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France - 11 juin 2017 - L’abstention sauve les législatives - Rendez-vous dans la rue !

lundi 12 juin 2017, par do

Vous les avez écoutés, à la télé, comme l’abstention leur fait peur ! Ils n’auront pas leur opposition au parlement, mais dans la rue ! c’est ça qui leur fait peur.

Une abstention de plus de 51%. "C’est un échec", a concédé le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner.

Macron aura la majorité absolue ; mais, "Il n’y aura pas d’uniformité, par contre il faut de la cohérence" a dit Christophe Castaner, qui a précisé que les nouveaux venus de LREM, souvent "néophytes" en politique, suivraient un séminaire à la suite des législatives. Autrement dit, il va les envoyer en camp de rééducation afin qu’ils deviennent bien obéissants.

"Il ne faut pas avoir peur de la discipline, mais ça ne veut pas dire que vous êtes godillots", leur a-t-il déclaré. Autrement dit : « il vous faudra être des godillots tout en prétendant à la face du monde que vous êtes libres » !


Le gouvernement répondra à la France qui s’est abstenue, dit Castaner

http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN1930P1-OFRTP?sp=true

Lundi 12 juin 2017 09h54

L’abstention
Photo prise le 11 juin 2017
REUTERS/Eric Gaillard

PARIS (Reuters) - L’abstention record qui a marqué le premier tour des élections législatives est "un échec" et le gouvernement s’attachera à apporter des "réponses au quotidien" aux Français qui ont ainsi exprimé leur défiance, a déclaré lundi Christophe Castaner.

Le parti d’Emmanuel Macron, La République en Marche, s’achemine vers la majorité absolue à l’Assemblée nationale dimanche prochain mais cette performance historique est fragilisée par une abstention de plus de 51%.

"C’est un échec de cette élection", a concédé sur France 2 le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner.

"Il faut l’entendre, il faut redonner confiance", a-t-il souligné.

"J’appelle tous les candidats, quel que soit leur parti politique, à se mobiliser pour donner envie, et ensuite c’est notre responsabilité gouvernementale, celle du président, celle du Premier ministre, de redonner confiance dans l’élection", a-t-il ajouté.

Christophe Castaner a affirmé que l’exécutif apporterait des "réponses au quotidien".

Il a assuré que la chambre orange qui se dessine ne serait pas une assemblée de "godillots" mais qu’elle contribuerait à la "cohérence" des réformes promises par le chef de l’Etat pour ne pas retomber dans les affres du mandat de François Hollande, entravé par les "frondeurs" socialistes.

"Il n’y aura pas d’uniformité, par contre il faut de la cohérence, une fois qu’une décision politique est prise, elle doit être respectée", a dit Christophe Castaner, précisant que les nouveaux venus de LREM, souvent néophytes en politique, suivraient un séminaire à la suite des législatives.

"Il ne faut pas avoir peur de la discipline, mais ça ne veut pas dire que vous êtes godillots", a-t-il déclaré.

"On ne veut pas une majorité pour être tranquilles, on veut une majorité pour réformer."

PAS DE GROUPE "GODILLOT"

Sur RTL, Benjamin Griveaux, porte-parole de LREM, a estimé que "le meilleur moyen pour raccrocher cette France périphérique, cette France des oubliés", était de "mettre en oeuvre rapidement les éléments sur le marché du travail, la réforme du travail, l’assurance-chômage et sur l’éducation."

"C’est comme ça qu’on rattrapera cette France", a-t-il jugé.

Jean-Paul Delevoye, président de la commission d’investiture de LREM pour les élections législatives, a mis en regard les électeurs "qui sont sur la réserve et qui s’interrogent" et eux qui ont envoyé "le message d’une extraordinaire mobilisation".

"Nous mesurons la responsabilité qui est la nôtre. Nous n’oublions pas les 23% du premier tour, les 50% des Français qui étaient en colère ou en attente. On n’oublie pas non plus les 50% de taux de participation, donc des Françaises et des Français qui sont sur la réserve et qui s’interrogent", a-t-il commenté sur Europe 1.

"Mais on a reçu aussi le message d’une extraordinaire mobilisation", a-t-il nuancé.

Jean-Paul Delevoye a lui aussi promis que le débat parlementaire ne serait pas muselé, comme s’en inquiètent Les Républicains et la gauche.

"Notre souci, c’est d’avoir des débats parlementaires, de nous enrichir de nos différences et de faire en sorte que ce ne soit pas un groupe godillot mais au contraire un groupe d’interpellation", a-t-il dit à propos des futurs élus LREM.

"Les ministres seront évalués", a-t-il rappelé. "Chaque député viendra apporter sa réalité du terrain."

"Nous allons redonner une culture du débat", a-t-il affirmé.

Sur franceinfo, la candidate LR Nathalie Kosciusko-Morizet, fortement menacée par le candidat LREM dans la 2e circonscription de Paris, historiquement acquise à la droite, a dit craindre que le débat ne se déplace à l’avenir "dans la rue".

"C’est un problème, parce que si le débat n’a pas lieu dans l’assemblée, il a lieu dans la rue. Parce que ce n’est plus une assemblée s’il n’y a pas de débat, c’est une chambre d’enregistrement", a-t-elle estimé.

(Sophie Louet)

Note du 12 juin 2017 à 19h10 : À la télé, ils viennent de dire que les électeurs de Macron de la présidentielle ne se sont pas abstenus lors de ce premier tour des législatives.

10 Messages de forum

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    51,42 %

    https://nanterrereseau.blogspot.fr/2017/06/5142.html

    Dimanche 11 juin 2017

    Législatives 2017 - France Entière

    Nombre % Inscrits % Votants
    Inscrits 43 030 256
    Abstentions 22 125 349 51,42
    Votants 20 904 907 48,58
    Blancs 330 050 0,77 1,58
    Nuls 152 666 0,35 0,73
    Exprimés 20 422 191 47,46 97,69

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  • Macron en passe d’obtenir une large majorité à l’Assemblée

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN1920VY-OFRTP?sp=true

    Lundi 12 juin 2017 02h43

    Macron
    Photo prise le 11 juin 2017
    REUTERS/Christophe Petit Tesson

    PARIS (Reuters) - Emmanuel Macron s’achemine vers une très large majorité à l’Assemblée nationale qui lui permettrait de mener ses réformes au pas de charge et sans constituer d’alliances toujours synonymes de compromis et de risques d’instabilité politique.

    A l’issue du premier tour des élections législatives marqué par un taux d’abstention record de plus de 51%, les instituts de sondage estiment que le mouvement du président et son allié, le MoDem, pourraient remporter plus de 400 sièges dimanche prochain, soit nettement plus que la majorité (289).

    Les Républicains et leurs alliés seraient la première force d’opposition, avec une centaine de députés, devant La France insoumise et le Parti communiste, puis le Front national et enfin le Parti socialiste et ses alliés.

    Selon les résultats définitifs communiqués par le ministère de l’Intérieur, l’alliance La République en marche-MoDem obtient 32,32% des voix, devant le bloc LR/UDI/Divers droite (21,56%), la France insoumise/PCF (13,74%), le FN (13,20%) et le PS et ses alliés (9,51%).

    Depuis 1981, tous les présidents ont obtenu une majorité lors des élections législatives suivant leur élection.

    S’ils transforment l’essai au second tour, Emmanuel Macron et le Premier ministre, Edouard Philippe, pourront, comme ils le souhaitent, mener rapidement des réformes contestées.

    "Le message des Français est sans ambiguïté (…) vous avez été des millions à confirmer votre attachement au projet de renouvellement, de rassemblement et de reconquête du président de la République", a dit Edouard Philippe, lors d’une déclaration à la presse.

    Pour le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, "les Français, ce soir, par leur vote, ont montré massivement leur volonté d’aller vite sur les sujets majeurs".

    NE PAS DONNER LES PLEINS POUVOIRS À MACRON

    La réforme du droit du travail, probablement la plus dangereuse pour le gouvernement, doit selon l’exécutif passer par des ordonnances et donc une loi d’habilitation. Le projet de loi doit être présenté au conseil des ministres le 28 juin et au Parlement durant l’été.

    Le chef de l’Etat et le gouvernement affronteraient également moins d’opposition à l’Assemblée pour le projet de loi sur le terrorisme et la sécurité, très critiqué par les principaux syndicats de magistrats.

    François Baroin, chef de file des Républicains pour les législatives, a lancé un appel aux électeurs, expliquant que "notre pays attend des pouvoirs équilibrés et non concentrés dans un seul et même parti".

    "Au deuxième tour, ne donnez pas et ne permettez pas que soient donnés les pleins pouvoirs au parti du président", a pour sa part demandé Jean-Luc Mélenchon.

    "Il n’y a pas de majorité dans ce pays pour détruire le Code du travail, réduire les libertés publiques, ni non plus pour l’irresponsabilité écologique, ni pour cajoler les riches, toutes choses qui figurent au programme du parti du président", a ajouté le chef de file de La France insoumise.

    Reconnaissant "le recul sans précédent de la gauche dans son ensemble et notamment du Parti socialiste", le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, lui-même battu, a mis en garde contre une majorité "quasiment sans opposition réelle" et une Assemblée "sans véritable pouvoir de contrôle, sans débat démocratique".

    "Une forte mobilisation doit pouvoir nous apporter la victoire dans plusieurs circonscriptions et ces victoires sont essentielles", a déclaré la présidente du FN, Marine Le Pen, qui est en position favorable en vue du second tour.

    LES SIX MINISTRES EN LICE ESPÈRENT RESTER AU GOUVERNEMENT

    Emmanuel Macron semble parallèlement pouvoir préserver au moins une partie de son gouvernement.

    Des six membres du gouvernement engagés pour les législatives, où une victoire s’impose pour éviter d’être écarté de l’équipe d’Edouard Philippe, tous ont de bonnes chances de l’emporter dimanche prochain.

    Bruno Le Maire (ministre de l’Economie), Richard Ferrand (ministre de la Cohésion des territoires) et Christophe Castaner (secrétaire d’Etat aux Relations avec le Parlement) sont en ballottage favorable. Marielle de Sarnez (Affaires européennes) et Mounir Mahjoubi (Numérique) ont eux aussi bon espoir d’être élus.

    Qualifiée pour le second tour, la ministre des Outre-Mer Annick Girardin a obtenu exactement le même nombre de voix qu’un autre candidat divers droite, Stéphane Lenormand.

    Edouard Philippe avait annoncé que l’usage selon lequel les perdants des législatives quittent le gouvernement serait appliqué. Il a par ailleurs dit que de nouvelles personnalités pourraient rejoindre le gouvernement après le second tour.

    Lors de la campagne présidentielle, Emmanuel Macron avait annoncé qu’il exigerait des députés élus sous son étiquette une discipline d’adhésion à ses réformes.

    Le taux d’abstention définitif était de 51,29%, soit le taux le plus haut pour un premier tour d’élections législatives depuis le début de la Ve République. Le précédent record d’abstention datait de 2012, avec 42,78%.

    L’ouverture de la XVe législature de la Ve République est fixée au mardi 27 juin à 15h00.

    (Jean-Baptiste Vey et Service France, édité par Julie Carriat)

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  • S&P plus optimiste pour la croissance après les élections

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN1930UB-OFRTP

    Lundi 12 juin 2017 10h51

    Standars&Poors
    Photo d"archives/
    REUTERS/Brendan McDermid

    PARIS (Reuters) - La perspective de gouvernements qui sortent renforcés des élections législatives en cours en France et à venir en Allemagne rend l’agence S&P plus optimiste pour la croissance dans l’Hexagone et la zone euro.

    "Les deux principaux pays de la zone euro devraient ressortir de 2017 renforcés sur le plan économique et politique. C’est énorme", a déclaré lundi Jean-Michel Six, chef économiste de l’agence de notation.

    "Il est vraisemblable qu’on va remonter nos prévisions pour la France et l’Europe", a-t-il ajouté lors d’un petit déjeuner de l’Ajef (Association des journalistes économiques et financiers).

    Jean-Michel Six estime que la prévision de croissance de S&P pour la France en 2017, actuellement de 1,5%, pourrait être relevée à 1,7%/1,8%.

    A l’inverse, l’économiste a indiqué que l’issue des législatives britanniques de jeudi, avec un parti conservateur vainqueur mais sans majorité absolue, aurait un impact négatif sur la croissance économique au Royaume Uni.

    "Pour les perspectives de croissance, il est certain que ça ne va pas du tout dans le bon sens", a-t-il dit, "cette instabilité nouvelle peut qu’affaiblir le climat des affaires et le moral des consommateurs."

    (Michel Rose, avec Yann Le Guernigou, édité par Yves Clarisse)

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  • Mélenchon en ballottage favorable à Marseille

    http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRKBN19217A-OFRTP?sp=true

    Lundi 12 juin 2017 10h51

    Mélenchon
    Photo prise le 11 mai 2017/
    REUTERS/Jean-Paul Pelissier

    Par Jean-François Rosnoblet

    MARSEILLE (Reuters) - Jean-Luc Mélenchon, dont le mouvement obtiendrait environ 11 % des suffrages au niveau national, se prépare un second tour plus tranquille dans la quatrième circonscription de Marseille où il se retrouve en ballottage favorable face à la candidate LREM Corinne Versini.

    Le leader de la France insoumise a terminé en tête dans cette circonscription traditionnellement ancrée à gauche, comme il l’avait fait pour le premier tour de la présidentielle, en obtenant plus de 33% des suffrages, soit dix points de mieux que la candidate de la majorité présidentielle.

    Ni le député PS sortant Patrick Mennucci, ni les candidates du Front national et des Républicains ne sont parvenus à se qualifier pour le second tour.

    Jean-Luc Mélenchon a lancé un appel aux électeurs du parti socialiste. "Ils devraient davantage se reconnaître dans ma candidature que dans celle de la représentante du Medef", a-t-il dit à la presse. "Je les appelle à venir m’aider, à faire exister une alternative à M. Macron".

    Quatrième homme de la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon a évoqué une "situation politique totalement instable et en trompe-l’oeil" et a appelé ses électeurs à ne pas "donner les pleins pouvoirs au parti du président" Emmanuel Macron.

    "C’était prévisible que l’on aurait une moindre mobilisation. Je suis conscient de la responsabilité que cela nous donne d’être à ce niveau", a-t-il affirmé.

    "OCÉAN D’ABSTENTION"

    Le score obtenu par la France insoumise au niveau national se révèle pourtant très en retrait des espoirs du mouvement nés du scrutin présidentiel, même s’il est supérieur aux 6,91% obtenus en 2012 par le Front de gauche.

    "On n’est pas aussi haut que ce qu’on devrait l’être. Cela n’enlève rien à la légitimité du résultat, même si c’est dans un océan d’abstention", a souligné l’eurodéputé, qui a ironisé sur les mauvais résultats du Parti socialiste qu’il avait annoncé vouloir remplacer.

    "Ce n’est pas moi qui les ai fait disparaître. C’est eux-mêmes par leur bêtise et les manquements à la parole donnée", a-t-il indiqué. "Il faut donc les remplacer, on ne va pas laisser la droite et M. Macron faire la vie de la politique du pays".

    Jean-Luc Mélenchon a également invité les électeurs à "ne jamais permettre l’élection d’un député du Front national", se disant confiant pour les candidats de son parti encore "présent dans des dizaines de circonscriptions au second tour".

    "Nous abordons cette semaine qui vient en grande confiance", a-t-il conclu. "Le niveau d’abstention est tel que c’est forcément une situation très instable, mais on voit quand même des lignes de force autour desquelles le futur peut s’organiser".

    (Edité par Elizabeth Pineau)

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  • Mélenchon gros con ! Hamon gros con ! Pas de pardon !

    23 avril 2017 : Si ces deux abrutis s’étaient entendus, c’est eux qui seraient au second tour, et qui auraient gagné les présidentielles. L’un président et l’autre premier ministre.

    Le premier gros con est Mélenchon ; car, s’il avait participé à la primaire de la gauche, comme les gens ont voté le plus à gauche possible, c’est lui, Mélenchon, qui aurait été désigné, et il n’aurait donc pas eu Hamon ou qui que ce soit d’autre du PS contre lui, et l’unité Mélenchon-Hamon aurait été toute faite autour du chef du Front de Gauche.

    Le deuxième gros con a été Mélenchon à nouveau ; car, au moment où Hamon venait d’être désigné par la primaire de la gauche, Hamon avait 18% et Mélenchon 11%, soit un total de 29%. Et ils auraient fait bien plus avec la dynamique que l’union aurait créé si Mélenchon s’était désisté en faveur d’Hamon. Ils étaient alors clairement gagnant de la présidentielle.

    Le troisième gros con est Hamon ; car, vers la fin, quand il a vu qu’il ferait bien moins que 10% alors que Mélenchon atteignait les 19%, il aurait fallu qu’il se désiste en faveur de Mélenchon, et la gauche aurait été au second tour.

    Mais, comme ces deux abrutis sont des gros cons, le second tour des présidentielles françaises 2017 va se jouer entre deux versions de la droite. L’extrême droite de Marine la Haine, et la droite hypocrite du menteur-manipulateur Macron, qui n’est autre qu’un agent de Rothschild.

    Il va donc de soit qu’il faut s’abstenir de voter au second tour, car on refuse de choisir entre la peste et le choléra.

    Par ailleurs, souvenons-nous de 2002 où Chirac avait été élu par 82% des voix, et en avait profité pour se comporter en véritable dictateur. J’espère que, cette fois-ci, la leçon aura été retenue et que Macron-Rothschild gagnera avec l’avance la plus réduite possible. Abstention, donc !

    Pas de pardon ? Ça veut dire abstention aussi aux législatives ! ou alors voter Lutte Ouvrière, qui est le seul parti électoral qui non seulement pratique la lutte de classe, mais aussi un anti-impérialisme sincère.

    Cliquer ici pour l’article et les commentaires

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  • EXACT MAIS ON NE SAUVE PAS LES LÉGISLATIVES CAMARADE ON LES COULE. CES ÉLECTIONS TRUQUÉES ET COULÉES C’EST LA VICTOIRE DE LARUE CONTRE L’HÉMICYCLE DES LARBINS POLITICIENS POURRIS FORMATER – ENRÉGIMENTER - AUX ORDRES

    RIEN À FAIRE AVEC LE CIRQUE ÉLECTORAL BOURGEOIS

    ROBERT BIBEAU HTTP ://WWW.LES7DUQUEBEC.COM

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  • Je crois qu’effectivement, ce qu’il faut préparer c’est la grève générale illimitée avec occupation des entreprises, des banques, des médias et des carrefours… alors que le pouvoir illégitime prépare les ordonnances, les lois anti-travailleurs et l’état d’urgence permanent (dixit Attali) …en attendant l’état de siège et les guerres sans fin.

    http://mai68.org/spip2/spip.php?article399

    Bruno

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  • Salut Do :-)

    OOOuiiii !!! il faut espérer ! Cordialement

    Marcel

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  • Mais je crains que ce soit ce qu’ils cherchent. Et avec le cerveau mou des crs, il va y avoir des dégâts.

    Marcel

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