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Coronavirus - Les vaccins ARN peuvent provoquer des troubles sanguins potentiellement mortels

samedi 13 février 2021, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 13 février 2021).

Des médecins établissent un lien entre les vaccins Pfizer et Moderna et des troubles sanguins potentiellement mortels

https://lemediaen442.fr/des-medecin…

Source 9 février 2021 : Doctors Link Pfizer, Moderna Vaccines to Life-Threatening Blood Disorder

Une traduction du « Média en 4-4-2 » le 11 février 2021

Un deuxième article du New York Times cite des médecins qui affirment que la technologie d’ARNm (ARN messager) utilisée dans les vaccins contre le Covid-19 peut causer une thrombopénie immunitaire, un trouble sanguin qui a entraîné le décès d’un médecin de Floride après sa première dose du vaccin Pfizer le mois dernier.

Pour la deuxième fois en moins d’un mois, le New York Times a publié un article sur les personnes qui ont développé une maladie auto-immune rare après avoir reçu des vaccins contre le Covid-19.

L’article de lundi mettait en exergue deux femmes, qui ont toutes deux été décrites comme en bonne santé avant de recevoir le vaccin Moderna. Les femmes, âgées de 72 et 48 ans, sont maintenant traitées pour thrombopénie immunitaire (ITP), un état physique qui se développe lorsque le système immunitaire attaque les plaquettes (composant sanguin essentiel à la coagulation) ou les cellules qui les créent, selon le Times.

Le 13 janvier, le Times rapportait le décès du Dr Gregory Michael, un médecin de Floride qui est mort 15 jours après avoir reçu le vaccin Pfizer. M. Michael, qui avait 56 ans et que sa femme qualifiait de « tout à fait en bonne santé », a développé une ITP trois jours après avoir été vacciné. Il est mort d’une hémorragie cérébrale le 3 janvier. Comme le rapportait The Defenderhttps://childrenshealthdefense.org/… le 13 janvier, le Dr Jerry L. Spivak, un spécialiste des troubles sanguins à l’Université Johns–Hopkins, a déclaré que c’était une « certitude médicale » que le vaccin Pfizer avait causé la mort de M. Michael.

Spivak, interviewé pour l’article de lundi dans le Times, a réitéré le lien entre le vaccin et l’ITP. Un autre médecin, le Dr James Bussel, hématologue et professeur émérite à Weill Cornell Medicine, qui a écrit plus de 300 articles scientifiques sur le trouble plaquettaire, a également déclaré qu’il croit qu’il existe une « possible » association entre les vaccins et l’ITP.

Bussel a déclaré au Times : « Je suppose qu’il y a quelque chose qui a rendu vulnérables les personnes qui ont développé la thrombopénie, étant donné le pourcentage minuscule de receveurs injectés. Le fait que cela se produise après une vaccination est bien connu et qu’il ait été observé avec de nombreux autres vaccins n’est pas étonnant. En revanche, nous ne savons pas pourquoi cela s’est produit avec ce nouveau vaccin. »

Mme Bussel et sa collègue, le Docteur Eun-Ju Lee, ont repéré 15 cas d’ITP chez les personnes vaccinées contre le Covid-19 en effectuant une recherche dans la base de données du gouvernement — le Système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) — , ainsi qu’en consultant d’autres médecins traitants des patients, et ont soumis un article sur leurs découvertes à un journal médical, selon le Times.

Dans une déclaration fournie au Times, Pfizer a déclaré être au courant des cas d’ITP chez les personnes vaccinées et que l’entreprise « recueille des renseignements pertinents » à partager avec la Food and Drug Administration.

Le fabricant du vaccin a toutefois ajouté que « pour l’instant, nous n’avons pas été en mesure d’établir un lien de causalité avec notre vaccin ». Moderna a également fourni une déclaration, mais n’a pas abordé les cas d’ITP, disant seulement « surveiller continuellement l’innocuité du vaccin contre le Covid-19 à l’aide de toutes les sources de données » et partager régulièrement les informations sur son innocuité avec les organismes de réglementation.

Juste après le décès de Michael, Pfizer a déclaré qu’il n’y avait « aucune indication — que ce soit dans le cadre d’essais cliniques de grande envergure ou parmi les personnes qui ont reçu le vaccin depuis que le gouvernement a autorisé son utilisation le mois dernier — qu’il puisse être relié à la thrombopénie ».

Mais, comme l’a dit à l’époque Lyn Redwood, infirmière diplômée d’Etat (Master en Science), présidente émérite et directrice de Children’s Health Defense, la déclaration de Pfizer ne concordait pas avec les faits, parce que l’ITP est un événement indésirable bien connu associé aux vaccins. Le vaccin le plus souvent impliqué dans l’ITP est le vaccin rougeole-oreillons-rubéole, où la maladie se produit dans environ une fois sur 25 000 à 40 000 doses.

L’ITP a également été associée aux virus de l’hépatite A et B (VHB), au virus du papillome humain (VPH), au zona varicelleux, à la diphteria-tétanos-acellular pertussis (DTap), ainsi qu’aux vaccins contre la polio et le pneumocoque.

Selon le Times, l’ITP est « généralement traitable », mais peut persister pendant des mois ou devenir chronique et durer des années. L’American Hematology Society conseille aux patients qui ont déjà eu une ITP de se faire vacciner « mais après avoir consulté leurs hématologues ».

Cependant, les deux femmes figurant dans le Times hier se remettent. Luz Legaspi, 72 ans, a été hospitalisée à New York le 19 janvier avec un grave cas d’ITP, mais elle est rentrée chez elle à présent, soignée par sa fille.

Une Texane de 48 ans qui a demandé au Times de ne pas utiliser son nom a passé quatre jours à l’hôpital, recevant des transfusions plaquettaires, des immunoglobulines et des stéroïdes pour rétablir son compte de plaquettes — une situation qu’elle a décrite comme « terrifiante ». Elle a dit que son médecin lui avait conseillé de se faire injecter la seconde dose du vaccin Moderna, mais elle n’avait pas encore décidé de le faire.

Le journal Defender a contacté le Florida Department of Health pour une mise à jour sur l’enquête concernant la mort de Michael, mais n’a pas reçu de réponse avant la date limite de mise en ligne. Les responsables de la santé en Floride et les Centers for Disease Control and Prevention enquêtent toujours sur le décès.

A Few Covid Vaccine Recipients Developed a Rare Blood Disorder

https://www.nytimes.com/2021/02/08/…

Published Feb. 8, 2021Updated Feb. 10, 2021

By Denise Grady

Luz Legaspi was hospitalized with a severe case of immune thrombocytopenia — a lack of platelets — one day after receiving a dose of the Moderna Covid vaccine.Credit…Sarah Blesener for The New York Times

A link to the vaccines is not certain, and investigations are underway in some reported cases.

One day after receiving her first dose of Moderna’s Covid vaccine, Luz Legaspi, 72, woke up with bruises on her arms and legs, and blisters that bled inside her mouth.

She was hospitalized in New York City that day, Jan. 19, with a severe case of immune thrombocytopenia — a lack of platelets, a blood component essential for clotting.

The same condition led to the death in January of Dr. Gregory Michael, 56, an obstetrician in Miami Beach whose symptoms appeared three days after he received the Pfizer-BioNTech vaccine. Treatments failed to restore his platelets, and after two weeks in the hospital he died from a brain hemorrhage.

It is not known whether this blood disorder is related to the Covid vaccines. More than 31 million people in the United States have received at least one dose, and 36 similar cases had been reported to the government’s Vaccine Adverse Event Reporting System, VAERS, by the end of January. The cases involved either the Pfizer-BioNTech or Moderna vaccine, the only two authorized so far for emergency use in the United States.

But the reporting system shows only problems described by health care providers or patients after vaccination, and does not indicate whether the shots actually caused the problems.

Officials with the Food and Drug Administration and the Centers for Disease Control and Prevention said that they were looking into the reports, but that so far, rates of the condition in vaccinated people did not appear higher than the rates normally found in the U.S. population, so the cases could be coincidental. Overall, the vaccines are considered safe. A small number of severe allergic reactions have been reported, but they are treatable, and the rates are in line with those reported for other vaccines, regulators say.

In a statement, Pfizer said : “We take reports of adverse events very seriously,” and added that it was aware of thrombocytopenia cases in vaccine recipients.

The statement also said : “We are collecting relevant information to share with the F.D.A. However, at this time, we have not been able to establish a causal association with our vaccine.”

Moderna also provided a statement, which did not address the question of the platelet disorder, but said the company “continuously monitors the safety of the Moderna Covid-19 vaccine using all sources of data” and routinely shares safety information with regulators.

Hematologists with expertise in treating immune thrombocytopenia said they suspected that the vaccine did play a role. But they said that cases after vaccination were likely to be exceedingly rare, possibly the result of an unknown predisposition in some people to react to the vaccine by developing an immune response that destroys their platelets. The disorder has occurred, rarely, in people who received other inoculations, particularly the measles-mumps-rubella one.

“I think it is possible that there is an association,” Dr. James Bussel, a hematologist and professor emeritus at Weill Cornell Medicine who has written more than 300 scientific articles on the platelet disorder, said in an interview. “I’m assuming there’s something that made the people who developed thrombocytopenia susceptible, given what a tiny percentage of recipients they are.”

He added : “Having it happen after a vaccine is well-known and has been seen with many other vaccines. Why it happens, we don’t know.”

Dr. Bussel said it was important to share information about the cases, because severe thrombocytopenia can be serious, and physicians need to know how to treat it. Sometimes the condition resists standard therapies, and if very low platelet counts persist, the patient faces an increasing risk of severe bleeding and even brain hemorrhage.

He and a colleague, Dr. Eun-Ju Lee, have submitted an article to a medical journal on 15 cases in Covid vaccine recipients they identified by searching the government’s database or by consulting with other physicians treating patients. The report provides information about treatments and urges doctors to report cases. It also notes that it is too soon to tell whether the affected patients will have lasting recoveries, or recurrences of the platelet problem.

Ms. Legaspi, right, in a photo taken by her daughter that shows bruising and bleeding under the skin caused by the lack of platelets. Credit…via Luz Legaspi

A few of the patients had previously had platelet disorders or other autoimmune conditions that might have made them vulnerable, Dr. Bussel (pronounced Bew-SELL) said. People can have low platelets without symptoms, and it is possible that in some, a vaccine reaction could drop the level further, to a point where it becomes apparent by causing bruises or bleeding, Dr. Bussel said.

He has been a paid consultant to Pfizer, not on vaccines but for a drug for the platelet disorder.

Dr. Jerry L. Spivak, an expert on blood disorders at Johns Hopkins University, also said the connection to the vaccine appeared real, but predicted that cases would be exceedingly rare and called them “idiosyncratic,” perhaps related to underlying traits in individual patients.

The cases are not a reason to avoid Covid vaccination, doctors say. The risk of serious illness from the coronavirus is much greater than the risk of developing this rare condition, and the vaccines are crucial for controlling the pandemic.

Ms. Legaspi’s daughter said the last thing that she and her mother wanted to do was create fear of the Covid vaccines. Both women still believe strongly in the need for them, despite Ms. Legaspi’s illness, her daughter said. The daughter asked, at her employer’s request, that her name not be used.

In its most common form, immune thrombocytopenia is an autoimmune disease that affects about 50,000 people in the United States, according to a support group for patients. The condition develops when the immune system attacks platelets or the cells that create them, for unknown reasons. It sometimes follows a viral illness, and can persist for months or become chronic and last for years. It is generally treatable. Professional groups have advised that patients with the disorder be vaccinated for Covid, but after consulting with their hematologists.

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