VIVE LA RÉVOLUTION
Accueil du site > Comment publier un article > Marx, observateur et analyste des forces productives de l’industrie (...)

Marx, observateur et analyste des forces productives de l’industrie primitive et de ses conséquences encore actuelles ! (...Ultime tentative pour ne pas désespérer les fantômes de Billancourt...?)

samedi 10 avril 2021, par Luniterre

Ces dernières années, ce sont essentiellement les auteurs anglo-saxons qui ont osé publier des textes expliquant la prospective de Marx sur le développement de l’automatisation de l’industrie et en quoi elle peut nous permettre de comprendre aujourd’hui les conséquences économiques de la robotisation.

Ce qui est remarquable, et qu’ils n’ont pas suffisamment souligné, par contre, c’est la performance intellectuelle que cela représente, précisément, par rapport à l’état d’avancement de la technologie à l’époque de Marx, et singulièrement, à l’époque où il écrit les Grundrisse, où se trouvent l’essentiel de ses considérations sur le sujet.

C’est là que l’on peut mesurer toute l’étendue du génie visionnaire de Marx en termes d’analyse économique !

En effet, lorsque Marx écrit donc ces lignes des Grundrisse en 1857-58, l’essentiel de ses observations portent presque exclusivement sur l’industrie mue par la machine à vapeur, c’est-à-dire, le plus souvent, une seule par usine, transmettant sa force à l’ensemble des machines-outils par des systèmes de poulies et d’engrenages…

La plupart des « inventions » qui fondent le monde moderne n’ont encore pas connu d’applications pratiques en termes d’usage domestique et/ou industriel et commercial : l’ampoule électrique, le téléphone (sauf balbutiant, c’est le cas de le dire, aux USA), le phonographe, la radio, le moteur électrique, le moteur à essence, l’automobile… Sans même parler de l’aviation, de l’exploration spatiale, de l’informatique, etc… La seule application concrète de l’électricité est le télégraphe, qui n’entre réellement en service qu’en 1858, alors qu’il achève, précisément d’écrire ses Grundrisse !

Néanmoins, outre la force motrice pour l’industrie, la machine à vapeur a déjà permis l’implantation des premiers réseaux de voies ferrées, comme quasi vaisseaux sanguins de l’industrie naissante, et relayés, sur les mers, par les débuts de la navigation à vapeur. L’ensemble formant l’infrastructure de base d’une toute première phase de « mondialisation » industrielle et commerciale.

Et 164 ans après, alors que nous avons sous les yeux des usines quasi-entièrement robotisées, plus tout ce qui ne fonctionne que grâce au réseau du net autour, nos pseudos-« marxistes » des nouveaux « temps modernes » sont, eux, tout à fait incapables d’ouvrir les leurs aux réalités les plus évidentes et d’étudier et d’utiliser les bases élémentaires du marxisme pour les analyser, les comprendre et agir en fonction, alors que l’essentiel du travail a déjà été fait par Marx il y plus d’un siècle et demi. Tragique façon de non-célébrer, en fin de compte, le siècle et demi de la glorieuse et héroïque Commune de Paris !

A toute fin utile, néanmoins, et pour ne pas désespérer les fantômes de Billancourt, voici, en docs PDF, deux extraits de l’œuvre de Marx sur le sujet. En ordre antichronologique, avec en premier une étude extraite du Livre 1 du Capital, et donc de 1867, dix ans après les Grundrisse, mais qui porte une description concrète et une analyse des forces productives, pouvant servir de base à une meilleure compréhension du célèbre « Fragment sur les Machines », extrait, lui, des Grundrisse, avec une analyse plus poussée, en fait des implications du machinisme concernant la valorisation du capital fixe et son rapport au capital variable, c’est-à-dire, au travail vivant.

Le rapport entre travail vivant et travail mort, c’était précisément l’une des trois plus grosses « pommes de discorde » qui ont amené la fermeture du blog TML, dans la mesure où les lecteurs correspondants étaient incapables d’admettre cette base élémentaire, pourtant évidente, du marxisme.

Une autre, en conséquence directe, portait donc sur la place du travail intellectuel dans le processus de valorisation du capital, autre base évidente, et qui a connu depuis un éclaircissement quasi définitif avec la relecture d’un extrait de ce « Fragment » dans une retraduction directe du texte original allemand.

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8384

Sur le même thème voir aussi :

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7752

Mais, plus consternant encore, ce « débat » qui a si mal tourné, avait donc commencé par une tentative de mise au point sur la question, encore plus élémentaire, de la distinction entre esclavage et salariat !

Outre les deux docs PDF annoncés, voici donc, en extrait direct, le bref passage nécessaire et suffisant ou Marx éclaircit cette question avec précision.

Et encore à la suite, un autre bref passage, immédiatement contigu au 1er PDF, extrait du Chapitre XIII du Livre 1, donc, et qui tranche également radicalement la question de base du cycle du capital fixe, concernant la valeur transmise par la machinerie.

*****************************

CHAPITRE IV - Transformation de l’argent en capital

Selon Marx, la différence entre salariat et esclavage : :

« Mais pour que le possesseur d’argent trouve la force de travail comme marchandise sur le marché, il faut que différentes conditions soient remplies. L’échange de marchandise n’implique pas en soi d’autres rapports de dépendances que ceux qui découlent de sa nature propre. Ceci étant présupposé, la force de travail ne peut apparaître comme marchandise sur le marché que dans la mesure où et parce que son propre possesseur, la personne à laquelle appartient la force de travail, la met en vente comme marchandise et la vend. Pour que son possesseur puisse la vendre comme marchandise, il faut qu’il puisse en disposer, qu’il soit donc le libre propriétaire de sa puissance de travail, de sa per­sonne (39). Lui et le possesseur d’argent se rencontrent sur le mar­ché, et entrent en rapport l’un avec l’autre, avec leur parité de possesseur de marchandises et cette seule distinction que l’un est acheteur, l’autre vendeur : tous deux étant donc des personnes juridiquement égales. Pour que ce rapport perdure, il faut que le propriétaire de la force de travail ne la vende jamais que pour un temps déterminé, car s’il la vend en bloc, une fois pour toutes, il se vend lui-même et il se transforme alors d’être libre en esclave, de possesseur de marchandise en marchandise. En tant que personne, il faut qu’il se rapporte lui-même cons­tamment à sa force de travail comme à sa propriété et par consé­quent comme à sa marchandise propre, et cela, il ne le peut que dans la mesure où il ne la met jamais à la disposition de l’acheteur, ne lui en laisse la jouissance que provisoirement, pour un laps de temps déterminé, où donc il ne renonce pas en l’aliénant à sa propriété sur elle (40).

La deuxième condition essentielle pour que le possesseur d’argent trouve la force de travail sur le marché comme une marchandise, c’est que son possesseur, au lieu de pouvoir vendre des marchandises dans lesquelles son travail se serait objectivé, soit au contraire obligé de mettre en vente comme marchandise sa force de travail elle-même, laquelle n’existe que dans son corps d’être vivant.

Pour que quelqu’un vende des marchandises distinctes de sa force de travail, il faut naturellement qu’il possède des moyens de production, par exemple, des matières premières, des instruments de travail, etc. Il ne peut pas faire de bottes sans cuir. Par ailleurs, il a besoin de moyens de subsistance. Personne, pas même un musicien de l’avenir (40**), ne peut se nourrir de pro­duits de l’avenir, ni donc de valeurs d’usage dont la production est encore inachevée et, comme au premier jour de son apparition sur la scène terrestre, il faut bien que l’homme, chaque jour encore, consomme avant de produire et pendant qu’il produit. Si les produits sont produits comme marchandises, il faut, une fois produits, qu’ils soient vendus, et c’est seulement après la vente qu’ils peuvent satisfaire les besoins du producteur. Au temps de production s’ajoute le temps nécessaire à la vente.

Pour qu’il y ait transformation d’argent en capital, il faut donc que le possesseur d’argent trouve le travailleur libre sur le marché des marchandises, libre en ce double sens que, d’une part, il dispose en personne libre de sa force de travail comme d’une marchandise lui appartenant et que, d’autre part, il n’ait pas d’autres marchandises à vendre, soit complètement débarrassé, libre de toutes les choses nécessaires à la réalisation de sa force de travail. »

NOTES DU PASSAGE :

39. Dans les ouvrages encyclopédiques sur l’antiquité on peut lire cette absurdité que dans le monde antique le capital était complètement déve­loppé, « à ceci près qu’il y manquait le travailleur libre et le système de crédit )l. Même Monsieur Mommsen, dans son Histoire romaine, empile qui­proquo sur quiproquo de cette espèce.

40. C’est pour cette raison que diverses législations fixent un maximum pour le contrat de travail. Tous les codes des peuples chez lesquels le travail est libre règlementent les conditions de résiliation. Dans différents pays, notamment au Mexique, l’esclavage demeure caché sous la forme du péonage (il en allait ainsi également dans les territoires détachés du Mexique avant la guerre civile américaine, et, sinon de nom, au moins de fait, dans les Provinces danubiennes avant la révolution de Cuza (40*). Par des avances qui sont rendues sous forme de travail et qui se transmettent d’une génération à l’autre, non seulement le travailleur isolé, mais encore toute sa famille, deviennent la propriété d’autres personnes et de leurs familles. Juarez avait aboli le péon age au Mexique. Le soi-disant Empereur Maximi­lien le rétablit par un décret que la Chambre des représentants à Washington dénonça à juste titre comme un décret de rétablissement de l’esclavage au Mexique. 1( Je peux aliéner au profit d’un autre un usage, limité dans le temps, de mes aptitudes physiques et intellectuelles et de mes possibi­lités d’activité particulières parce que cette limitation leur assigne un rapport extérieur à la totalite et à la généralité de mon être. Par l’aliéna­tion de la totalité de mon temps concrétisé par le travail et de la totalité de ma production, je ferais de leur substantialité, de mon activité générale et de la réalité effective de ma personnalité ]a propriété d’un autre ,) (HEGEL, Philosophie du droit, Berlin, 1840, p. 104, § 67).

40*. Alexandre Cuza (ou Couza) avait été élu Hospodar de Moldavie, puis de Valachie en janvier 1859. C’est de la réunion de ces deux princi­pautés danubiennes que date l’État Roumain. Cuza mit au point une réforme agraire qui le fit entrer en conflit avec les propriétaires terriens et une partie de la bourgeoisie. Il dut abandonner le pouvoir en 1866, victime d’une coalition des conservateurs agrariens et des « libéraux )’ mécontents de son autoritarisme et d’une certaine vénalité du régime.

40**. Marx fait allusion ici à Richard Wagner.

[Pages 188-189-190 de l’original.

Pages 238-239-240 de la copie PDF en ligne.]

http://inventin.lautre.net/livres/MARX-Le-Capital-Livre-1.pdf

***************************

Chapitre XIII - La Machinerie et la grande industrie

[page 433-435 du livre >>> 483-485 du doc PDF]

2. Valeur cédée par la machinerie au produit

On a vu que les forces productives issues de la coopération et de la division du travail ne coûtent rien au capital. Ce sont des forces naturelles du travail social. Les forces naturelles, comme la vapeur, l’eau, etc. que l’on approprie à des procès productifs, ne coûtent rien non plus. Mais de même que l’homme a besoin d’un poumon pour respirer, il a besoin aussi d’une « création de la main humaine » pour consommer de manière productive des forces naturelles. Il faut une roue hydraulique pour exploiter la force motrice de l’eau, une machine à vapeur pour exploiter l’élasticité de la vapeur. Il en va de la science comme des forces de la nature. Une fois découvertes, les lois physiques qui régissent la déviation de l’aiguille aimantée dans le champ d’action d’un courant électrique, ou la production du magnétisme dans le fer autour duquel circule un courant électrique, ne coûtent pas un liard 108. Mais l’exploitation de ces lois pour la télégraphie, etc. nécessite un appareillage très coûteux, très volumineux. Comme nous l’avons vu, l’outil n’est pas écarté par la machine. L’outil-nain de l’organisme humain s’étend en volume et en nombre, et devient l’outil d’un mécanisme créé par l’homme. Dès lors, au lieu de faire travailler l’ouvrier avec son outil artisanal, le capital le fait travailler avec une machine qui dirige elle-même ses outils. Si, par conséquent, il est évident au premier coup d’œil que la grande industrie doit, par l’incorporation des forces immenses de la nature et des sciences de la nature dans le procès de production, augmenter extraordinairement la productivité du travail, il n’est pas du tout aussi évident que cette force productive accrue ne soit pas achetée de l’autre côté par une augmentation de la dépense de travail. Comme toute autre composante du capital constant, la machinerie ne crée aucune valeur, mais transfère sa propre valeur au produit qu’elle sert à fabriquer. Dans la mesure où elle a de la valeur et, par conséquent, transfère de la valeur au produit, elle crée une composante de la valeur de celui-ci. Au lieu de le rendre meilleur marché, elle le rend plus cher en proportion de sa propre valeur. Et c’est une évidence tangible que la machine et la machinerie systématiquement développée, moyen de travail caractéristique de la grande industrie, croissent en valeur de façon tout à fait disproportionnée, par rapport aux moyens de travail de l’entreprise artisanale et manufacturière.

Il faut pour commencer remarquer que la machinerie entre toujours tout entière dans le procès de travail et toujours en partie seulement dans le procès de valorisation. Elle n’ajoute jamais plus de valeur qu’elle n’en perd en moyenne par son usure. Il y a donc une grande différence entre la valeur de la machine et la portion de valeur qu’elle transfère périodiquement au produit. Il y a une grande différence entre la machine, comme élément créateur de valeur, et la machine, comme élément créateur de produit. Plus la période au cours de laquelle la même machinerie sert de façon répétée dans le même procès de travail est grande, plus cette différence est grande. Nous avons vu, il est vrai, que chaque moyen de travail proprement dit, que chaque instrument de production entrait toujours tout entier dans le procès de travail et, toujours en partie seulement, proportionnellement à son usure moyenne journalière, dans le procès de valorisation. Mais cette différence entre l’usage et l’usure est beaucoup plus grande en ce qui concerne la machinerie qu’en ce qui concerne l’outil, parce que celle-ci, construite en un matériau plus durable, vit plus longtemps, parce que son emploi, réglé par des lois rigoureusement scientifiques, permet une plus grande économie dans la dépense de ses composantes et de ses moyens de consommation, et enfin parce que son champ de production est incomparablement plus grand que celui de l’outil. Si nous déduisons de la machinerie et de l’outil leurs coûts moyens quotidiens ou la composante de valeur que par leur usure moyenne quotidienne et la consommation de matériaux auxiliaires, tels que l’huile, le charbon, etc. ils ajoutent au produit, alors ils travaillent pour rien, comme des forces de la nature disponibles sans l’intervention du travail humain. Dans la mesure même où l’étendue productive de la machinerie sera plus grande que celle de l’outil, plus grande sera l’étendue de son service gratuit, comparé à celui de l’outil. C’est seulement dans la grande industrie que l’homme apprend à faire fonctionner pour rien, sur une grande échelle, comme une force de la nature, le produit de son travail passé, déjà objectivé 109.

NOTES DU PASSAGE :

108. La science ne coûte strictement « rien » au capitaliste, ce qui ne l’empêche nullement de l’exploiter. La science « étrangère » est incorporée au capital comme du travail d’autrui. Or l’appropriation « capitaliste » et l’appropriation « personnelle », qu’il s’agisse de la science ou de la richesse matérielle, sont des choses totalement disparates. Ure lui-même déplore bruyamment l’ignorance grossière à l’égard de la mécanique de ses chers fabricants qui exploitent les machines, et Liebig peut citer des exemples d’ignorance ahurissante en matière de chimie chez certains fabricants anglais de produits chimiques.

109. Ricardo envisage parfois avec tant de prédilection cet effet des machines -qu’il a d’ailleurs aussi peu développé que la différence générale entre procès de travail et procès de valorisation -qu’il en oublie à cette occasion la composante de valeur transmise par les machines au produit, et les met rigoureusement au même niveau que les forces naturelles. Il dit par exemple : « Adam Smith ne sous-estime nulle part les services que nous rendent les forces naturelles et la machinerie, mais il distingue à fort juste titre la nature de la valeur qu’elles ajoutent aux marchandises … étant donné qu’elles accomplissent leur travail gratuitement, l’assistance qu’elles nous fournissent n’ajoute Rien à la valeur d’échange » (RICARDO, OUVe cit., pp. 336-337). La remarque de Ricardo est naturellement juste à l’encontre de J.B. Say qui se figure que les machines rendent le « service » de créer de la valeur, qui constitue une partie du « profit ».

109a• [Note de la troisième édition : Un « cheval » est l’équivalent d’une force de 33 000 livres-pieds à la minute, c’est-à-dire de la force qui soulève 33000 livres d’un pied (anglais) à la minute, ou 1 livre de 33000 pieds. C’est ce que nous entendons plus haut par cheval. Dans la langue commerciale courante, et aussi çà et là dans des citations de cet ouvrage, on distingue cependant entre cheval « nominal » et « commercial » ou « indiqué » pour une même machine. Le vieux cheval ou cheval nominal est calculé exclusivement d’après la course du piston et le diamètre du cylindre, et ne tient aucun compte de la pression de la vapeur et de la vitesse du piston. C’est-à-dire que, de fait, elle revient à dire que telle machine à vapeur fait, par exemple, 50 chevaux si elle est mue avec la même faible pression de vapeur et la même vitesse réduite du piston qu’à l’époque de Boulton et Watt. Or ces deux derniers facteurs ont depuis énormément augmenté. Pour mesurer la force mécanique que fournit réellement aujourd’hui une machine, on a inventé l’indicateur qui marque la pression de la vapeur. La vitesse du piston est facile à constater. C’est ainsi que la mesure en chevaux « commerciaux ») ou « indiqués » d’une machine est une formule mathématique qui prend en compte en même temps le diamètre du cylindre, la hauteur de course du piston, la vitesse du piston et la pression de la vapeur, et qui indique ainsi combien de fois par minute la machine fournit réellement 33 000 livres-pieds. Un cheval nominal par conséquent peut fournir en réalité trois, quatre, voire cinq chevaux indiqués ou réels. Tout ceci pour expliquer différentes citations que l’on trouvera plus loin. -F.E.]

http://inventin.lautre.net/livres/MARX-Le-Capital-Livre-1.pdf

******************

http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/MARX-Le-Capital-Livre-1-CHAPITRE-13-1-DEVELOPPEMENT_DE_LA_MACHINERIE.pdf

PDF - 45.8 Mo

******************

http://mai68.org/spip2/IMG/pdf/marx-grundrisse-fragment-sur-les-machines-trad-ed-soc.pdf

PDF - 639.3 ko

******************

SUR LA PÉRIODE ACTUELLE DE MUTATION

CAPITALISME "CLASSIQUE" >>> BANCO-CENTRALISME

voir aussi cette autre critique

du pseudo-"marxisme" contemporain :

D’une Chapelle pseudo-"marxiste", le bréviaire, le chapelet et sa perle : brève exégèse…

http://mai68.org/spip2/spip.php?article8455

1 Message

Répondre à cet article

SPIP | squelette | | Plan du site | Suivre la vie du site RSS 2.0