En effet, tu ne risques pas de mourir de ton cancer. Aujourd’hui, pour un certain nombre de personnes sur cette planète, la vraie tumeur c’est l’OTAN.
C’est de ça que tu meurs rapidement de nos jours, indépendamment de la pauvreté que l’UE répand comme une contagion économique venue de la crise grecque qui aurait mérité un bon "Grexit" comme traitement.
Peut-être comme l’explique dans cette vidéo « Annie Lacroix Riz » en fait rien n’a changé : https://www.youtube.com/watch?v=I_N…
En réalité, Il suffit de faire référence à l’époque des nazis pour constater que rien n’a changé, nous n’avons rien inventé de révolutionnaire, au mieux nous avons juste bêtement copié les nazis :
« La Guerre des nazis contre le cancer
Les médecins nazis commirent d’innombrables atrocités pour tenter de créer, selon le projet dément d’Hitler, la race allemande des seigneurs. Cependant, au cours de ses recherches, l’historien des sciences Robert Proctor a découvert que l’Allemagne nazie avait des décennies d’avance sur les autres nations dans la mise en place de réformes sanitaires que nous considérons aujourd’hui comme progressistes et socialement responsables.
Ainsi, médecins et gouvernement nazis entreprirent de lutter contre l’amiante, les radiations, les pesticides et les colorants alimentaires, tandis que, après la découverte d’un lien entre la consommation de tabac et le cancer du poumon, furent lancées de virulentes campagnes anti-tabac, accompagnées de diverses interdictions.
Toutes ces mesures s’appuyaient sur l’exemple du Führer lui-même, non fumeur et végétarien, dont le « corps sain » devait être un modèle pour la société entière.
Cette guerre contre le cancer ne faisait pas que s’en prendre à la maladie elle-même : elle était aussi une métaphore, dans la mesure où, pour les nazis, les juifs et autres « ennemis du peuple » étaient une tumeur qu’il fallait extirper du corps de l’Allemagne.
L’ouvrage de Proctor ne fait pas que révéler, grâce à des documents et des archives inexploités à e jour, un aspect inconnu et surprenant du nazisme, il pose aussi des questions fondamentales sur la science – un régime maléfique peut-il engendrer une « bonne science » ? – ou « l’activisme sanitaire » de nos propres sociétés.
Auteur de plusieurs ouvrages sur l’hygiénisme racial ou l’influence de la politique sur la lutte contre le cancer, Robert N. Proctor est professeur d’Histoire des Sciences à Pennsylvania State University (Etats-Unis) »
Robert N. Proctor. (1997)
https://www.akribeia.fr/539-la-guer…
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