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Manifestants tués en Irak : Bagdad accuse des agents provocateurs

vendredi 4 octobre 2019, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 4 octobre 2019).

Note de do : Il est en effet très possible que les personnes qui ont tiré dans la foule soient des agents de l’impérialisme US qui se faisaient passer pour des policiers irakiens. Les Américains ont déjà fait le coup en Ukraine et en Syrie. Il y a des preuves que je vous livre sous l’article. Comme on ne peut pas dire que l’Irak soit au service des Amerloques, bien au contraire, ils ont peut-être récidivé pour provoquer une révolution de couleur.

Manifestants tués en Irak : critiquée, Bagdad accuse des "saboteurs"

https://assawra.blogspot.com/2019/1…

2 octobre 2019

Aladin

L’ONU et le président irakien ont appelé mercredi 1er octobre 2019 les forces de l’ordre à la retenue après la mort la veille de deux manifestants dans des violences en Irak, que le Premier ministre et les forces de sécurité ont imputé à des "saboteurs".

Mardi, pour la première fois depuis la mise en place du gouvernement d’Adel Abdel Mahdi, il y a quasiment un an, plus d’un millier de manifestants se sont rassemblés à Bagdad et dans plusieurs villes du sud.

Cette contestation sociale est inédite, car elle n’est pas née à l’appel d’un parti ou d’un leader religieux, mais a réuni des mécontents qui protestent tant contre l’indigence des services publics que contre le chômage galopant ou la récente mise à l’écart d’un général populaire.

Les manifestations ont été dispersées par la force, d’abord avec des canons à eau, des grenades lacrymogènes et des balles en caoutchouc. Puis, dans la capitale, des tirs à balles réelles des forces de l’ordre ont résonné pendant des heures dans l’ensemble du centre, où se trouve la place Tahrir, départ traditionnel des cortèges.

Deux manifestants ont été tués et 200 personnes blessées, en grande majorité des civils, selon des responsables de la Santé.

Mercredi matin, les forces antiémeute sont massivement déployées aux abords de la place, dont tous les accès ont été bloqués, a constaté un photographe de l’AFP.

Dans la nuit, alors que les proches du manifestant tué à Bagdad l’enterraient dans son quartier de Sadr City, remuant bastion chiite, le porte-parole du ministère de l’Intérieur Saad Maan a dénoncé "des saboteurs" cherchant à "propager la violence".

Peu après, le président Barham Saleh a répliqué sur Twitter que "manifester pacifiquement" était "un droit constitutionnel". "Et les forces de l’ordre sont là pour protéger les droits des citoyens", a-t-il souligné.

"Nos jeunes veulent des réformes et du travail, c’est notre devoir de satisfaire ces demandes légitimes", a encore écrit M. Saleh, alors que le pays est sorti fin 2017 de sa dernière guerre, celle contre le groupe Etat islamique (EI), avec une économie exsangue et un chômage de 25% parmi les jeunes.

De son côté, la représentante de l’ONU en Irak, Jeanine Hennis-Plasschaert, s’est dite "très inquiète" et a exhorté "les autorités à la retenue".

La Commission des droits de l’Homme du Parlement a elle dénoncé une "répression" qui constitue "une faute" et dont "les responsables devront rendre des comptes". Le patron du Parlement a réclamé une enquête, de même que Moqtada Sadr, très influent leader chiite devenu héraut des anticorruption. A l’inverse, M. Abdel Mahdi a salué "la grande responsabilité et la retenue des forces armées" face à "des agresseurs (…) ayant délibérément fait des victimes parmi les manifestants innocents".

Ce communiqué a suscité des commentaires enflammés sur les réseaux sociaux mercredi matin, alors que des politiciens ont apporté leur soutien aux manifestants.

Tirs en l’air à balles réelles pour disperser de nouvelles manifestations Les forces de l’ordre irakiennes ont tiré mercredi en l’air à balles réelles pour disperser de nouvelles manifestations dans deux quartiers de Bagdad, alors que le président les avaient exhortées à la retenue après la mort de deux manifestants la veille. Des balles ont sifflé autour des rassemblements dans les quartiers d’Al-Chaab, dans le nord de Bagdad, et de Zaafaraniya, dans le sud de la capitale, a constaté un journaliste de l’AFP.

Ukraine - 9 mars 2014 - Les tireurs d’élite de Kiev étaient à la solde de l’opposition à Yanukovich (vidéos 10’51 et 2’54)

http://mai68.org/spip/spip.php?article6891

Estonian Foreign Minister Urmas Paet and Catherine Ashton

Hacked phone February 26, 2014

Cliquer sur l’image pour voir la vidéo.

Dans la conversation publiée sur le net entre la haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères Catherine Ashton et le ministre estonien des Affaires étrangères Urmas Paet, ce dernier dévoile le lien entre les tireurs d’élite du Maïdan et les leaders de l’opposition. Le ministère estonien des Affaires étrangères (MAE) a confirmé l’authenticité de la conversation après sa publication.

Note de do : La technique des tireurs embusqués pour faire croire à une répression meurtrière de la part de l’État en place avait déjà été utilisée en Syrie. L’autre vidéo est un extrait du journal Russia today.

Cliquer ici pour l’autre vidéo, l’article et les commentaires

Comment la CIA provoque des "révolutions" dans les pays qu’elle veut soumettre

L’exemple syrien :

http://mai68.org/spip/spip.php?article2532

Extrait :

Le principe des révolutions colorées montées par l’impérialisme américano-sioniste consiste à utiliser la violence quand nécessaire de façon à ce que le régime qu’ils veulent détruire soit obligé d’y répondre. Dans leur stratégie, il faut à tout prix qu’il y ait un mort dans le camp des "insurgés" afin de crier à l’assassin, à la dictature, etc..

Et, pour obtenir au moins un mort dans le camp des "insurgés", ils n’auront aucun scrupule, si et seulement si c’est nécessaire, à utiliser des tireurs d’élite masqués et embusqués qui feront feu sur la foule. Tireurs d’élite qu’ils feront ensuite passer pour des agents de l’État qu’ils veulent détruire.

Syrie - 25 juillet 2011 - Ce tireur embusqué ne peut être qu’un agent américano-sioniste (vidéo 1’52) :

http://mai68.org/spip/spip.php?article3104

Les revolutions colorées expliquées par un agent de l’imperialisme, John Perkins (vidéo 20’)

http://mai68.org/spip/spip.php?article910

Pour comprendre ce qu’il se passe actuellement en syrie !

John Perkins, confessions d’un corrupteur de nations.

Cliquer ici pour l’article les commentaires

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