Attention, en Suisse aussi il n’y a pas de dépistage systématique et un confinement qui confine ensemble porteurs du virus et leurs proches ou leurs collègues. Oui leurs collègues car 50% des malades ne développent aucun symptôme ce qui ne les empêche ni, d’être contagieux ni, dans certains cas, de développer des complications. Ce qui fait dire au médecin chef des HUG interviewé par Léman Bleu que "Nous sommes dans le brouillard." et "Nous ne savons ni quand, ni comment lever le confinement."
Il faut aussi dire que le gouvernement suisse, comme d’autres, est vendu aux pharmas.
De plus, si maintenant ils testent plus de gens quand ils vont à l’hôpital, je n’ai pas entendu dire qu’ils les faisaient de façon systématique. Au début de l’épidémie, ils ne testaient personne. J’ai une pote qui a été au CHUV de Lausanne avec de la toux bien sèche et de la fièvre, ils lui ont fait un examen de routine du genre "Dites ah !", l’ont renvoyé à la maison sans traitement ni même un masque de protection et avec pour consigne de ne revenir que si ses symptômes s’aggravaient, c’est-à-dire quand ils se seraient aggravé.
On ne le dira jamais assez, sans utiliser le seul moyen de lutte dont dispose la médecine moderne, le dépistage systématique, pour séparer les porteurs de virus du reste de la population, les autres mesures prises ou pas prises ne servent au mieux à rien et nous nous retrouvons donc face à une politique eugéniste : on se débarrasse des vieux et des malades chroniques en faisant l’économie des chambres à gaz. Il faudra juger ces tordus pour haute trahison et crime contre l’humanité !
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