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Mort aux rats - Une connerie racontée par les abrutis vegan pour nous dégoûter de manger de la viande

mercredi 22 mai 2019, par visiteur (Date de rédaction antérieure : 25 mai 2019).

Ces crétins osent prétendre que les animaux sont nourris au dernier moment avec de la mort aux rats afin que la viande soit gorgée de sang peu avant la mise à mort, et donc lors de la consommation. Et qu’on mange donc de la viande empoisonnée. C’est évidemment un gros mensonge, car ça ne passerait bien sûr pas le contrôle sanitaire.

Quand on voit comment ils ont fait chier l’entreprise Spanghero parce que de la viande de cheval avait été utilisée à la place de la viande de boeuf, alors que c’était pratiquement indétectable (sauf analyse ADN) et qu’en plus la viande du cheval est encore plus saine que celle du boeuf. Il est évident qu’à côté de ça, la mort aux rats est infiniment plus facile à détecter par le contrôle sanitaire.

23 Messages de forum

  • De plus la viande "gorgée" de sang a un goût épouvantable, c’est pour ça qu’on suspend les animaux la tête en bas, pour les vider le plus possible…

  • C’est vrai pour les lapins ; mais, est-ce vrai pour le boeuf, dont on aime tant manger la viande saignante ?

  • Je pense que ce qui déchaîne les passions est que la chasse est une activité liée à la violence et que le problème de la violence est traité d’une façon totalement dévoyée dans notre société. La droite applaudit quand la gauche, au lieu d’exiger que l’état montre l’exemple et désarme armées, polices et services secrets, considère que la seule forme légitime d’action, dans une société hyper violente où l’état n’a de cesse de montrer le pire exemple possible, est la non-violence.

    Quand à la chasse, c’est historiquement une activité où la violence humaine est mise au service de la communauté car à moins de manger des charognes, il fallait bien chasser pour pouvoir manger de la viande. Cette viande était partagée par l’ensemble de la communauté et les parties restantes étaient toute utilisées pour faire différents objets d’usage courant comme des vêtements, des pointes de flèches ou des bijoux. Aujourd’hui la chasse est devenu une industrie, le chasseur, à part quelques très rares exceptions qui fabriquent encore eux-mêmes leurs armes et leurs pièges, sont entièrement dépendants de technologies industrielles autoritaires (autoritaires car ils ne les maîtrisent pas et qu’ainsi elles contribuent, comme toute technologie industrielle, à asservir la planète et tous ses habitants ainsi qu’à détruire le vivant à toute vitesse). C’est donc devenu une activité industrielle comme tant d’autres et ce n’est pas cela qui libérera qui que ce soit, bien au contraire.

    Le seul coté positif que je peux voir à la chasse est que le chasseur est armé, et donc mieux à même de se défendre contre l’état que les citoyens non armés. Mais même là, je trouve le combat pour la liberté de posséder des armes secondaire, le principal étant d’exiger que les états montrent l’exemple en matière de non violence et de les désarmer. De plus je ne pense pas que l’attaquer frontalement soit la solution car les états à ce petit jeu de la violence dispose d’armes inaccessibles aux citoyens. Avoir un fusil peut faire joli dans une discussion mais face à un tank, ça ne sert à rien. Tout comme ce n’est pas de jouer contre la banque en s’acharnant à vouloir combattre le capitalisme. Pour comprendre ça, il faudrait déjà que la gauche abandonne son productivisme hiérarchisé car servant à construire des technologies autoritaires que seuls ceux d’en-haut, les actionnaires dans leur tour d’ivoire, maîtrisent. Elle pourrait alors cesser de collaborer et entrer en résistance.

    Vive la résistance !
    Vive le vivant ! notre seul allié objectif !

  • Quand aux véganes, ils sont en train de permettre aux capitalistes de développer une nouvelle filière d’exploitation industrielle, celle de la malbouffe végane vendue en grande surface. Comme les jeunes pour le climat ou ceux d’extinction-rebellion, comme avant eux les militants écolos de Mai 68, ils sont naïfs et inexpérimentés dans le sens que même s’ils se rendent compte avec raison qu’ils n’ont pas d’avenir (l’extermination du vivant par le mode de vie industriel le prouve), ils ne se rendent pas compte qu’ils sont manipulés dés le premier jour par des intérêts qui les dépassent et que l’ensemble de leurs solutions ne sont que du greenwashing qui ne fait que contribuer aux problèmes qu’ils combattent. Cela promet des lendemains qui chantent le jour où ils auront compris que la seule alternative offerte par notre société est collaboration ou résistance.

    Vive la résistance !
    Vive le vivant !

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