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Coronavirus - Le Burundi expulse l’OMS

dimanche 24 mai 2020, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 24 mai 2020).

Le Burundi accuse l’OMS d’ingérence inacceptable dans la gestion du coronavirus.

Le Burundi n’a adopté aucune mesure de restrictions des déplacements en lien avec la pandémie de coronavirus.

L’OMS accuse le Burundi de cacher « l’ampleur de la crise du coronavirus » ; mais, cette accusation est totalement bidon, puisque c’est dans toute l’Afrique qu’il y a très peu de morts du coronavirus. Au 12 mai 2020, ils y avait au Sénégal, 19 morts et dans toute l’Afrique, 2340 morts.


Le Burundi ordonne l’expulsion du représentant de l’OMS

https://www.jeuneafrique.com/945362…

14 mai 2020 à 13h59
Mis à jour le 14 mai 2020 à 14h18

Par Jeune Afrique avec AFP

Le représentant de l’OMS au Burundi et trois autres experts sont désormais persona non grata au Burundi, a annoncé le gouvernement.

Une note du 12 mai émanant du ministère burundais des Affaires étrangères déclare que le Dr Walter Kazadi Mulombo, représentant de l’OMS, et trois autres experts, sont « persona non grata » au Burundi. Ils ont jusqu’à ce vendredi 15 mai, au plus tard, pour quitter le pays, selon le document.

Outre le Dr Walter Kazadi Mulombo, représentant de l’OMS au Burundi, sont également visés deux employés de l’OMS, le Dr Jean-Pierre Mulunda Nkata, coordinateur de la riposte contre le Covid-19 au Burundi et le Dr Ruhana Mirindi Bisimwa, chargé du programme contre les maladies transmissibles, et d’un consultant, le Pr Daniel Tarzy, un expert en biologie moléculaire.

« C’est toute l’équipe de l’OMS chargée d’appuyer le Burundi dans sa riposte contre le Covid-19 (…) Ils sont expulsés alors que le ministre de la Santé a exclu totalement l’OMS de celle-ci en l’accusant d’ingérence inacceptable dans sa gestion du coronavirus », a déclaré un responsable burundais anonymement.

Une situation sous tension à quelques jours des élections

Il y a un mois, le ministère burundais des Affaires étrangères avait déjà engagé la même procédure contre les quatre fonctionnaires. Mais il avait suspendu cette décision après des échanges entre le chef de l’État Pierre Nkurunziza et le directeur général de l’OMS, selon des sources diplomatiques et administratives.

Ces expulsions ont lieu quelques jours avant les élections présidentielle et législatives du 20 mai. Alors que le gouvernement burundais est accusé par des médecins et l’opposition de cacher des cas de Covid-19. Le pays n’a pour l’heure officiellement recensé que 27 cas positifs, dont un décès.

Le pays a fermé son principal aéroport aux vols internationaux. Néanmoins depuis le début de la campagne, les réunions politiques ont lieu normalement et attirent des milliers de personnes, sans que de réelles mesures sanitaires soient mises en place contrairement à la plupart des autres pays de la région.


Le Burundi expulse l’équipe de l’OMS

https://www.bbc.com/afrique/region-…

14 mai 2020

Le Burundi n’a adopté aucune mesure de restrictions des déplacements en lien avec la pandémie de coronavirus.

Le Burundi a expulsé le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans le pays ainsi que trois autres experts de santé travaillant pour ce bureau.

Une lettre non signée émanant du ministère des affaires étrangères a déclaré le représentant de l’OMS, le Dr Walter Kazadi Mulombo, et trois autres personnes "persona non grata" et leur a donné 48 heures pour quitter le pays.

Les autres personnes visées par cette note du ministère sont le professeur Tarzy Daniel, le docteur Ruhana Mirindi Bisimwa et le docteur Jean Pierre Murunda.

Le ministre burundais des affaires étrangères, Ezechiel Nibigira, n’a ni nié ni confirmé l’authenticité de la lettre lors d’une interview téléphonique, mais une source proche du ministère a confirmé son authenticité à la BBC.

Le ministère n’a pas précisé les raisons qui ont motivé l’expulsion des fonctionnaires onusiens.

Le gouvernement burundais fait face à des critiques pour avoir maintenu l’organisation des élections en pleine pandémie de coronavirus.

Des meetings de campagne des candidats à la présidence ont lieu dans tout le pays à l’approche des élections du 20 mai au cours desquels aucune mesure de distanciation sociale n’est observée - ce qui fait craindre que le virus ne se propage.

Lors d’un point de presse mercredi, l’International Crisis Group a déclaré que le gouvernement burundais avait adopté une position de déni, en remettant en cause le nombre de cas de coronavirus dans le pays.

Le pays a annoncé 27 cas de personnes téstées positives au Covid 19 jusqu’à présent, dont un décès.

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Coronavirus - C’est pas l’Afrique qui est sous-développée, c’est la France ! (vidéo 3’38)

http://mai68.org/spip2/spip.php?article6122

Sénégal, 19 morts - Afrique, 2340 morts - France 27 000 morts

Enregistré sur France 2 le 12 mai 2020 au 20 heures

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"Ils" ont donné toutes les raisons possibles et imaginables pour expliquer pourquoi l’Afrique s’en sortait infiniment mieux que la France ; mais, ils ont oublié l’essentiel : l’Afrique a suivi les conseils de Didier Raoult. Elle a notamment utilisé l’hydroxychloroquine, très peu chère ; mais, interdite en France dès le début du coronavirus pour favoriser les trusts pharmaceutiques et leurs nouvelles molécules extrêmement chères et qui ne marchent pas.

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