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Le pouvoir se sert du coronavirus

mercredi 4 mars 2020, par do (Date de rédaction antérieure : 3 mars 2020).

Le pouvoir se sert du coronavirus pour montrer qu’il est indispensable, et pour faire "l’union sacrée"

Mais, le pouvoir est-il vraiment indispensable pour nous protéger du coronavirus ?

Imaginons que le coronavirus soit vraiment très dangereux ; alors, le pouvoir a été en dessous de tout en ne respectant pas le confinement de Wuhan en Chine. En effet, en rapatriant des milliers de Français de Wuhan, il a forcément importé le coronavirus chez nous.

Une autre preuve de l’incompétence apparente du pouvoir, c’est qu’interdire les rassemblements de plus de 5000 personnes ne sert quasiment à rien. Cela ne peut que ralentir à peine la propagation du coronavirus, et le pouvoir le sait très bien…

Mais, en ces temps de contestation de la contre-réforme des retraites, le pouvoir veut se servir du coronavirus pour interdire les manifestations.

Le coronavirus joue le même rôle que le terrorisme sous faux drapeau. En nous matraquant sans arrêt aux "infos" de la télé, en nous faisant croire qu’on va tous mourir, le pouvoir cherche à imposer l’union sacrée, c’est-à-dire la collaboration de classe.

Si, pour nous protéger du coronavirus, le pouvoir est nul ; par contre pour provoquer l’union sacrée, le pouvoir est très fort !

2 Messages de forum

  • 1000 personnes dans un TGV, 300/400 dans un avion pendant plusieurs heures, dans une salle de cinéma, un théâtre, un restaurant, c’est en dessous de 5000 donc ça compte pas. 5000 c’est juste que ça fait beaucoup à la fois, surtout juste avant les élections.

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  • Le pouvoir se sert du coronavirus 4 mars 2020 13:44, par Himalove

    Policer le mouvement des individus comme en prison. L’arme du corona virus contre les peuples.

    J’en veux pour preuve que sur la carte politique de la pandémie que nous propose l’OMS figurent à peine l’Afrique et l’Union indienne qui compte plus d’un milliard d’individus laquelle partage plus de 4 000 kilomètres de frontières terrestres avec la Chine (en comptant le Népal).

    L’Inde en 1994 avait connu à Surat une épidémie de peste dont le gouvernement avait réussi à cacher l’ampleur. Annoncer une épidémie à une multitude est un exercice périlleux…

    Choisir et faire de cette épidémie une cause nationale et internationale est une décision éminemment politique dont la finalité n’est pas exactement ce que nous présentent les décideurs de l’économie-politique de la Planète.

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