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L’OMS impose un discours imaginaire sur une maladie mortelle qui n’existe pas

samedi 26 septembre 2020, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 26 septembre 2020).

Article rédigé par Dominique Kern et Brigitte Pascall

1°)-DOMINIQUE KERN :

Il y aurait plusieurs axes sur lesquels il faudrait travailler, pour comprendre ce qui se passe aujourd’hui

  • Dans notre pays
  • En Europe
  • Et dans le monde …

SUR PLUSIEURS SUJETS …

  • L’économie, son état actuellement qui rafle la mise, y a -t il encore quelque chose à "racler" en dehors des ondes, et de leurs multiples applications…
  • Le système financier qui s’insère partout et qui organise lui même sa propre faillite qu’il nomme ultra-libéralisme…IL ORGANISE SA PROPRE FAILLITE ET LE PILLAGE DU MONDE DANS TOUS LES DOMAINES….

C’est lui aussi qui organise la faillite des états…

  • L’organisation mondiale du soin ! L’OMS qui est devenue un organisme pour imposer ce que désire les financiers à la planète en faisant des croches pieds à l’ONU…

Cette organisation du soin et de la lutte contre les pandémies est devenu totalement inefficace…LA LUTTE CONTRE LE PSEUDO COVID 19 EST EST LA CARICATURE LA PLUS MEURTRIERE aujourd’hui !

TOUS CES SUJETS SONT A TRAITER, il faudrait trouver un axe global pour pouvoir tout traiter en même temps et y intégrer la lutte contre la faim dans le monde…

Je pense par exemple : en ce qui concerne la crise de l’OMS qui nous préoccupe aujourd’hui, cette crise explose aujourd’hui, parce que l’OMS a créé un récit imaginaire sur une maladie qui n’existe pas en tant que telle…Que les laboratoires mondiaux ont tous axés leur économies sur la fabrication de vaccins et que les dernières campagnes de vaccination, celle contre le paludisme par exemple, sont des échecs retentissants qui coûte très chère aux états…

Comme les recherches pour un vaccin impossible contre el SIDA ont déjà couté aux Etats des sommes très importantes sans aucun résultats …

Plus globalement il y a une crise de l’organisation des systèmes de soin, une crise du a cette pénurie de lits d’hôpitaux, qui a été programmée par les états pour "endiguer les dépenses publiques "…

Sil y avait un jour une vraie pandémie, il serait impossible d’y faire face.

Pour des raisons d’organisation des systèmes de soin… POUR DES RAISONS de pénurie en personnel, par un manque de médecins depuis le numérus clausus en 1980 … Il faudrait aussi questionner la formation et l’organisation …

Il n’est pas normal que des structures de soins non médicales ( je pense aux ARS) imposent aux médecins leur façon de soigner …Ce que ceux ci n’acceptent plus aujourd’hui…

COMME IL N’EST PAS NORMAL QU’ON INTERDISE LA CHLOROQUINE, alors que tous les députés, les gens importants quand ils étaient malades, ont été soignés avec …CA DEVIENT UN AUTORITARISME CARICATURAL ET DELIRANT et qui a couté des vies humaines en plus …Puisqu’on a assassiné des vieux au RIVOTRIL pour faire la place en cas d’urgence…une urgence qui n’a pas eu lieu !.

LES ARS DOIVENT DISPARAITRE, c’est Sarkozy qui les a imposé, le numérus clausus doit être aboli il faut recruter massivement du personnel et des soignants et les payer correctement…

POUR CELA IL FAUT REORGANISER L’ENSEMBLE DU SYSTEME laisser à la dérive depuis plus de 30 ans ! Monsieur le professeur Raoult à fait des propositions dans ce sens ! …

2°)-BRIGITTE PASCALL :

J’enfoncerai le clou posé par Domi :

2.1°)- S’agissant de l’OMS : le Professeur Didier Raoult en parle longuement dans son ouvrage : "Epidémies : vrais dangers et fausses alertes", édition Michel Laffon, 2020 : notamment dans son chapitre sur la grippe H1N1. Avec le Covid-19, l’OMS n’en est pas à son coup d’essai : en 2009, à propos de la grippe H1N1, l’OMS a voulu vacciner toute la planète : double vaccin ayant un adjuvant faisant très mal. Heureusement que la grippe a disparu tout à coup.

Autrement dit, la gestion par l’OMS du covid-19 est un "remake" de la crise du H1N1 : même affolement général ; même disproportion outrancière entre un virus et la machine de guerre disproportionnée que l’on met en route afin de le combattre.

Quitte pour cela à flinguer l’économie française avec le premier confinement : mars 2020-mai 2020. Tandis que des rumeurs parlent d’un nouveau confinement à compter du 15 octobre, soit une Bérézina économique et sociale à n’y pas croire, qui attend les français : rumeur au demeurant soigneusement occultée par ceux qui nous gouvernent.

2.2°)- Sur la mise à mort de l’Etat stratège :

Dominique pointe avec lucidité le pouvoir tout puissant des ARS. Comment en est-on arrivé là ?

Dans une vidéo de juillet 2020, Pierre-Yves Rougeyron analyse la destruction de l’Etat stratège, capable d’anticiper une épidémie.

Ainsi, Jérôme Salomon a ce mot terrible au moment de l’élection de Macron (mai 2017) : "NE COMPTEZ PAS SUR NOUS EN CAS D’EPIDEMIE ! ’ La suite, on la connait.

A la veille de l’épidémie (début mars 2020), selon le journal Le Monde du 25 septembre, les 86 millions d’unités d’antibiotiques en stock étaient passés à 12 millions, de 141 millions d’unités d’antidotes à 96 millions, et de 303 millions d’antiviraux à 51 millions. Les masques FFP2 ont quasiment disparu tandis que le nombre de masques chirurgicaux est passé de 795 millions à 459 millions" (sic).

Pour comprendre l’absence de contrôles aux frontières, l’absence de masques, de lits de réa, absence de bâtiments pour soigner, de gel hydroalcoolique, il faut comprendre la destruction sciemment effectuée de l’Etat gaulliste stratège : Un Ministre qui décide, un Préfet et un Maire qui exécutent.

Ces trois étages ont été mis en l’air par le pouvoir grandissant de l’énarchie. Et au succès du néo management public, qui :

A)- Le pouvoir libéral a pris la main sur l’hôpital public et l’enlève de la vision stratégique gaulliste d’après guerre. Elle est au-dessus des médecins, via les ARS. C’est là où on voit que le conflit Raoult/Hirsch participe de ce conflit entre médecins continuant à avoir une pensée stratégique et à vouloir soigner. Et consignes technocratiques hors sol.

B°)-a imposé une vision comptable, à court terme : zéro délai, zéro stock, comme si l’Etat était une simple entreprise. Résultat : plus de calcul stratégique comme aux échecs, où on fait un premier coup en anticipant le second, voire le troisième.

C°)- Des frontières laissées ouvertes :

Pendant toute l’épidémie et de façon scandaleuse, la France a maintenu des frontières ouvertes : du jamais vu de mémoire d’épidémiologistes. Et personne n’a moufté.

Petit commentaire perso : on rappelle au passage que pendant la grande peste noire de 1350, et afin de se protéger, la bourgeoisie milanaise a fait construire de grands murs autour de la ville, pour empêcher les paysans pestiférés de pénétrer dans la ville : un comportement peu philanthrope, mais que l’on peut comprendre. Inversement, on se souvient comment Alain Benajam a pris l’avion à Roissy au mois de mars 2020, en pleine épidémie, pour les Emirats Arabes Unis, sans se voir opposer un seul contrôle !

La décision de 1971, visant à mettre fin au contrôle des personnes et des capitaux aux frontières en 1971, justement dénoncée par Jacques Généreux dans son livre : "La grande régression", édition du Seuil, 2011), casse jusqu’à l’idée d’un territoire français à défendre, en cas d’épidémie.

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