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Chine : une boutique Hermès réalise 2,7 M $ au premier jour de déconfinement

mercredi 15 avril 2020, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 15 avril 2020).

https://siecledigital.fr/2020/04/14…

Tout cela n’aurait donc servi à rien ???

10 Messages de forum

  • Bien sûr que non que tout ceci ne sert à rien, si ce n’est à faire de nous, CON-finés de vrais cocus : des CONS infinis ! Si vous croyez que l’appétit de capitalisme des Chinois, après tout libéré depuis très peu de temps, va s’arrêter à cause d’une grosse grippe, vous rêvez dur ! C’est le peuple le plus commerçant du monde… Si on retournait dans nos forêts de Brocéliande, come j’entends tous les naïfs stupides qui pullulent avec le retour du printemps, nosu serions bouffés tôt cru par les capitaux des gros chats asiatiques, c’est tout. Devenir Indien ? Non merci. Non serviam !…

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    • Très très juste. Tous en marche vers la catastrophe bioclimatique camarades consommateurs !

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      • Peur du climat, peur du coronavirus, c’est la même chose, le pouvoir veut nous diriger par la peur.

        Les maîtres mots du pouvoir sont "Shock and awe", ce qui signifie "Choc et effroi" :

        http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

        C’est pourquoi, je vous dis :

        On s’en fout du climat !

        On s’en fout du coronavirus !

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        • qui dit climat qui déconne, dit aussi extinction des insectes et de toute la biosphère qui va avec (ce qui est scientifiquement prouvé). Absence de pollinisation dans un premier temps puis plus de fruits ni cultures assez rapidement. Passer une saison sans fruits ni céréales ça peut se concevoir mais sur le long terme ça semble assez compliqué. Mais peut-être as-tu une astuce pour y remédier ? Conserves, congélo ?

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          • Réglons en priorité la lutte des classes !

            Le climat et la biodiversité, on verra plus tard.

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            • Là je ne suis absolument pas d’accord avec toi. Pour deux raisons.

              La première est que le capitalisme est imbattable sur son terrain. Dés que tu mets ne serais qu’un ongle dans ses rouages, il absorbe ta lutte à son profit et il la travestit. C’est le point fort de l’ennemi et si je comprend les revendications des prolétaires pour de meilleurs salaires ou, pour les plus engagés, de vouloir s’approprier les moyens de productions, cela conduit à une double impasse car, d’une part, de meilleurs salaires ne font que permettre aux travailleurs de consommer plus, ce qui en plus de leur permettre de mieux vivre, renforce le système en permettant aux capitalistes de vendre davantage et ne va supprimer qu’une petite partie de ses surplus.

              D’autre part, dans le case de l’appropriation des moyens de production, on en fait quoi ? Car si c’est pour construire une version marxiste de la société industrielle, nous aurons besoin d’une forme ou d’une autre de capital pour la financer et, deuxième raison, nous retombons dans une société où, du fait même de ses technologies qui ne peuvent être mises en place que de façon globale, le contrôle de ses technologies, et donc in fine de la société, nous échappe complètement.

              Ceci montre que le problème social et le problème écologique ne peuvent être résolu qu’ensemble. Prendre le contrôle des moyens de production, je suis entièrement pour, mais pour décider de comment nous faisons une transition qui ne soit pas du Greenwashing mais réellement de l’écologie. Cela implique un changement de mode de vie radical en commençant par démanteler complètement et de A à Z le complexe militaro-industriel, ce complexe qui a lui seul absorbe plus de la moitié des ressources non-renouvelables extraites de force de la Terre. Cela implique aussi de se poser la question pour chaque technologie, si nous pouvons la développer de façon locale. Le plus facile à recycler serait l’agriculture. Cela demandera beaucoup d’effort au début pour revivifier les terres et refaire les cycles naturels complètement détruits par les engrais chimiques et autres pesticides, mais une fois que c’est fait, à Cuba ils disent que c’est l’agriculture du flemmard. Tu plantes et tu récoltes, la nature fait le reste.

              De toutes façons, il faut bien voir que nous n’avons pas le choix. Il est sans doute déjà trop tard pour arrêter l’emballement du réchauffement climatique. Ceci ne va détruire que notre mode de vie, donc plus sa destruction se fera tôt, plus il y aura de survivants. Si de plus, sa destruction est l’oeuvre d’une action coordonnée d’un mouvement de résistance, plus ce mouvement sera large et développé, plus il sera facile de mettre tous les savoirs en commun pour construire l’après civilisation industrielle.

              Quand à la destruction généralisée du vivant, il est peut-être encore temps de la stopper. Mais là aussi, moins nous laissons faire ce mode de vie mortifère, guerrier et inégalitaire appelé civilisation industrielle, plus vite nous l’arrêtons, plus il y aura de survivants et plus ils auront une planète avec des régions encore viables. Cette destruction du vivant est si rapide que de plus en plus de scientifiques constate que ce coup-ci, la nature ne va pas mettre quelques dizaines de millions d’années pour se refaire mais entre 1 et 1 milliard et demi d’années, ce qui est un temps tellement long qu’ils ne sont même pas sûr qu’elle va se refaire. Ce qui veut dire, si nous laissons faire, qu’après nous la Terre sera un astéroïde, une planète morte.

              Tout ceci implique qu’il a 2 bonnes raisons de développer une réelle culture de résistance : 1) Il est impossible, dans le cadre du mode de vie industriel, de se débarrasser du capitalisme. 2) Le mode de vie industriel est une solution finale par extermination du vivant qui doit être stoppée à tous prix si nous voulons que la Vie ait un futur sur cette planète. Et ceci de toutes urgences.

              Après je ne me fais pas d’illusion. L’immense majorité des gens redemandent du consumérisme, donc de ce mode de vie, tandis que les politiques, même à Cuba, l’ont très bien compris. Comme disait Coluche, ce n’est pas parce qu’ils sont beaucoup à avoir tord qu’ils ont raison. Donc faire une révolution qui ne va que changer la caste au pouvoir et faire que la société actuelle puisse perdurer afin de jouer un dernier baroud avant sa disparition inéluctable, très peu pour moi. Le fric me fait gerber, le travail obligatoire m’a rendu allergique, donc je ne suis pas prêt de m’y remettre, quand au progrès, cela ne signifie pas pour moi détruire la Vie, et comme cette destruction est en phase finale (il ne reste que 40 % à en détruire et cette destruction accélère avec chaque nouvelle technique industrielle, faits têtus), nous n’avons de toutes façons pas d’autre choix réaliste que de l’abolir, ce progrès mortifère et autoritaire.

              Perdre temps et énergie ne m’intéresse pas. Par contre, développer un mouvement de résistance capable de la stopper et, en parallèle, de développer des alternatives basées sur le local - seul moyen de développer des sociétés multiples qui soient démocratique et durable, là je suis partant. L’écologie est une chance, mais encore faut-il avoir compris qu’elle n’a rien à voir avec du greenwashing pour le comprendre. C’est la dernière chance que nous avons, en tant qu’espèce, d’arrêter nos conneries basées sur une suprématisme systémique - dominer la nature et toutes ses créatures - et de refaire de cette planète un paradis qui vaille la peine d’être vécu, ceci avant que nous ayons terminé de le détruire, car c’est bien ce que nous sommes en train de faire avec la forme de travail obligatoire appelée productivisme industriel, ses capitalistes et ses esclaves prolétaires.

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        • On s’en fout du Pouvoir !

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    • Chine : une boutique Hermès réalise 2,7 M $ au premier jour de déconfinement 16 avril 2020 13:40, par Capitaine la Franchouille

      l’appétit de capitalisme des Chinois

      C’est génétique comme le béret et la baguette.

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