La pandémie COVID 19 a mérité son nom d’« épidémie universelle » puisqu’elle s’est répandue sur toute la planète en un an. Son virus s’est avéré être extrêmement contagieux d’où la rapidité de propagation de l’infection mais peu virulent. Rapportée à la population mondiale la proportion des décès dus au covid 19 n’a pour l’instant pas dépassé un niveau de l’ordre de 2 pour 10 000. Face à un virus inconnu, l’humanité n’a pour se protéger ni un traitement connu ni a fortiori de vaccin. La suite dans le PDF.
Réponse de do : C’est partiellement faux !
Tout d’abord il existe des vaccins, comme la suite du PDF lui-même le signale. Ensuite, il existe des traitements, comme l’hydroxychloroquine, la colchicine, l’ivermectine ou les Artémisia (annua, absinthium et vulgaris). L’artémisia vulgaris s’appelle aussi "armoise". L’Artémisia absinthium est celle avec laquelle on fait la liqueur d’absinthe. Et l’Artémisia annua est une médecine traditionnelle en Chine et en Afrique. Toutes les Artémisia sont des plantes qui contiennent de l’artémisinine, qui est un antipaludéen qui fonctionne très bien contre le SARS-CoV-2. Voir le documentaire « Mal traité » :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article7499
Il y a cependant des choses fort intéressantes dans le PDF.
Comaguer n° 417 - 20 décembre 2020
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Santé, progrès technique et scientifique, capitalisme
A PROPOS DE LA VACCINATION
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Version PDF : http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/Comaguer417.pdf
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La pandémie COVID 19 a mérité son nom d’ « épidémie universelle » puisqu’elle s’est répandue sur toute la planète en un an. Son virus s’est avéré être extrêmement contagieux d’où la rapidité de propagation de l’infection mais peu virulent. Rapportée à la population mondiale la proportion des décès dus au covid 19 n’a pour l’instant pas dépassé un niveau de l’ordre de 2 pour 10 000. Face à un virus inconnu, l’humanité n’a pour se protéger ni un traitement connu ni a fortiori de vaccin.
Toutes les mesures prises aux différents niveaux qu’elles fussent internationales, nationales ou plus déconcentrées n’ont pu être que des mesures prophylactiques. Au chapitre des soins un bilan global devra être tiré mais il faut retenir que la grande majorité des personnes infectées a survécu.
Par contre les mesures prophylactiques prises tournant toutes autour de la notion d’isolement qu’il soit national (fermeture des frontières) régional ou local ou par secteur d’activité ont produit et vont continuer à produire pendant une longue période dont le terme n’est pas encore visible des effets économiques et sociaux considérables.
La suite dans le PDF :