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Coronavirus - Les vaccins ne sont ni toujours bons, ni toujours mauvais (vidéo)

samedi 16 janvier 2021, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 16 janvier 2021).

Notes de do :

Raoult a tellement travaillé, il est tellement fatigué, qu’il utilise parfois une expression pour une autre, alors qu’il sait évidemment bien mieux que moi la différence :

Dès le début : « Je suis pas.. ». Et il se reprend : « Je suis un spécialiste des maladies infectieuses. »

À 5’25, il se trompe de mot entre "Vaccin inactivé" et "adénovirus".

À 6’26, c’est entre "vaccin atténué" et "vaccin inactivé" qu’il se trompe d’expression.

Mais, Il dit bien à 8’09 que les vaccins inactivés sont en principe sans danger. Donc est sans danger le vaccin chinois inactivé. Il précise qu’en plus le vaccin inactivé est multisouches :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7152

Ceci dit, malgré sa grande fatigue et une fois corrigé ce qu’on pourrait appeler "deux ou trois fautes de frappes", son exposé est extrêmement intéressant.


https://youtu.be/LyCruMMM5s4

Vaccin et COVID

IHU-MI - 15 janvier 2021

Clic droit ici pour télécharger la vidéo

Pr. Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection :

« L’immunité entre les souches n’est pas merveilleuse. »

« À court terme, quelques mois, le vaccin ne présente pas de danger réel ; mais, à long terme, on n’en sait rien. Si les risques sont très distants, que les gens n’ont pas le temps de les voir, il est raisonnable de les vacciner. »

« Si vous êtes à risque il faut vous faire vacciner »

« Pour l’instant, à Marseille, dans tout le CHU, Les gens qui sont morts ont perdu une espérance de vie de trois ans. Donc, c’est seulement des gens qui étaient très âgés, qui avaient des poly-pathologies.

« Donc vous, là, des gens comme vous [les étudiants de l’IHU], il n’y en a pas qui meurent. Donc, on se calme, faut faire ça avec calme. Faut pas se dire que si on n’a pas le vaccin, demain on va tous mourir. C’est pas le cas.

« Et, quand on est infecté, il faut se faire prendre en charge parce que l’évolution vers les formes graves n’est pas toujours perçu par le malade. Quand on n’est pas à risque, on ne risque rien à condition de prendre les gens en charge. »

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