Note de do : C’est toute la loi qu’il faut supprimer ! Et, tant qu’à faire supprimons la société de classe et sa police destinée uniquement à la maintenir.
À Paris, le rassemblement est prévu à 14h au départ de la porte des Lilas vers la place de la République.
Au Puy-en-Velay : Le rassemblement est donné samedi 5 décembre à 10 h 30 sur la place Cadelade.
À Clermont-Ferrand : Un rassemblement est prévu samedi 5 décembre à 15 heures, place de Jaude, contre les régressions sociales et la destruction des libertés.
À Marseille : au Vieux-Port Samedi 5 décembre 2020 à 14h
À Tours : 14H30 place Jean Jaurès.
À Bordeaux : Le samedi 5 décembre 2020 à 15h. Place de la Victoire.
À Lyon : 14h place des Terreaux, au pied de l’Hôtel de Ville,
À Strasbourg : Elle partira de la place de la République à 14 h et s’achèvera place de l’Étoile
Nantes, 15H, Préfecture
Voici en complément une liste de rassemblements ou manifestations donnée par la LDH ::
Loi « sécurité globale » : nouvel appel à manifester le 5 décembre
https://assawra.blogspot.com/2020/1…
2 décembre 2020
Assawra
Le collectif opposé à la proposition de loi « sécurité globale » appelle à une nouvelle manifestation samedi 5 décembre à Paris et en France afin d’obtenir le retrait de trois articles de loi et du schéma national du maintien de l’ordre jugés « liberticides ».
« Tant qu’il n’y aura pas retrait réel des articles 21, 22, 24 de la proposition de loi sécurité globale et du schéma national du maintien de l’ordre, les actions se multiplieront », promet le collectif dans un communiqué mercredi 2 décembre. La « coordination #StopLoiSécuritéGlobale », nom de ce collectif, appelle à la mobilisation samedi à Paris pour une « marche des libertés et des justices » de la Porte des Lilas à la place de la République, dans le nord-est de la capitale, ainsi que « partout ailleurs » sur le territoire. « Des rassemblements ou manifestations sont déjà prévus dans de nombreuses villes cette semaine », souvent en lien avec « les actions menées dans le cadre de la journée nationale contre le chômage et la précarité », ajoutent les signataires.
L’article objet de toutes les critiques, qui prévoit de pénaliser la diffusion malveillante d’images de forces de l’ordre, est pour l’heure neutralisé, en attendant son intégration probable dans le projet de loi « séparatismes », présenté le 9 décembre en Conseil des ministres. Pour prouver que le gouvernement ne veut « pas attenter à la liberté de la presse », l’article sera « retiré de la loi de 1881 », a également garanti mardi la présidente de la commission des Lois de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet.
Le collectif - qui regroupe des syndicats, notamment de journalistes, diverses associations, ONG de défense des droits ou encore des gilets jaunes - dénonce pour sa part « la cacophonie la plus complète » tant au sein du gouvernement que du Parlement, après l’annonce lundi de la réécriture de l’article 24. Il condamne la probable réapparition des dispositions de l’article 24 dans l’article 25 de la loi sur le séparatisme, ainsi que les articles 21 et 22 « visant l’instauration d’outils de surveillance de masse ».
Les « marches des libertés » ont suscité une forte mobilisation samedi dernier rassemblant en France 500.000 personnes selon les organisateurs, 133.000 selon le ministère de l’Intérieur.