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Task-Force - 7 juin 2017 - À bas la macro-dictature !

jeudi 8 juin 2017, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 7 juin 2017).

Macron se dote d’une task force soit-disant "antiterroriste"

Mais pour lui, les "terroristes", en réalité, c’est nous les contestateires, c’est nous, le prolétariat. Car c’est de nous qu’il a peur. Il nous prépare plein de saloperies et il a peur qu’on n’accepte pas ça comme ça et qu’on se révolte pour de vrai.

Et puis, quel langage, on est en France, pas en Amérique. Il ne pourrait pas parler français ?


La France se dote d’une task force antiterrorisme

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN18Y14G-OFRTP?sp=true

Mercredi 7 juin 2017 12h22

Photo d"archives/
REUTERS/Philippe Wojazer

PARIS (Reuters) - Le conseil de défense a validé mercredi la mise en place d’un centre national de contre-terrorisme chargé du "pilotage stratégique" de l’ensemble des services de renseignement, une promesse de campagne d’Emmanuel Macron qui s’était engagé à mettre en place une "task force anti-Daech".

Cette structure, qui sera placée sous l’autorité directe du chef de l’Etat, comptera une vingtaine de personnes - des représentants des différents services et des analystes - et fonctionnera 24h sur 24, a annoncé l’Elysée.

Intégrée au sein de l’actuelle coordination nationale du renseignement (CNR), elle sera dirigée par Pierre de Bousquet de Florian, président de Civipol, société de conseil et de services liée au ministère de l’Intérieur, et ancien numéro un de la DST.

"Le conseil de défense a validé un projet de décret qui crée le centre national de contre terrorisme, c’est le terme officiel pour ce qui a longtemps été appelé la task force" et qui sera spécifiquement dédié à la lutte contre le terrorisme, a indiqué l’Elysée.

Le chef de l’Etat a souhaité que l’activité des différents services impliqués dans cette lutte "fasse l’objet d’un pilotage stratégique" afin d’avoir à tout moment une vision globale et consolidée de l’état de la menace."

Il s’agit également de "s’assurer que les services de renseignement coopèrent véritablement", souligne-t-on dans l’entourage d’Emmanuel Macron, où l’on insiste sur le fait que la task force ne sera en aucun cas chargée de la conduite opérationnelle des services.

La mise en place de cette structure survient dans un contexte de menace jugée élevée par les autorités françaises qui souhaitent prolonger l’état d’urgence, en place depuis novembre 2015 et qui arrive à échéance en juillet.

Le pays est secoué depuis deux ans par une série d’attentats djihadistes sans précédent sur son sol qui ont fait plus de 230 morts et des centaines de blessés.

Le conseil de défense a également abordé la question des nominations au sein des différents services de renseignement.

Laurent Nunez, actuel préfet de police des Bouches-du-Rhône, devrait être nommé lors du conseil des ministres du 21 juin, à la tête de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).

Bernard Emié, actuel ambassadeur de France en Algérie, devrait lui être nommé à la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).

(Marine Pennetier, édité par Yves Clarisse)

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