Second évènement sportif de l’actualité française, le tour de France est, après le foot, une énorme opération "spectaculaire - marchande".
Tous les présidents franchouillards sont avides de s’y montrer. Plus chanceux que ses prédécesseurs, MACRON, s’est pointé sur une étape où les cyclistes français se sont couverts de gloire avec un vainqueur d’étape pas vraiment prévisible et un vice vainqueur déjà maillot jaune dont l’exploit était improbable hier encore.
Les commentateurs les plus avertis ont exprimé leur surprise et ont parfois dit que la médiocrité du peloton est incroyable.
Les coureurs cyclistes ne sont des humains que secondairement. Ils sont des panneaux publicitaires précédés et suivis par une "caravane" qui distribue des cadeaux aux spectateurs attroupés au bord de la route qui s’ennuient longuement avant d’avoir le plaisir de reconnaître leurs idoles. Le cerveau de ces consommateurs là est ultra disponible.