En cas d’aggravation de la situation sanitaire, un report du second tour rendrait le premier caduc et obligerait donc les électeurs à revoter pour les deux tours.
La situation est inédite et le chef de l’Etat peut aussi décréter l’état d’urgence, qui peut être déclenché en cas de « calamité publique », telle qu’une épidémie. Un deuxième décret serait alors nécessaire pour reporter le second tour des municipales.
https://www.lemonde.fr/politique/ar…
On parie quoi ?