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Le taux de létalité du Covid-19 pourrait être bien inférieur à 1%

dimanche 17 mai 2020, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 17 mai 2020).

lavoixdunord.fr, 16 mai 2020 : Une étude de l’Inrae le situe même à 0,5 % au sein de la population française, avec des écarts très importants selon les âges (10,1 % pour les plus de 80 ans).

Note de do :

En réalité, le taux de mortalité de ce coronavirus, relativement à la population entrée en contact avec lui, est encore très nettement inférieur à ce que dit la Voix du nord.

En effet, on sait maintenant que le coronavirus a circulé librement en France depuis la fin octobre 2019 jusqu’au 17 mars 2020. Soit pendant 4 mois et demi ! Donc, autant dire que tout le monde a été en contact avec lui, mais qu’il est très peu contagieux :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article6056

Chez l’immense majorité des gens, ce coronavirus a été rejeté sans même qu’il y ait besoin de fabriquer de nouveaux anticorps. C’est pourquoi les tests sérologique ne détectent de nouveaux anticorps destinés spécifiquement à le combattre que chez moins de 5% de la population.

Pour qu’on croit que le coronavirus était extrêmement dangereux, le pouvoir a été obligé de comptabiliser les morts en trichant à fond.

Par exemple, à partir du moment où, dans une EHPAD, quelqu’un était déclaré mort du coronavirus, toutes les personnes de cet EHPAD qui mouraient ensuite étaient automatiquement comptabilisées parmi les morts du coronavirus :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article5814

On sait que chez la plupart des gens, le coronavirus n’avait aucun effet négatif. C’était donc aussi le cas chez les cancéreux, chez les cardiaques, etc. Ça n’a pas empêché le pouvoir de déclarer morte du coronavirus toute personne morte en réalité d’un cancer, d’une crise cardiaque, d’un AVC, etc. pourvu que le coronavirus soit détecté dans son corps, même si le coronavirus n’y était absolument pour rien :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article5631

Cette triche était trop visible en comparant la mortalité générale de l’hiver 2020 à celle des hivers précédents. C’est pourquoi, comme l’avait signalé dans une de ses vidéos Didier Raoult, le pouvoir se refusait dans un premier temps à compter la mortalité générale. Ensuite, après cette dénonciation, le gouvernement na pas pu faire autrement que de compter la mortalité générale. Mais en mentant sur les chiffres, alors que la télévision avait pourtant dû avouer qu’il y avait eu moins de morts au mois de mars 2020 qu’au mois de mars 2018 :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article5855

Mais pourquoi donc le pouvoir a-t-il créé artificiellement la grande peur en faisant croire au commun des mortels que le coronavirus allait tuer tout le monde comme la peste moyenâgeuse ?

Pour faire un coup d’état mondial.

Le coronavirus a agit comme le terrorisme commandité par l’État, mais en bien plus efficace. Les gens se sont mis à avoir peur les uns des autres, à se dénoncer les uns les autres, à s’éloigner les uns des autres selon ce que le pouvoir a appelé la distanciation sociale.

La distanciation sociale est ce que le pouvoir voulait obtenir et il l’a obtenue au delà de toute espérance avec la complicité volontaire ou non de la gauche et même de la majeure partie de l’extrême gauche.

La distanciation sociale est l’exact contraire de la lutte de classe.

PS)

Attali et la pandémie : http://mai68.org/spip2/spip.php?art…

Rockfeller et la pandémie : http://mai68.org/spip2/spip.php?art…


Le taux de létalité du Covid-19 pourrait être bien inférieur à 1%

https://www.lavoixdunord.fr/753842/…

16 mai 2020

Une étude de l’Inrae le situe même à 0,5 % au sein de la population française, avec des écarts très importants selon les âges (10,1 % pour les plus de 80 ans).

Différentes études mondiales convergent ainsi vers le même sentiment : le Covid-19 est une maladie qui tue moins qu’on ne le pensait au départ de la pandémie, période à laquelle on a pu situer le taux de létalité entre 2 % et 3 %. Début mai, de nouveaux travaux évaluent le taux de létalité à 0,5 % dans un pays comme la France, voire 0,8 % quand on y ajoute les statistiques qui remontent des Ehpad. Ces deux chiffres résultent d’une étude bouclée par l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) et publiée le 8 mai dernier dans la revue, MPDI Biology.

Lionel Roques, l’un des auteurs, explique ainsi au journal Sud Ouest, que « des études réalisées dans d’autres populations ont donné des résultats approchants : 0,6 % à New-York, 0,66 % en Chine et 13 % pour les passagers du Diamond Princess dont la moyenne d’âge était plus élevée que celle de la population générale ». Des chiffres qui sont raccord avec une autre étude de l’Institut Pasteur, qui estime que le taux de létalité du Covid-19 avoisine les 0,7 % de décès avec des écarts très importants selon les âges (de 0,001 % pour les moins de 20 ans et 10,1 % pour les plus de 80 ans).

Ce qui commence à faire dire à certains que si le Covid-19 est cinq fois plus mortel de la grippe, il tue moins que le SRAS en Asie en 2002-2003 (10 %) ou que le MERS (le coronavirus du Moyen-Orient) dont le taux avoisinait les 30 % à partir de 2012. Par contre, le taux de létalité de ce nouveau coronavirus, qui a confiné la moitié de l’humanité, est dépendant de plusieurs facteurs, à savoir l’état du système hospitalier et de la densité de la population âgée. Ce qui expliquerait pourquoi l’Afrique ne s’en sort pas si mal, avec une population densément jeune.

4,4 % de la population infectée au 11 mai

Ce qui n’est pas le cas de la France, dont l’immunité collective laisse encore à désirer. Simon Cauchemez (Institut Pasteur) et ses collègues indiquent que, parmi les individus infectés, 3,6 % ont été hospitalisés et 0,7 % sont morts. Les hommes, tous âges confondus, apparaissent plus susceptibles d’être hospitalisés, d’être admis en soins intensifs et de mourir que les femmes. Les modélisations projettent que 2,8 millions de personnes en France, soit 4,4 % de la population, auraient été infectées au 11 mai. « L’immunité de la population apparaît insuffisante pour éviter une seconde vague si les mesures de contrôle sont relâchées à la fin du confinement. » « Il faudrait qu’environ 65 % de la population soit immunisée pour que l’épidémie soit contrôlée par l’immunité seule », écrivent les auteurs dans une récente étude, rapporte Le Monde.

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