et qui sert comme les autres à alimenter des gadgets à l’obsolescence programmée dont la fabrication, etc, etc, on n’en sort pas de toute cette société industrielle mortifère et guerrière qui nique le vivant.

      Sans compter que la catastrophe industrielle est aussi sociale car le travail industriel est hautement hiérarchisé. De l’actionnaire à l’esclave au fond d’une mine, il y a toute une hiérarchie du travail très complexe et très poussée qui vient renforcer les hiérarchies préexistantes de la richesse et du pouvoir. Rien que ceci suffit à prouver que la gauche, dès qu’elle n’est pas clairement et fondamentalement antiproductivisme, n’est qu’un grand bal de l’amicale des faux-culs, le comble de l’hypocrisie revenant à certains groupes qui, profitant de la crédulité de leur électorat, se disent à la fois anticapitaliste et productiviste, et qui ne nous expliquent jamais comment, sans le capital, ils vont faire pour construire leur sacro-saint productivisme industriel. Comme la droite du capital, ces gens-là ne connaissent qu’un seul refrain : Notre mode de vie n’est pas négociable.

      Vive le vivant ! Vive la résistance !

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  • Le véganisme fait partie du puritanisme. Le sionisme et le puritanisme ont été inventés simultanément par l’Anglo-saxon Cromwell.

    Le puritanisme veut nous priver de tous les plaisirs : fumer, boire, manger de la viande, baiser (prostitution interdite)… Etc. Par contre, il veut nous faire travailler le plus possible. "Travailler" vient du latin "Tripalium" qui est un instrument de torture à trois pieux.

    Le sionisme, c’est la justification d’Israël.

    Sionisme et puritanisme sont au fond une seule et même idéologie, puisque sortie simultanément du même cerveau malade : celui de Cromwell.

    A+
    do
    http://mai68.org

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